Ophélie est un personnage d’Hamlet. Dans cette pièce de théâtre de Shakespeare, devenue folle de désespoir, la délicieuse et mélancolique Ophélie cueille des fleurs sur les bords d’une rivière, tombe dans les eaux et y trouve la mort. Rien à voir avec l’enthousiaste, la dynamique, l’électrique Ophélie Winter aux espérances folles, Poisson incapable de se noyer… Tour à tour animatrice télé, chanteuse, actrice, cette Ophélie-là multiplie les expériences artistiques avec un bel appétit de vivre et un total mépris pour les conventions. En plus, elle s’intéresse à l’astrologie…
Ce micro-portrait ne fait qu’esquisser une interprétation très simplifiée des configurations zodiaco-planétaires dominantes et de la planète la plus faible de ce Thème natal. Excluant par exemple l’interprétation des Aspects, cette étude succincte ne saurait remplacer une véritable analyse approfondie, mais elle en ouvre quelques-unes des pistes principales.
La configuration dominante du Thème natal de Ophélie Winter est une conjonction Vénus-Lune-Jupiter en Verseau, au carré-trigone de Pluton et Uranus en Balance. Neptune en Sagittaire est la planète la plus faible.
Ses réponses aux questions devraient donc refléter les pôles hyper-dominants de sa personnalité :
▶ Vos qualités : vous cultivez une indifférence compacte, systématique, absolue et permanente vis-à-vis de tout ce qui n’est pas les buts ambitieux que vous vous assignez, les objectifs précis que vous vous fixez, l’itinéraire de vie exemplaire que vous poursuivez avec constance. Implacablement déterminé, imperturbablement volontaire, fort d’une indémolissable confiance en vous-même et dans la pertinence de vos principes et convictions, vous n’hésitez pas à imposer votre point de vue avec une placide et impitoyable autorité, à tracer obstinément votre chemin de vie. Vous savez ce que vous voulez et identifiez aussi très bien ce que vous ne voulez pas. Et ce que vous refusez par-dessus tout, c’est de vous soumettre, de vous incliner.
▶ Vos défauts : vous êtes excessivement sourd à toute critique et hermétiquement fermé à toute forme d’auto-critique : vous semblez à jamais vacciné contre le virus du doute et de l’incertitude. Affirmer, imposer arbitrairement et réaffirmer autoritairement vos certitudes figées, anxieuses et sans nuances, c’est une manière chez vous de vous opposer stérilement à toute forme de mouvement, de changement, de spontanéité que vous assimilez trop immédiatement et trop facilement au chaos intégral. Allergique au désordre, à l’anormal, à l’irrationnel, à la fantaisie, indifférent aux conséquences pratiques de vos décisions intempestives, vous risquez d’être le jouet de vos ambitions aveugles, absolues et despotiques.
▶ Vos qualités : la vie quotidienne est pour vous un perpétuel enchantement, une source inépuisable d’émerveillements qu’il faut tenir à l’abri de tout enlisement dans de pesantes routines. Accueillant, réceptif et confiant, vous trouvez votre bonheur et votre équilibre en voyant systématiquement le bon côté des choses et en privilégiant des liens de solidarité sereine et toujours souplement recréés avec autrui. Conciliant et généreux, ouvert, calme, serein et convivial, rien ne semble pouvoir résister à votre bonne humeur contagieuse et décontractée, à votre aptitude à tisser d’intimes complicités sans jamais vous enfermer ni enfermer les autres dans un carcan relationnel possessif, pesant et répétitif.
▶ Vos défauts : indolent, naïf et trop confiant, vous avez un peu trop tendance à vous abandonner à une tranquille passivité et une paisible insouciance qui vous incitent à voir la vie en rose tant que vous n’êtes pas contraint de vous assumer en toute indépendance. Instable, imprévoyant, flottant, rêveur euphorique et inconséquent, excessivement désintéressé, vous pratiquez trop souvent la politique du moindre effort en espérant que les choses s’arrangeront pour vous comme par miracle, sans que vous ayez à mettre la main à la pâte et à prendre vos responsabilités. Ainsi vivez-vous au rythme de vos velléités d’action sans lendemain et, plus cigale que fourmi risquez-vous d’être “fort dépourvu quand la bise fut venue”…
Inversement, les réponses de Ophélie Winter aux questions devraient montrer qu’elle ne correspond pas du tout au portrait suivant :
Vous êtes un intuitif hanté par les puissances de l’imaginaire, branché sur les réalités subtiles, sous-jacentes, invisibles. Vous vous déterminez en fonction d’aspirations profondes, sous la pression insidieuse des couches les plus enfouies de votre être. Vous vous sentez habité par un ailleurs qui vous dépasse de toute part et qui décide de tout pour vous. Vous vous laissez guider par votre inspiration, par vos presciences, vos pressentiments. Vous savez comme miraculeusement faire les bons choix, sans le vouloir, comme si ce que vous faites était le fruit d’une obscure mais puissante nécessité. Votre vie intérieure est riche, touffue, complexe, traversée d’états d’âme, de songes et de visions. Vous ne savez pas ce qui vous motive au fond et cela vous importe peu : vous avez la foi dans votre devenir, dans votre radar et n’écoutez que votre petit doigt. Votre esprit subtil et nuancé ne craint pas les paradoxes, les ambivalences, les ambiguïtés : vous savez intimement qu’ils sont le reflet de la vie toujours imprévisible et déconcertante dans ses manifestations.
Vous êtes un sensitif délicat, quasi médiumnique, une plaque sensible qui ressent avec force les signaux les plus ténus. Les plus infimes variations de l’ambiance extérieure vous touchent, vous font réagir, vous émouvoir. Vous ressentez l’invisible, reniflez le mystère, écoutez les secrètes musiques du silence. Vous percevez ce que les autres ne perçoivent pas et incarnez à votre manière vibrante et frémissante une étrange et surprenante logique qui vous pousse à réagir, souvent avec une surprenante justesse, en fonction des humeurs que vous dicte votre inconscient, des états d’âme qui vous traversent. Votre présence est déroutante : vous êtes à la fois ici par les turbulences qui vous agitent et ailleurs, dans votre monde impénétrable et incompréhensible pour la logique commune. Votre baromètre intérieur décide de ce que vous allez faire. La météo de votre âme est changeante et mystérieuse, elle passe vite du calme plat à la tempête. Vous ne savez qu’au tout dernier moment quel cap vous allez suivre instinctivement, sans crispation mais avec une incroyable détermination.
Françoise Hardy : Votre ciel met en valeur l’axe Lion-Verseau de défi, d’audace, d’ambition, de volonté, de positivité qui pousse à s’exposer et prendre des risques. Comment conciliez-vous cela avec non seulement l’intériorisation, la déconnexion, l’indécision des Poissons, votre signe solaire, mais aussi l’aspiration de votre dominante lunaire à vivre dans un cocon…
Ophélie Winter : C’est une lutte permanente : d’un côté je suis très rêveuse, de l’autre je suis pragmatique. D’un côté je veux être créative, avoir des idées, m’occuper de mes contrats, tout diriger, de l’autre je ne veux pas savoir combien je gagne, je ne remplis pas les papiers, je suis bordélique, hors du temps, je ne regarde pas les nouvelles…
Vous portez bien votre nom “Winter”, puisque tous les Signes d’hiver étaient occupés au moment de votre naissance, or ils ont pour point commun de puissants systèmes de défense : êtes-vous résistante et capable d’une grande indifférence pour tout ce qui est sans rapport avec l’absolu — sentimental ou professionnel — auquel vous aspirez ?
À présent, ma mère gère mes affaires et je me réserve l’artistique, mais auparavant quand je souhaitais quelque chose, j’y allais tête baissée, sans me soucier de ce qui pouvait se passer. Si je voulais rencontrer quelqu’un et qu’on me faisait sortir par la fenêtre, je revenais par la cheminée…
Pensez-vous que la positivité inhérente à l’axe Lion-Verseau soit votre meilleur atout ?
Oui… C’est une survie… En cas de gros malheur, de grand chagrin, ma philosophie consiste à me dire que Dieu me fait payer le bonheur qui ne va pas manquer de m’arriver ensuite.
En ce qui concerne les projets, envisagez-vous suffisamment les risques et les possibilités d’échec ?
J’ai un tableau où j’inscris toujours les “plus” — la réussite totale — et les “moins” — le scénario catastrophe —, après quoi je tire ma conclusion et agis en conséquence.
Une conjonction Lune-Jupiter dominante en Verseau incite à aborder l’existence avec un optimisme doublé d’une certaine ingénuité, alors qu’un trigone Lune-Pluton rend réceptif à l’envers de l’optimisme ingénu… Êtes-vous lucidement naïve ?
Je suis naïve au départ, la lucidité vient après. J’ai tendance à vouloir croire que tout est beau, que tout est rose. Je donne d’abord la confiance avec une relative parcimonie, je teste ensuite…
Jusqu’ici avez-vous plus souvent bien ou mal placé votre confiance ?
Vraiment très mal, parce que j’étais jeune et naïve. Je fonçais vers mon but et je suis tombée dans tous les pièges, mais chaque fois que j’ai connu des galères ou fait des conneries, au lieu de me dire que je faisais n’importe quoi et n’allais jamais y arriver, j’ai toujours pensé que c’était bien, que l’on me tapait sur la tête pour que je me réveille et puisse aller encore plus loin et plus vite. Toute erreur m’apprend quelque chose…
Par votre conjonction Lune-Jupiter vous vous intégrez facilement à un groupe — familial ou social — mais par Lune-Pluton n’y a-t-il pas une part de vous qui se sent en marge ?
J’ai un côté caméléon qui me permet de m’adapter à peu près à tout le monde, mais je me sens particulière et crois que même mes amis proches ne peuvent pas comprendre ce que je ressens, qui je suis ni ce que je veux. Il n’y a que moi qui le sache. Moi et Dieu.
Un Mars dissonant à Soleil-Jupiter prédispose à mal vivre la compétition.
Elle est inhérente à mon métier mais très difficile à vivre, car j’y pense tout le temps. J’ai en permanence l’impression que je vais être dépassée, qu’il faut que j’aille plus vite, plus fort, mieux, que je trouve de nouvelles idées pour devancer les autres. C’est épuisant.
Uranus et le Lion incitent à vouloir être sinon le premier tout au moins le meilleur dans son domaine…
J’ai la musique dans le ventre et je sais que je suis faite pour ça, mais il en va différemment avec le cinéma sur lequel j’évite de m’éterniser avec les journalistes. Je ne me suis pas encore impliquée assez à fond pour être vraiment à la hauteur dans ce domaine et je ne supporte pas la médiocrité, l’entre deux eaux…
L’axe Lion-Verseau et Uranus en heure de puissance, vous sensibilise aux rapports de force, alors que par la Lune et les Poissons vous ne les supportez guère…
C’est pourtant ma vie de tous les jours : j’ai beau vivre avec un autre Poissons, notre relation est basée sur des rapports de force. La peur d’être un dominé force à être un dominateur, mais je déteste ça. Je ne comprends pas pourquoi quand je me suis battue toute la journée et que je rentre chez moi, je ne puisse pas souffler deux secondes, être bien, normale, vraie…
La Lune en Verseau et en Maison VII vous rend en même temps très fusionnelle, très tendre…
C’est mon grand défaut… Dans les relations avec l’homme que j’aime, je suis davantage mère que femme… C’est pareil pour mes amis et mes proches, j’éprouve le sentiment maternel de devoir assumer pour tout le monde, toujours m’inquiéter de ce qui ne va pas, de ce dont ils ont besoin… C’est d’autant plus bizarre que je suis consciente d’être encore une gamine… Même si j’ai des responsabilités qui m’obligent à assumer beaucoup de choses, il y a des moments où j’ai envie que l’on s’occupe de moi…
Votre enfance difficile explique en partie ce positionnement…
L’absence de père m’a effectivement donné envie de recréer une cellule familiale secrète, intime, fermée à l’extérieur. En même temps, ma mère s’étant battue toute sa vie pour nous élever mon frère et moi, ma première idée a été de gagner de l’argent aussi vite que possible pour renvoyer l’ascenseur. Je faisais du baby-sitting à 14 ans et j’ai quitté la maison à 17 ans, sans une tune. Dès que j’ai eu de l’argent j’ai fait des cadeaux à ma mère, à mon frère et maintenant c’est moi qui suis le père de famille.
Une dominante uranienne rend autonome, indépendant et incite à exercer le pouvoir dans une relation, alors qu’une dominante lunaire fait dépendre de ceux qui tiennent à cœur…
Dépendre affectivement oui, sinon je ne compte que sur moi… Même en amour je n’attends rien… Je n’attends rien de personne…
Sur le plan sentimental, comment conciliez vous le besoin de durée de Vénus-Capricorne, avec la tendance Verseau à s’ennuyer ferme dans la répétitivité.
Je suis très passionnelle, très exclusive, ce qui provoque des clash fréquents qui font qu’on ne se parle plus mais que quand on se retrouve, c’est fabuleux parce qu’il y a eu un grand manque réciproque.
La dissonance Vénus-Uranus favorise l’exigence, l’intensité, l’ambivalence douceur-dureté…
Je peux ne pas revenir à quelqu’un par fierté et décision, même si je sais que c’est l’homme de ma vie et que je vais en crever…
Cette même dissonance fait aspirer à l’absolu sur le plan amoureux…
Ça doit être parfait. Parce que tout le reste est pourri, le monde est pourri, noir, la relation amoureuse doit vraiment être la petite boule de lumière pure… (Elle semble soudain très découragée). Elle devrait être ainsi, mais ça ne marche pas bien…
Neptune, la planète la plus faible de votre thème, favorise un fonctionnement aux antipodes du vôtre. Vous êtes claire, nette et ne pouvez faire autrement qu’aller au bout de ce que vous entreprenez, alors que le Neptunien est ambigu, imprécis, indirect, à l’aise dans le non-dit, le flou et l’inachevé, mais peut s’avérer plus intuitif, plus subtil que vous. Avez-vous déjà eu affaire à ce profil et comment y réagissez-vous ?
Ça m’énerve. Quand il y a un problème, j’ai besoin de le poser pour démêler les choses. Même si ça fait mal, il faut savoir, parce que c’est un nœud dans la corde, que la corde est longue, qu’il faut donc y aller et retirer le nœud pour avancer… Le — comment dites-vous ? — neptunien fuit le nœud, fait un détour, défile la corde, prend trois fils pour faire le tour du nœud et relier plus loin. Ça me désarme parce qu’il n’y a pas moyen de discuter. Il n’y a rien… L’autre ne semble même pas concerné…
Neptune est en rapport avec la foi dans ce qu’elle a de plus viscéral. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet ?
Ma foi c’est moi. Dans l’absolu tel que je me le représente, tout le monde naît avec Dieu en soi. C’est donc à soi de le garder ou non, de gérer sa propre vie avec ou sans cette référence. Dieu est en moi et quand je lui parle, c’est comme si je me parlais : je n’arrive pas à dissocier. Je prie tous les soirs en anglais et en français des prières de ma confection.
Vous pensez comme moi qu’il est stupide d’imputer à Dieu la responsabilité du malheur du monde alors que c’est uniquement celle des hommes ?
Bien sûr découvert très tôt qu’une grande partie de ma famille est morte à Auschwitz. C’est impossible à digérer, mais l’horreur des camps est l’expression de la folie des hommes et n’a rien à voir avec Dieu.
Précisément, pour l’astrologie traditionnelle, la Maison VIII, importante dans votre ciel, est celle de la mort au sens propre ou symbolique. Pour l’astrologie moderne, cette Maison est en rapport avec les expériences inéluctables, irrémédiables qui permettent de prendre la mesure de l’authenticité avec laquelle on les vit et les assimile.
Je me suis retrouvée de nombreuses fois au pied du mur, sans porte de sortie ni possibilité de reculer et dans ces moments-là j’ai pensé à me suicider. C’est arrivé de nombreuses fois, alors que je n’ai que vingt-quatre ans ! J’ai ce côté suicidaire et en même temps, sans comprendre pourquoi, j’ai toujours eu l’impression que j’allais mourir jeune et qu’il fallait que je me dépêche…
Neptune est votre planète la plus faible, il y a cette Maison VIII et votre prénom “Ophélie” symbolise la noyade…
J’ai peur de l’eau. Je m’éclate dans l’eau mais je suis incapable de me baigner seule. En ce moment, je fais du sport et de la natation tous les jours et je dois demander au prof de ne pas s’éloigner quand je nage, car je suis sujette à des hallucinations, du style requin ou autre…
Vous avez peut-être vu le film Les Dents de la mer, quand vous étiez petite fille ?
À dix ans et j’ai effectivement été traumatisée. De là à imaginer à vingt-quatre ans qu’il puisse y avoir un requin dans la piscine d’un hôtel ! J’ai peur de la mer, de tout ce qu’on ne peut pas contrôler en fait.
Uranus, Jupiter et le Lion prédisposent en effet à une cérébralité qui a besoin de tout contrôler tandis que Neptune incite à se laisser porter, à lâcher prise, et c’est ce que vos relations avec les neptuniens qui vous rendent la vie si difficile sont sensées vous apprendre. Un mot sur vos échéances : vous vous trouvez pile entre deux échéances majeures de votre existence. En 96/97 vous avez eu celle très déstabilisante de Pluton au carré de votre Soleil, qui va souvent de pair avec une crise d’identité : on ne sait plus qui on est, ce que l’on vaut socialement parlant…
Cela correspond à la période où j’ai eu un succès rapide que je n’arrivais pas à gérer. Je ne comprenais pas ce que je suscitais chez les gens pour qu’ils se précipitent sur moi comme ils le faisaient. Ce genre de situation incite à se prendre soit pour un génie, soit pour un imposteur… Je penchais pour l’imposture et oscillais donc en permanence entre la crainte d’être démasquée et la conscience de ne pas être tout à fait dénuée de talent…
L’autre échéance concerne l’arrivée toute proche d’Uranus à la même longitude que celle de votre Lune natale. Quels que soient les événements ou les situations, elle demande d’être davantage responsable et adulte…
(Sur un ton tragi-comique) Je ne veux pas, ce n’est pas possible, j’en ai marre, j’assume trop de choses déjà !
Il peut s’agir aussi d’un plus grand besoin d’indépendance, d’affirmation ou tout bêtement d’une rupture dans vos habitudes de vie…
Il est question que je déménage, mais il y a également à un problème familial dont la responsabilité va tôt ou tard retomber sur moi.
À quoi aspirez-vous au fond ?
Avant de mourir, je veux marquer mon temps, je veux servir aux gens, au monde… C’est très ambitieux mais je voudrais contribuer à aider que ce soit dans une banlieue ou dans un institut pour enfants malades ou personnes âgées, et changer les choses en étant présente, en donnant de l’amour, de l’argent, en faisant passer des messages. Il y a un océan pourri et chacun de nous a une goutte dedans qui peut être belle… Il faudrait que chaque goutte arrive à être belle pour embellir l’océan tout entier.
Article paru dans le n° 4 d’Astrologie naturelle (décembre 1998).
Le petit livre des Poissons
par
49 pages. Illustrations en couleur.
Ce livre présente et explique les trois zodiaques : celui du décor des constellations, celui de l’astrologie traditionnelle basé sur les Quatre Éléments symboliques (Feu, Terre, Air & Eau) et celui de l’astrologie naturelle basé sur les phénomènes astronomiques objectifs.
Interprétation des Poissons selon la symbolique classique et selon ses réflexes dans le zodiaque naturel (force, vitesse, équilibre) ; interprétation des Poissons en fonction des planètes dominantes ; le Signe solaire & le Signe Ascendant.
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