Je ne me souviens pas n’être intéressé à l’astrologie avant l’age de trente ans. Bien sûr, en tant que ‘t’ dominant (ce que, bien entendu, j’ignorais totalement à l’époque), je cherchais en permanence à déceler ce que les “choses du monde extérieur” masquaient.
J’étais fasciné, aveuglé (‘r’ faible) par les êtres (tel Albert Einstein) qui affirmaient que finalement les mystères du monde n’en étaient pas et que tout est au fond relativement simple, évident et compréhensible. Pourtant, je ressentais obscurément que tout était loin d’être aussi évident (j’allais dire simpliste…). En 1984 (j’avais juste trente ans), j’ai connu une période difficile (divorce) et j’ai cherché à comprendre le pourquoi et le comment de cet échec.
En mai de cette année, mon frère n’offrit mon premier ouvrage d’astrologie (sic) : Faites vous-même votre horoscope par Jean Rignac, RTL Éditions. Pour absurde que cela puisse paraître cela m’a donné envie de poursuivre l’étude de l’astrologie… D’ailleurs cette science était-elle aussi absurde qu’on le disait alors que des esprits aussi illustres que Ptolémée ou Kepler affirmaient sa “réalité” ? Cette même année je me suis inscrit à des cours d’astro (oraux et par correspondance), la lecture de l’ouvrage de Michel Gauquelin Les horloges cosmiques aux Éditions Denoël ayant été à cette époque déterminante quant à ce choix. J’ai visité l’enfer d’Hadès, survolé le royaume Heindel, surfé sur l’océan Barbault (André), etc. Je pensais avoir découvert l’équation du hasard, la “pierre philosophale”, les “arcanes” de la vie et j’en passe.
Au firmament des “étoiles astrologiques”, une semblait briller particulièrement (magnitude 1) “Andréa Barbaultex”. D’autres étoiles, plus pâles, brillaient également : Georges Antarès, Paul Colombet, Gustave-Lambert Brahy et surtout Claire Santagostini (la lointaine étoile Jean-Pierre Nicola me semblait perdue dans cet univers). Avec son Astrologie globale, Santagostini ne semblait être celle qui s’approchait le plus de ce que je recherchais. Son Astrologie : fondement et pratique était, à mes yeux, une petite merveille.
J’avais beaucoup de temps à consacrer à ma “maîtresse aimée” (chacun son tour André !), l’astrologie, et je progressais (on le disait) très vite. Au bout de deux ans de pratique astrologique, on me proposa de donner des cours (à Bruxelles) en première année d’un cycle de formation de deux ou trois ans (sous la houlette d’un “maître”). Deux ans plus tard (1988), Je m’occupais de l’enseignement des trois années du cycle. Pourtant, plus le temps passait, moins l’étude de l’astrologie ne satisfaisait (ma lucidité refaisait surface). Pour la première fois depuis longtemps, je me posais des questions quant à la validité de l’astrologie. Certes, je possédais La Condition solaire de Jean-Pierre Nicola, mais cela me semblait si peu accessible, pour ne pas dire hermétique… D’autre part, si Nicola avait “réellement” raison, cela se saurait… En 1990, j’ai envisagé d’arrêter l’astrologie, qui ne répondait vraiment plus à mes interrogations. Je suis alors tombé, par hasard, sur un ouvrage dont je ne connaissais pas l’auteur : Manuel d’astrologie conditionaliste, écrit par un certain Richard Pellard.
Pour la première fois (et ceci sans copinage ou complaisance), un astrologue répondait clairement (je sais, c’est subjectif) aux questions (certaines) que je me posais. J’ai appris l’existence du COMAC, Je m’en suis fait membre et, franchement, j’y ai retrouvé l’envie de poursuivre l’étude de l’astrologie. Je remercie les Cahiers Conditionalistes, Richard Pellard, Christine Saint-Pierre et bien sûr Jean-Pierre Nicola du renouveau qu’ils apportent à l’astrologie ; merci aussi au Fil d’ARIANA, parce que, sans eux, beaucoup de nos questions resteraient sans réponse. À tous ces astrologues (formidables) je dis : continuez… car sans vous, l’astrologie perdrait son statut de “science” et resterait une mancie débile et stérile. J’aurais encore tellement de choses à dire, mais je pense avoir retenu suffisamment longtemps votre attention.
Les significations planétaires
par
620 pages. Illustrations en couleur.
La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.
La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.
La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.
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Pluton planète naine : une erreur géante
par
117 pages. Illustrations en couleur.
Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.
Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?
Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !
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