Vivre, c’est s’adapter en permanence à des circonstances sans cesse changeantes. Lorsqu’on ne peut pas ou veut pas s’adapter à tel phénomène ou tel être, on se retrouve en porte-à-faux. Le thème d’un individu révèle nombre de ses facteurs d’adaptation et d’inadaptation. L’habillement des bédouins est adapté à la vie dans le désert et inadapté à celle des villes des zones tempérées ; un lapin de garenne est adapté à son environnement boisé, mais incapable de survivre en milieu glaciaire, ce que sait en revanche très bien faire un phoque ; un citadin chercheur en biologie moléculaire est adapté à la vie en laboratoire aseptisé, ce que n’est pas un cultivateur qui a toujours vécu au grand air ; le cyprès est adapté au climat provençal, il ne l’est pas à celui de la Bretagne ; un individu né avec une dominante Uranus-Vierge consonante est adapté aux travaux qui demandent une précision méticuleuse et une grande patience, alors qu’un autre né avec une dominante Mercure-Gémeaux ne l’est pas… Ces quelques exemples nous montrent que les processus d’adaptation et d’inadaptation concernent toutes les espèces vivantes.
▶ Adaptation signifie réponse opportune, appropriée, actuelle à un stimulus (un être, une chose ou une situation). Exemples : s’il fait tout-à-coup très froid, une réponse adaptée à la subite baisse de température est de m’habiller chaudement avant de succomber à une grippe ; si je suis attaqué, il me faut soit fuir, soit me défendre ; si je participe à une réunion mondaine, je respecte les règles de la vie en société. Dans tous ces cas, j’ai répondu au signal prépondérant, à l’aspect le plus concret et le plus important de la situation à laquelle j’étais confronté ; s’il se met à geler, je dois mettre de côté, reporter à plus tard, par exemple, la rédaction de mon courrier : l’urgent est de préserver ma santé ; si l’attaque dont je suis l’objet risque de me faire perdre la vie, il n’y a rien de plus essentiel que d’agir de telle sorte que je puisse la conserver ; si j’assiste à un cocktail pour me faire des relations, ce n’est vraiment pas le moment de jouer les trouble-fêtes.
▶ Inadaptation signifie réponse inopportune, inappropriée, inactuelle à un stimulus (un être, une chose ou une situation). Exemples : décider d’entreprendre des travaux dans mon jardin requérant beaucoup d’énergie en pleine période de canicule ; me défendre en contre-attaquant un adversaire beaucoup plus fort que moi ; arriver en jeans et tee-shirt froissé à une réunion professionnelle où tout le monde est en costume-cravate impeccable. Dans tous ces cas, je suis “à côté de la plaque” et, consciemment ou inconsciemment, volontairement ou non, j’ai réagi à un aspect non-dominant de la situation : au lieu d’attendre la fraîcheur du soir pour jardiner sans danger pour ma santé, j’ai succombé à mon envie de couper mes rosiers ; au lieu de fuir ou de ruser, comportements adaptés lorsque je suis en face d’un adversaire supérieur en force ou en nombre, ma témérité m’a poussé à le combattre de front ; en n’ayant pas respecté les codes vestimentaires de ma réunion professionnelle parce que je me sens mieux dans une tenue décontractée, je me suis fait “mal voir”, je me suis marginalisé, avec tous les risques que cela comporte.
En sus de ses indispensables adaptations naturelles, l’individu doit aussi s’adapter à la société et à la culture au sein de laquelle il naît et dont, qu’il le veuille ou non, il fait partie. Qu’est-ce qu’une socio-culture ? Un ensemble de règles, de lois, de rites, de hiérarchies, de mythes, images et langages qui structurent et organisent une collectivité. Être adapté à son environnement socio-culturel, c’est en accepter, consciemment ou non, les lois et le langage. La désadaptation ou l’inadaptation surviennent dès qu’on les refuse ou qu’on n’est pas en mesure de les intégrer. Un individu adapté sait reconnaître, assimiler et reproduire les signaux dominants, consensuels de sa socio-culture, ce qui lui permet en retour d’être par elle reconnu comme “normal”, “comme les autres” ; inversement, un inadapté social échappe au consensus socio-culturel… et est donc considéré comme “asocial” ou “marginal” par les adaptés…
À ce stade de la présentation, il est temps de noter que le mot “inadaptation” n’a aucune connotation péjorative ou dévalorisante. Il se contente de décrire un état de fait : un nomade du Sahel n’est pas adapté à la socio-culture du XVIe arrondissement de Paris ; inversement, un bourgeois du XVIe est inadapté à la vie dans le désert. Il n’y a là aucun jugement de valeur : c’est un constat objectif.
“La société sent, pense et agit jusque dans les plus personnels d’entre nous, et il est fort heureux qu’il en soit ainsi. Tous ceux qui adoptent les idées et les passions de leur milieu, tous ceux qui les combattent, tous ceux qui tâchent de les améliorer et de les modifier doivent à la société ou la forme même de leur esprit, ou la matière sur laquelle cet esprit s’exerce… Les uns reçoivent passivement et les autres s’assimilent, transforment, provoquent même, recherchent l’excitation et réagissent ; ils ne se bornent pas à recevoir, ils rendent à leur milieu parfois plus qu’ils n’en ont reçu (1).” Adapté ou inadapté, chaque individu se caractérise aussi par sa richesse et sa pauvreté.
Il ne s’agit pas ici de richesse ou de pauvreté matérielles, mais fonctionnelles. Une individualité de type riche se caractérise par sa fertilité, sa créativité, la pluralité des possibles qui l’animent, alors qu’une individualité de type “pauvre” a de faibles ressources créatives, des centres d’intérêts réduits et stériles. Comme l’indique la citation ci-dessus, un individu “pauvre” se contente de recevoir passivement son héritage socio-culturel, alors qu’un individu “riche” s’efforce activement de prolonger, modifier, réformer ou révolutionner cet héritage.
Dans toute socio-culture, une frontière sépare le monde des adaptés (dominants en nombre) de celui des inadaptés (minoritaires). À cheval sur cette frontière impalpable mais réelle se trouvent les adaptés et les inadaptés pauvres, tandis que les adaptés et inadaptés riches se trouvent à l’extérieur.
D’une manière générale, le type adapté se sent à l’aise dans son milieu, dans son époque. Il en assimile sans peine et sans rechigner les valeurs et les modèles socio-culturels ou spirituels ; il n’a pas de mal à y dénicher les moyens et les raisons, valables ou non, de s’y épanouir, d’y être bien dans sa peau. L’intégration au consensus social dominant est pour lui un phénomène quasi-naturel.
▶ L’adapté riche : il se caractérise par l’ampleur de son champ de conscience. Sa vision est large, et il dialogue librement avec l’actuel, le contemporain ; il sait d’une manière ou d’une autre, que ce soit dans l’art, l’action ou la pensée, distiller sa créativité, la faire reconnaître et accepter sans pour autant y perdre de son authenticité, de son originalité individuelle. Non seulement il intègre les lois et valeurs propres au consensus socio-culturel où il vit, mais il cherche à les développer, à les faire fructifier en y amenant sa quote-part, sa contribution personnelle. Il est apte à réussir à la fois socialement et humainement, à trouver un juste compromis entre son idéal personnel et les valeurs de sa génération. Cette relation féconde et homogène avec le monde actuel lui permet de s’y sentir parfaitement intégré.
▶ L’adapté pauvre : il se caractérise par la superficialité de son champ de conscience : l’individu s’épanouit en survolant êtres et choses, en se posant le moins de questions possibles. Il se borne à ratifier passivement son allégeance aux modèles socio-culturels de son milieu, de son époque, de sa génération, quitte à oublier presque totalement d’être lui-même. C’est monsieur Tout-le-Monde, partie molle, docile et intégrante du consensus majoritaire qui le façonne, plus préoccupé de réussite sociale que de réussite humaine. Il pense ce que pense le plus grand nombre, fait ce qu’on lui dit de faire en évitant soigneusement de remettre en question les normes du monde où il vit. Son conformisme plat le rend éventuellement hyper-allergique à toutes les manifestations de déviance : son adaptation sans racines profondes se construit sur le rejet de ce et de ceux qui ne respectent pas les règles dominantes et sur la crainte d’en partager le sort.
L’inadapté, au fond, ne parvient pas à trouver un modus vivendi avec son milieu et son époque. Il s’y sent mal à l’aise, il n’est pas sur la même longueur d’onde et refuse, implicitement ou explicitement, activement ou passivement, d’intégrer les valeurs et normes de sa génération, de son contexte socio-culturel. Son inadaptation le pousse à se tenir, volontairement ou non, à l’écart des modèles sociaux dominants, pour le meilleur et pour le pire…
▶ L’inadapté pauvre : il se caractérise avant tout par l’étroitesse de son champ de conscience, c’est-à-dire le manque d’ampleur de sa vision du monde. Sa vie sociale peut être extrêmement précaire et difficile, son dialogue avec le contemporain un dialogue de sourds. Il se sent incompris, exclu, rejeté, sans cherche à comprendre véritablement le monde qui l’entoure, sans vouloir ou pouvoir discerner le pourquoi ou le comment de son exclusion. Qu’il réagisse avec violence ou apathie, le risque pour lui est de se replier complètement sur sa subjectivité meurtrie. Il peut justifier son impuissance à intégrer, à accepter les normes socio-culturelles de son milieu, de son époque en se faisant l’émissaire de valeurs ou d’idées impraticables ou ineptes, le condamnant de toutes façons à diverses formes de ghetto. Il peut aussi envier le sort de ceux qui réussissent socialement mieux que lui, comme les adaptés pauvres de préférence.
▶ L’inadapté riche : il se caractérise avant tout par la profondeur de son champ de conscience. S’il ne parvient pas à s’intégrer dans son milieu et son époque, c’est parce qu’il est habité par des valeurs ou des idées qui sont inassimilables ou incompréhensibles pour ses contemporains : c’est le cas de bien des artistes, chercheurs, mystiques. Son inadaptation est active, créative : il sait consciemment ou inconsciemment pourquoi il rejette les modèles du consensus social dominant. Il sait aussi que ce n’est qu’au prix de la marginalité qu’il parviendra à préserver son authenticité d’être ou à maintenir les valeurs inactuelles qui l’habitent et l’animent. Pour lui, “être bien dans sa peau, c’est nécessairement entrer en conflit avec le milieu social” (H. Laborit). Aussi est-il beaucoup plus préoccupé de réussite humaine que de réussite sociale.
Dans tout groupe, collectivité ou société humaine, il y a toujours une majorité d’adaptés et une minorité d’inadaptés. Parmi les premiers comme parmi les seconds, les individualités “riches” sont une minorité. Cela n’a rien de surprenant : l’adaptation est un processus relativement facile et naturel. Il demande simplement l’acceptation implicite ou explicite du monde présent, des règles de la vie en société, des valeurs culturelles ou spirituelles dominantes en un lieu et un moment donnés. L’être à individualité riche y déploie librement sa créativité en donnant au consensus majoritaire des valeurs pour maintenir et renouveler sa dominance… l’être à individualité pauvre s’y épanouit en s’y évanouissant, en renonçant à presque tout ce qui fait son originalité, tant il est vrai que “Beaucoup de gens n’ont pour ainsi dire pas d’existence personnelle, ils représentent surtout les opinions et les sentiments du milieu social dont ils font partie… Livrés à eux-mêmes ils ne sont presque plus rien, d’insignifiantes poupées (2).”
L’inadaptation est un processus autrement plus complexe. Être adapté signifie être en phase avec l’actualité, donc inadapté avec l’inactuel ; inversement, inadaptation à l’actuel signifie adaptation virtuelle à l’inactuel. Et l’inactuel (le passé, le futur et tous les présents “parallèles” qu’on veut bien imaginer) peut avoir autant de valeur que l’actuel… Ainsi, l’inadaptation peut prendre ses sources ou trouver ses fondements dans le passé, le futur… ou l’absolu, qui est un infini présent.
Il existe des êtres qui rêvent d’un avenir meilleur ou différent, de “lendemains qui chantent”, d’un monde futur où ils imaginent et espèrent qu’ils auraient enfin leur place, où ils pourraient enfin s’intégrer. Les inadaptés pauvres se contentent de cultiver des aspirations chimériques, alors que les riches se battent ou sèment des graines pour faire advenir ces possibles à venir.
Il en est d’autres qui évoquent avec regret ou nostalgie un passé révolu ou mythique, des époques ou civilisations défuntes en se disant qu’ils auraient sans doute pu y trouver leur place, leur raison d’être ou une vie plus épanouissante. Dans ce registre, les inadaptés pauvres invoquent un “bon vieux temps” qui n’a jamais existé, alors que les inadaptés riches pestent avec raison, en s’appuyant sur les authentiques richesses du passé, contre une prétendue “modernité” qui n’a à leurs yeux rien apporté de bon. Enfin, il y a ceux qui, hantés par l’absolu, par l’intemporel, vivent dans un autre présent du monde, dans un univers de pensée ou de sensibilité parallèle, dans d’autres systèmes de références : ce sont les mystiques et certains philosophes par exemple, mais aussi tous ceux qui sont les vecteurs d’une vision du monde fondamentalement juste, mais que leur époque, leur milieu et leur génération ne savent, ne veulent ou ne peuvent assimiler et accepter. Ceux-là peuvent éventuellement avoir raison contre tout un consensus majoritaire, toute une socio-culture dominante, parce que c’est l’esprit intemporel qui les habite, et non l’air éphémère de l’actualité… En général, leurs visions singulières et marginales de leur vivant sont les ferments des futurs consensus majoritaires, la plupart du temps très longtemps après leur mort.
Les “types” purs ci-dessus décrits ne sont bien entendu que des portraits théoriques, des caricatures qui se rencontrent rarement dans le réel. Dans l’adaptation comme dans l’inadaptation, c’est tout un vaste nuancier qui sépare les “riches” des “pauvres”. Et chacun d’entre nous a ses zones d’adaptation et d’inadaptation privilégiées : par exemple, un individu né sous une dominante Mars-Jupiter en Bélier ou Gémeaux et avec Saturne-Pluton très faibles en Poissons sera hyper-adapté aux situations demandant des réponses vives, rapides, immédiates, celles qui exigent qu’on prenne les choses à bras-le-corps sur le champ ; par contre, il se montrera la plupart du temps inadapté si les circonstances lui demandent de faire preuve de recul, de réflexion, de mesure, de patience et de ne réagir que lentement, progressivement.
En règle générale, les Signes et Planètes majoritairement consonants favorisent les réponses adaptées, alors que les dissonances, si nous n’avons pas appris à les maîtriser, sont susceptibles de nous valoir nos temps forts de réponses inadaptées. Notons aussi que les configurations zodiaco-planétaires dominantes sont plutôt en rapport avec l’adaptation et les non-dominantes avec l’inadaptation. Chez l’inadapté riche, ces dernières éveillent l’inconscient sur un mode créateur, alors que chez le pauvre les irruptions de l’inconscient sont la plupart du temps perturbatrices, tout cela dépendant de l’ampleur et de la profondeur de l’inadaptation…
Ni son adaptation ni son inadaptation, ni leur richesse ni leur pauvreté ne sont inscrites dans le thème d’un individu. Le thème d’un individu ne nous renseigne que sur la manière dont un individu est susceptible d’être adapté ou inadapté. Pour comprendre pourquoi, utilisons une nouvelle fois le système S.O.R.I. (Sujet-Objet-Relation-Intégration).
On n’est pas adapté ou inadapté en soi, on l’est à quelque chose d’extérieur à soi. L’individu (Sujet) est confronté à une socio-culture (Objet) ; s’il établit avec elle une relation adaptée (Relation), il peut s’y intégrer (Intégration), mais si la relation qu’il établit avec elle est inadaptée, l’intégration devient difficile, sinon impossible. L’individu-Sujet ne choisit pas forcément — en fait, rarement — d’être adapté ou inadapté à la société dont il fait partie. S’il naît et est éduqué dans un milieu globalement adapté, il a de fortes chances de le devenir à son tour, et inversement. Un adapté peut se transformer en inadapté à la suite d’une épreuve majeure dont il n’est pas responsable (licenciement + divorce + deuil très mal vécus par ex.).
Adaptation et inadaptation sont en outre des termes relatifs : on peut être inadapté à la socio-culture dominante, et sur-adapté à une sous-culture marginale (ghettos, sectes, “bandes”)… à laquelle les adaptés à la socio-culture dominante seront forcément inadaptés.
Notes
(1–2) Les Caractères, Frédéric Pauhlan, Éd. Félix Alcan.
Article paru dans le n° 8 des Cahiers conditionalistes (octobre 1984) et dans le Manuel d’astrologie universelle, Éd. Dervy, 1993.
▶ Protocole de hiérarchisation d’Astrosoft 2.2
▶ Historique de l’évaluation des puissances planétaires
▶ Fréquences et intensités, une méthode d’interprétation
Les significations planétaires
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620 pages. Illustrations en couleur.
La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.
La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.
La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.
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Pluton planète naine : une erreur géante
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117 pages. Illustrations en couleur.
Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.
Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?
Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !
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