Généralement : diffusion de l’unique Comment le connu, le conscient, les normes, codes, concepts, théories, modèles, buts, projets, images, principes, symboles (‘R’) se reproduisent et se maintiennent (‘r’) en conditionnant et déterminant a priori notre manière de nous émouvoir, de ressentir et d’éprouver (‘e’) et de nous interroger, de nous poser des questions et nous ouvrir à l’inconnu (‘t’). “Grand (...)
Lire la suiteGénéralement : diffusion des duos-duels Comment le connaissable, le concret, le vécu, l’expérience, le ressenti, l’éprouvé, les faits se reproduisent et se maintiennent (‘e’) en conditionnant et déterminant sur le terrain notre manière d’affirmer, de dire, simplifier et décider (‘r’) et de nous interroger, de nous distancier, de nous poser des questions et nous ouvrir à l’inconnu (‘t’). “Grand E” : le (...)
Lire la suiteGénéralement : diffusion du multiple Comment l’inconnu, l’inconscient, le sous-jacent, l’invisible, le caché, le mystérieux, le profond, l’imaginaire se reproduisent et se maintiennent (‘t’) en conditionnant et déterminant subtilement notre manière de nous émouvoir, de percevoir, d’agir, de ressentir et d’éprouver (‘e’) et d’affirmer, de dire, simplifier et décider (‘r’). “Grand T” : le trio (...)
Lire la suiteGénéralement : focalisation sur l’unique Réduire, schématiser et faire connaître, sous forme de normes, codes, concepts, théories, modèles, buts, projets, images, principes, symboles (‘r’), l’ensemble des idées préconçues ou certitudes acquises (‘R’), des faits et phénomènes concrets et observables (‘E’) et des réalités abstraites, subtiles, invisibles ou sous-jacentes (‘T’). “Petit r” : le trio (...)
Lire la suiteGénéralement : focalisation sur le duo-duel Réduire à un duo-duel, à une confrontation, à l’expérience vécue, au ressenti personnel, au sensoriellement éprouvé, à l’émotionnellement perdu, à leur impact affectif, l’ensemble des normes, codes, concepts, théories, modèles, buts, projets, images, principes, symboles (‘R’), des faits et phénomènes concrets et observables (‘E’) et des réalités abstraites, (...)
Lire la suiteGénéralement : focalisation sur le multiple Réduire à des interrogations, perplexités, hypothèses, spéculations, doutes, lois cachées, mystères, non-sens, absurdités, perspectives incertaines ou inédites (‘t’), l’ensemble des normes, codes, concepts, théories, modèles, buts, projets, images, principes, symboles (‘R’), des faits et phénomènes concrets et observables (‘E’) et des réalités abstraites, (...)
Lire la suiteGénéralement : maintien de l’unique-duo/duel-multiple Le réel de l’Homme et du reste dans tous ses états et étages, dans son impeccable et implacable hiérarchisation-organisation : connu, perçu et inconcevable, imperceptible. Le réel fait de centres, symétries et rapports, de proximités immédiates, relatives ou lointaines. Le réel de nos discours, vécus et perplexités, celui de nos (...)
Lire la suiteGénéralement : maintien de l’homogénéité globale La Lune n’est évidemment pas un “trio planétaire”, mais l’unique satellite naturel de la Terre. Elle forme donc à elle seule la famille “Petit P” qui a une fonction d’homogénéisation, de globalisation et de régulation globale, de fluidification et d’harmonisation des conflictualités et tensions latents induits par l’hétérogénéité des niveaux ‘R’, ‘E’ et (...)
Lire la suiteLe point commun de ces familles, aussi appelées “négatives”, est qu’elles réunissent fonctions planétaires qui “ignorent” un ou deux niveaux du R.E.T. Notez que ces “manques” peuvent être absolus ou relatifs. Lorsqu’ils sont absolus, le ou les niveaux du R.E.T. “manquants” sont niés ou rejetés par la fonction planétaire concernée. Lorsqu’ils sont relatifs, ils sont utilisés par la fonction planétaire (...)
Lire la suiteCes quintettes ont pour point commun d’être composés d’une famille “extensive” et d’une famille “intensive” appartenant au même niveau ‘R’, ‘E’ ou ‘T’ du R.E.T., dont ils mettent au maximum en valeur les caractéristiques positives, tout en en soulignant les manques et les faiblesses. Quintette “hyper-rR” “Hyper-R” : le quintette “Représentation” (...)
Lire la suiteIntroduction À l’exception de la Lune, satellite de la Terre, chaque Planète a au moins un point commun avec deux autres, selon qu’elle partage le même niveau-source (‘R’, ‘E’, ‘T’) ou le même niveau-but (‘r’, ‘e’, ‘t’). L’organisation cybernétique La cybernétique (dont l’étymologie grecque signifie “science du gouvernement”) étudie “les processus de commande et de communication chez les êtres vivants, dans les (...)
Lire la suiteLes planètes dont les formules R.E.T. sont inverses forment des paires d’opposés-complémentaires : le niveau-source (‘R’, ‘E’ ou ‘T’ de l’une) est le niveau-but (‘r’, ‘e’ ou ‘t’ de l’autre), ce qui constitue un “cercle fou” ou cercle vicieux en feedback intégral. Quand l’un des membres du duo domine dans un thème, il importe de bien analyser la situation et la force du second. Couple (...)
Lire la suitePour l’analyse, la recherche, l’interprétation, l’école conditionaliste se réfère aux modèles conceptuels du R.E.T. pour les planètes (Représentation-Existence-Transcendance), du S.O.R.I. (référentiels Sujet, Objet, Relation, Intégration) pour les Maisons, du zodiaque des déclinaisons pour les Signes. L’interprétation introduit en outre le modèle du “Héros et son Ombre” qui permet de classer les facteurs (...)
Lire la suiteSi l’on accorde l’imagination à la Lune, il faut rendre l’image au Soleil… et l’image est à l’œil ce que l’œil est au Soleil : son image. En tant que modèle, son pouvoir est extensif. Il s’étend, il se généralise. Un modèle peut changer, s’enrichir, s’appauvrir, devenir désuet, mais, pour le temps de son efficacité, il donne le ton d’une mode ou d’une pensée, il gouverne les paradigmes. Les pouvoirs du R.E.T. (...)
Lire la suiteSelon certains astrologues, les planètes gouvernant la première année de la vie (Lune, Mercure, Vénus, Soleil) dans la théorie des âges auraient une nature “affective”. Les plus récentes études en sciences cognitives montrent que la réalité est bien différente… “Grand R” : le trio “Représentation extensive” Soleil-Vénus-Mercure
Lire la suiteLe couple Soleil-Pluton occupe une position à part : sa nature mérite donc une investigation approfondie. Ces deux astres occupent en effet les extrémités du système solaire. Extrême centre pour le Soleil, extrême périphérie pour Pluton… Au-delà de ces deux bornes, c’est l’ouverture sur l’inconnu : inconnu interne du Soleil, inconnu externe de Pluton. C’est ainsi que les extrêmes se touchent. Soleil et (...)
Lire la suiteLe négatif n’est pas l’absence Chaque fonction planétaire se caractérise à la fois par les niveaux du R.E.T. qu’elle “excite” et par ceux qu’elle “inhibe”, auxquels elle est indifférente ou opposée, qui l’aveuglent, qu’elle ignore, rejette ou recherche obscurément. En ce sens, la formule négative d’une fonction planétaire peut être comprise comme l’équivalent de la “Planète aveugle” d’un Thème, celle qui est (...)
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