L’Homme a donc intégré les durées des révolutions sidérales planétaires, qui correspondent à des stades de développement, ce qui revient à appliquer les cycles sidéraux à la psychogénétique : “La théorie des âges désigne cette application qui consiste tout simplement à observer quelles acquisitions mentales, psychologiques, physiologiques, relationnelles, se produisent dans une évolution normale de l’homme dans (...)
Lire la suiteQue fait-il pendant ce premier mois ? Il consacre avant tout entre 17 et 20 heures par jour à vaquer à son occupation préférée : dormir, d’un sommeil qui, tout d’abord irrégulier, se régularise progressivement. Lorsqu’il est éveillé, le nouveau-né reste calme et tranquille pendant deux ou trois heures, il s’agite un peu, sous forme de gigotements anarchiques, durant une à deux heures au grand maximum et (...)
Lire la suiteUne expérience simple illustre bien ce phénomène : jusqu’à un mois, lorsqu’on dissociait dans l’espace le visage et la voix de sa mère (tandis que le visage de cette dernière se trouvait à sa droite par exemple, un magnétophone situé à sa gauche émettait le son de la voix maternelle), le bébé montrait son trouble et son inconfort en s’agitant, en pleurant : une telle différenciation heurtait sa perception (...)
Lire la suiteLes astrologues ont fait de Vénus la planète de l’amour, du désir, de la chair. Est-ce à dure que le bébé va se transformer tout à coup, au début de son quatrième mois d’existence, en sex-symbol ? Bien sûr que non… Force est pourtant de constater que c’est entre trois et huit mois, donc pendant le stade vénusien, que se développent chez lui la sensualité, la sensorialité et l’affectivité. Du regard au (...)
Lire la suiteC’est aux alentours de huit mois que commence à s’unifier enfin ce qu’on appelle le “champ perceptif” de l’enfant. Jusqu’à un mois, ce champ perceptif était homogène, global, indifférencié : l’ouïe, la vue, l’odorat, le goût et le toucher se confondaient chez lui en un “tout-perçu”. Jusqu’à trois mois, cette globalité perceptive originelle explosait, se différenciait jusqu’à plonger le bébé dans un maelström de (...)
Lire la suiteL’âge de un an marque un basculement radical de perspective, une modification fondamentale dans sa perception du monde. De spectateur, il se transforme en acteur. À une dépendance confortable succède une indépendance à conquérir. À la sociabilité spontanée se substitue la curiosité envers les choses, et l’enfant modèle qui essayait d’être aussi sage qu’une image au stade solaire se métamorphose brutalement (...)
Lire la suiteLe premier long stade Le stade jupitérien s’étale donc sur dix ans. Une très longue période, si on la compare à l’unique année que dure le stade précédent ou aux quatre mois et demi pendant lesquels s’intègre la fonction solaire. On peut légitimement se demander si les différentes acquisitions mentales, sociales et affectives de l’enfant durant une aussi grande tranche d’âge ont des points communs et (...)
Lire la suiteLe stade saturnien, comme le jupitérien, se caractérise par sa longue durée : pas moins de dix-huit ans ! Commençant avec la puberté, il englobe ainsi l’adolescence et les premiers pas dans l’âge adulte. À la planète Saturne, la tradition astrologique a attribué la mélancolie, la méditation, le goût des abstractions, l’introversion, la frustration, la solitude. Elle en a fait l’astre des silencieux, des (...)
Lire la suiteS’il paraît relativement facile d’observer les similitudes de fonctionnement chez les enfants d’une même classe d’âge, c’est apparemment moins évident en ce qui concerne les adultes : au cours de la quarantaine, la personnalité individuelle définitive est en général installée, peu susceptible de changements majeurs, et chacun semble manifester au plus haut point, jusqu’à la caricature parfois, la nature (...)
Lire la suiteLa durée maximale de la vie humaine est actuellement estimée à cent trente ans environ. L’individu n’a donc aucune possibilité d’aller jusqu’au bout des apprentissages neptuniens. La fonction neptunienne concernerait donc chez l’homme la probabilité d’apprentissages partiels, à peine esquissés, certains de rester inachevés. Pendant son deuxième centenaire, s’offre à lui la possibilité de transformer encore (...)
Lire la suiteActuellement, l’espérance de vie est d’environ 75 à 80 ans en Europe et en Amérique du Nord mais ne dépasse pas quarante-cinq ans pour les pays africains les plus pauvres. Il n’en a pas toujours été ainsi : la durée moyenne de vie varie aussi selon les époques. Jusqu’au XVIIIe siècle, elle était environ de trente ans maximum sur tous les continents : les temps étaient durs, les famines nombreuses et (...)
Lire la suiteLe plus inconnu des inconnus La mort n’existe pas. Ce n’est qu’un mot pour désigner l’inconnu absolu. Comme l’écrit très bien le philosophe Emmanuel Lévinas, “la mort est le plus inconnu des inconnus. Elle est même autrement inconnue que tout inconnu… la mort est d’abord le néant du savoir. Je ne dirai pas qu’elle est néant. Elle est aussi la ‘plénitude de la question’, mais d’abord : ‘on ne sait pas’… (...)
Lire la suiteInné ou acquis ? L’un des axes de recherche majeurs de la psychogénétique est de parvenir à identifier, dans le fonctionnement humain des premières années, ce qui relève de l’inné (structures neurophysiologiques communes à toute l’espèce) de ce qui relève de l’acquis (apprentissages et conditionnements socioculturels). Pour mettre en perspective le sens de ces nouvelles découvertes, rappelons que jusqu’à (...)
Lire la suiteLa théorie des âges désigne cette application qui consiste tout simplement à observer quelles acquisitions mentales, psychologiques, physiologiques, relationnelles, se produisent dans une évolution normale de l’homme dans la succession des intervalles de temps donnés par les durées de révolutions sidérales… les significations planétaires sont étudiées sur le vif, dans les apprentissages et acquisitions (...)
Lire la suiteThéorie des âges et méthodes prévisionnelles Déterminisme absolu ? Certainement pas. Mais contrainte et limitation, sans doute, d’une manière relative. Tapie dans l’inconscient, la mémoire tend à re-susciter ce qu’elle a engrammé, et l’on ne transforme pas les contenus de la mémoire d’un coup de baguette magique, par la volonté consciente ou avec des bonnes intentions thérapeutiques. Les cycles suivant le (...)
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