Fondateur de l’astrologie conditionaliste, Jean-Pierre Nicola est l’un des plus grands découvreurs et penseurs de l’astrologie du XXe siècle, dans la lignée de Ptolémée et de Johannes Kepler. Et comme tous les découvreurs, il dérange… Entré dans l’âge neptunien (plus de 85 ans), Jean-Pierre Nicola a accordé un passionnant entretien que vous pouvez retrouver ici. Il y parle de son long parcours de découvreur, de défricheur et de déchiffreur de l’astrologie conditionaliste.
Bref extrait :
“Au terme de la demi-boucle de Neptune en secteur X (Représentation de référentiel Objet, en définition conditionaliste), les états d’âme n’ont guère d’intérêt. La goutte d’eau qui fait déborder le vase a du mérite mais reste une goutte d’eau. Continuateur des premiers conditionalistes, Ptolémée, Cardan, Kepler, et même Morin de Villefranche, en revenant à l’astronomie d’observation, j’ai remis l’astrologie sur pied, en contact avec la Terre et sa gravité liée à celle de toutes les planètes ; augmenté l’envergure de ses ailes pour voyager (d’un coup d’aile jusqu’à Université d’Hawaïi par exemple.), s’affranchir de l’enfermement dans un référentiel exclusif, notamment d’un Sujet cloisonné au centre d’un horoscope d’idéogrammes et de papier, comme si le ciel et les sciences humaines étaient étrangères à toute physique. Des ailes pour aller au-devant d’autres savoirs (biophysique, neurobiologie notamment) reprendre place dans les universités libres de tout dogmatisme.”
À lire.