Pour devenir un bon astrologue, il est indispensable de prendre régulièrement la peine de décrypter des comportements des individus pour en déduire les grandes lignes de leur thème natal sans même connaître ce dernier : c’est ce qu’on appelle des expériences “en aveugle”, et ce n’est qu’ainsi qu’on perçoit à quel point l’astrologie est un savoir concret, expérimental, vivant.
Le portrait psychologique qui suit est composé de divers textes empruntés, soit à l’individu lui-même, soit aux témoignages de ses proches, soit à ceux de psychologues ou critiques littéraires qui le connaissent bien. L’ensemble a été refondu et organisé pour en faire un texte homogène, tout en gardant les descriptions exactes faites par les uns et les autres. Le but de l’exercice est de découvrir, après analyse minutieuse et approfondie, quelles sont les dominantes et non-dominantes planétaires de cet écrivain très connu.
Dans un premier temps, reportez-vous à la description des fonctionnements astro-psychologiques correspondant à chaque Planète ou famille planétaire. Lisez ces textes afin d’évaluer, après mûre réflexion et analyse approfondie, quelle(s) fonction(s) planétaire(s) transparaissent dans la description de chacun des traits de caractère de cet individu.
Dans un deuxième temps, efforcez-vous de deviner quels pourraient être les Aspects dominants de son thème : consonances, dissonances. Ce portrait a été construit de telle manière qu’en principe cela ne vous sera pas trop difficile.
Enfin, faites vos pronostics : selon vous, au terme de ce travail, quelles familles planétaires et quelles planètes sont probablement dominantes et lesquelles ne le sont probablement pas ? Donnez précisément les raisons et arguments qui vous ont conduit à procéder à ces choix.
Cet homme est un écrivain qui vit la plupart du temps retiré dans sa maison familiale, écrivant dix à douze heures par jour en peaufinant obsessionnellement son style. Il est habité par une vague aspiration vers une harmonie universelle plus vague encore ; il ne se sent pas plus moderne qu’ancien, pas plus Français que Chinois, et l’idée de la patrie lui a toujours parue étroite, bornée et d’une stupidité infinie. Il a un cercle d’affection très restreint, tout juste quelques vieux amis auxquels il est extrêmement fidèle ; l’humanité l’intéresse peu et les idées politiques le laissent sceptique et indifférent. Il reste toujours naïf et crédule, “gobeur”. Déjà dans sa première enfance, à six ans, pour se débarrasser de lui, un vieux domestique l’envoyait au jardin “voir s’il y était”. Il y allait et il paraît avoir gardé toute sa vie quelque chose de cette disposition. Pour lui, rien ne valant la peine plus qu’autre chose, le temps s’écoule, indifférent. Il voyage comme un désœuvré qui n’a qu’à essayer de tuer le temps, par l’indifférence ou le retour aux souvenirs d’enfance, en dérivant au fil des événements. Chez lui, l’appel du sublime, du grandiose, de l’exotique somptueux est combattu par la volonté de faire malgré tout de la belle littérature avec les médiocres sujets tirés du quotidien. Ses héros rêvent beaucoup et l’importance de la rêverie est un point capital. On rêve plus qu’on agit. Dans son style, il veut obtenir un effet de mouvement uniforme et de coulée, afin que le texte donne accès à la conscience des personnages sans qu’il y ait rupture avec la description de leur être intérieur, par glissement du point de vue externe au point de vue interne : “N’importe, bien ou mal, c’est une délicieuse chose que d’écrire, que de ne plus être soi, mais de circuler dans toute la création dont on parle. Aujourd’hui par exemple, homme et femme tout ensemble, amant et maîtresse à la fois, je me suis promené à cheval dans une forêt par un après-midi d’automne, sous des feuilles jaunes, et j’étais les chevaux, les feuilles, le vent, les paroles qu’on se disait, et le Soleil rouge qui faisait s’entre-fermer leurs paupières noyées d’amour.”
Il a ses coups de désirs ; c’était un gaillard solide dans sa jeunesse et qui tirait des bordées de matelot. Les désirs sont très forts chez lui. Tous ses sentiments si intenses et si persistants se mettent très aisément en activité. Il sent très vivement et très facilement. Il a de fortes affections de famille, il montre toujours un grand attachement pour sa mère et pour sa sœur. Dans le contact de la vie de tous les jours, se développe en lui une grosse affectuosité qui n’est pas sans charmes. L’amour tient peu de place dans sa vie quotidienne, et cependant il rêve d’un amour pur, idéal, non satisfait ; sa relation avec sa maîtresse est difficile, discontinue, traversée de multiples disputes et ruptures. Il craint l’intrusion d’une femme dans sa vie, parmi ses projets et ses notes. Sa sensibilité excessive lui fait sentir comme des blessures les banalités stupides que chacun répète chaque jour, et il y a dans sa nature comme une sorte d’impossibilité au bonheur. Lorsqu’il écrit, il jette d’abord sur le papier les mots sans tenir compte des relations grammaticales, comme le peintre qui jette sur sa toile les premières esquisses ; puis il construit la phrase en mettant en valeur les mots essentiels ; enfin, il déclame à haute voix ses textes. De cette manière, les phrases défectueuses ne peuvent résister à l’examen : elles ne correspondent pas au rythme respiratoire : “Avec notre langue châtrée par les grammairiens et déjà si pauvre, écrit-il, si châtrée d’elle-même, pouvez-vous exprimer tout le parfum d’une fleur, tout le verdoyant d’un pré d’herbe ?”
Ce qu’il aime par-dessus tout, c’est la forme, pourvu qu’elle soit belle, et rien au-delà. Il n’y a pour lui dans le monde que les beaux vers, les phrases bien tournées, harmonieuses, chantantes, les beaux couchers de Soleil, les clairs de Lune, les tableaux colorés, les marbres antiques et les têtes accentuées, au-delà rien. Il se fiche bien de l’Idée, et pour lui la morale n’est qu’une partie de l’esthétique, mais sa condition première. Ses personnages imaginaires l’affectent, le poursuivent, ou plutôt c’est lui qui est en eux. Il avoue être né avec tous les vices, et qu’il en a supprimé radicalement plusieurs, ne donnant aux autres qu’une pâture légère afin de ne pas en être perturbé. L’acharnement qu’il met à perfectionner sa prose, il le met parfois à arranger sa personnalité. Le seul moyen de n’être pas malheureux selon lui, c’est de s’enfermer dans l’art et de compter pour rien le reste, et tout particulièrement toute forme d’ambition sociale : “Arriver à quoi ? Etre connu n’est pas ma principale affaire, cela ne satisfait entièrement que les très médiocres vani-tés… Je vise à mieux, à me plaire.” Le succès est pour lui un résultat, et non un but et il se montrait extrêmement critique et sarcastique vis-à-vis de ce ceux qui ne vivent que par et pour cet objectif.
Le mouvement lui est toujours antipathique. L’antagonisme entre travail cérébral et l’exercice musculaire arrive chez lui à son maximum. Le seul exercice physique auquel il se plaît, c’est celui des organes de la voix. La vie est pour lui une chose tellement hideuse que le seul moyen de la supporter est de l’éviter. Et il l’évite en vivant dans l’art, dans la recherche incessante du vrai et du beau. Faire vrai ne lui paraît pas être la première condition de l’art. Viser au beau est le principal. Il n’a pas assez d’ironies, de sarcasmes, de colères et d’exaspérations contre la platitude, la vulgarité, la banalité, ou même l’insuffisance d’admiration et la faiblesse relative du sens esthétique. Tout en les dénonçant, il cultive l’amour de la bêtise, du vice, et peut-être de l’horrible. Son bonheur à découvrir les turpitudes humaines, là surtout où règnent les dehors de la vertu est permanent : “J’ai là, je crois, des détails coquets, et j’espère soulever le cœur des honnêtes gens.” La déplorable manie de l’analyse l’obsède. Il n’est pas fait pour jouir ; il ne faut pas prendre cette phrase dans un sens terre-à-terre, mais en sentir l’intensité métaphysique.
La première opération consiste à étudier le champ lexical du texte en fonction des mots-clés attribués à chaque fonction et famille planétaire : quels sont les mots et expressions les plus fréquemment utilisés ? Dans quels contextes ? Quels sont les ensembles de mots et expressions dont le sens général converge sur une fonction ou famille planétaire précise ?
La règle est la suivante : si le portrait psychologique fait bien état de l’ensemble des tendances de la personnalité, plus l’occurrence de mots et expressions correspondant à une fonction ou famille planétaire est élevée, et plus il est probable que cette fonction ou famille soit dominante ; si l’occurrence est moyenne, elle est co-dominante ou sous-dominante ; si elle est faible, elle est non-dominante.
Certaines expressions ou phrases peuvent décrire deux ou plusieurs fonctions ou familles différentes ; il s’agit alors de trouver si leurs relations sont consonantes ou dissonantes. En cas de consonance, les adjectifs, adverbes et tournures de phrases font état d’une absence de tension, de distorsion ; en cas de dissonance, ils font état d’un conflit, d’une ambivalence, d’un rejet ou d’un va-et-vient discordant entre tendances.
Enfin, il reste à analyser le champ lexical absent : quels sont les mots et expressions désignant une fonction ou famille planétaire qui n’apparaissent jamais ou dont l’occurrence est à tout le moins extrêmement faible ? Ces absences sont elles aussi significatives et désignent les fonctions ou familles non-dominantes.
- “une vague aspiration vers une harmonie universelle plus vague encore” : cette expression illustre à la fois la perception globale et indifférenciée (“vague”) et l’osmose, la fusion (“harmonie universelle”) propres à la fonction lunaire. Le mot “vague” nous met sur la piste d’un éventuel “non-r”.
▶ “cercle d’affection très restreint” : les mots “cercle” et “restreint” évoquent la groupalité et l’intimité lunaires ; l’expression “cercle d’affection” met sur la piste d’un éventuel rapport Lune-Vénus.
▶ “naïf et crédule, gobeur” : ces trois mots renvoient directement à des traits de caractères typiques de la fonction lunaire, cela d’autant plus qu’ils se sont perpétués tout au long de la vie du sujet.
▶ “désœuvré qui n’a qu’à essayer de tuer le temps, par l’indifférence ou le retour aux souvenirs d’enfance, en dérivant au fil des événements” : cette phrase exprime aussi des attitudes caractéristiques de la fonction lunaire.
▶ “Désœuvré qui n’a qu’à essayer de tuer le temps” illustre le manque de motivation, l’abandon à un état végétatif, le manque d’entrain, l’attentisme inerte de la fonction lunaire dissonante et/ou mal intégrée et peut nous mettre sur la piste d’une éventuelle faiblesse de Mars (activité, entrain) ; “l’indifférence” n’est pas en soi un trait de caractère lunaire : elle peut aussi découler d’un niveau ‘t’ dominant. Mais il existe néanmoins une indifférence de type lunaire, celle de l’être qui vit dans sa “bulle” et qui ne s’intéresse pas au monde extérieur tant que celui-ci ne le dérange pas ; l’occurence très élevée des mots et expressions renvoyant à la fonction lunaire incite en outre à privilégier le caractère lunaire de cette “indifférence”, cela d’autant plus qu’elle peut se transformer aisément en “retour aux souvenirs d’enfance”, c’est-à-dire en nostalgie d’un paradis perdu, d’un monde sans soucis et sans responsabilités ou l’on n’a pas à “assurer”, à se confronter avec le monde réel… ce qui nous met à nouveau sur la piste de la faiblesse de Mars et de la famille ‘E’. Enfin, l’expression “dérivant au fil des événements” renforce encore la présomption d’une forte dominante lunaire et de faibles niveaux ‘r’ et ‘E’ : on se laisse porter par les circonstances en cherchant les lignes de moindre résistance, on ne prend pas la situation en mains, on ne cherche pas à modifier le cours des choses en agissant, en exerçant sa volonté.
▶ “sujets tirés du quotidien” : la quotidienneté, la routine, la banalité relèvent de la fonction lunaire. Celle-ci paraît d’autant plus dominante que le texte ne comporte pas d’autres expressions ayant trait au “grandiose”, à l’héroïque, etc., ce qui induit que l’individu n’a rien d’un super-héros aventurier…
▶ “l’importance de la rêverie est un point capital” : le mot “rêverie” revient plusieurs fois, et les personnages-phares des romans du sujet sont des “rêveurs” qui ne prisent guère “l’action”. La haute fréquence des états de rêverie est caractéristique de la fonction lunaire : on s’abandonne longuement à ses songes, on préfère rêver sa vie que vivre ses rêves, on existe dans un entre-deux flou… et la présomption de faiblesse du ‘r’ et du ‘E’ s’en trouve encore renforcée.
▶ “mouvement uniforme et de coulée” : d’un point de vue stylistique aussi, le sujet cherche a obtenir un effet d’homogénéité, une écriture si lisse et si “coulée” qu’elle vous met en douceur “dans le bain” des situations que vivent les personnages.
▶ “glissement du point de vue externe au point de vue interne”. Le mot “glissement”, qui suit “uniforme” et “coulée”, évoque une absence de friction typique de la fonction lunaire ; le passage insensible de l’interne à l’externe est caractéristique de l’état de “non-séparabilité” de cette même fonction : osmose entre le sujet et le monde, indifférenciation de l’objectif et du subjectif, que l’on retrouve dans la phrase “j’étais les chevaux, les feuilles, le vent, les paroles qu’on se disait…” : il n’y a plus de différence entre l’observateur et la chose observée, on fusionne avec son environnement.
- “coups de désirs”… “Les désirs sont très forts chez lui. Tous ses sentiments si intenses et si persistants se mettent très aisément en activité. Il sent très vivement et très facilement”… “grosse affectuosité qui n’est pas sans charmes” : les mots “désir”, “sentiments”, “affectuosité” illustrent bien le niveau-but “existence” des fonctions marsienne et vénusienne : puissance des affects, des émotions, des envies.
▶ “les mots sans tenir compte des relations grammaticales, comme le peintre qui jette sur sa toile”… “Avec notre langue… exprimer tout le parfum d’une fleur”… “la forme, pourvu qu’elle soit belle, et rien au-delà”… “les phrases bien tournées, harmonieuses, chantantes” : pour un vénusien, les mots (niveau-source “Représentation”) comptent plus pour l’émotion qu’ils expriment (niveau-but “existence”) que pour leurs relations grammaticales, officielles (Vénus “non-r” inverse de Jupiter). Mots et phrases (‘R’) doivent provoquer chez le lecteur des sensations agréables (‘e’).
▶ “fortes affections de famille”
▶ “grand attachement pour sa mère et pour sa sœur”.
▶ “L’amour tient peu de place dans sa vie quotidienne, et cependant il rêve d’un amour pur, idéal, non satisfait.”
▶ “Il craint l’intrusion d’une femme dans sa vie, parmi ses projets et ses notes”.
▶ “Sa sensibilité excessive lui fait sentir comme des blessures les banalités stupides que chacun répète chaque jour”.
▶ “Ses personnages imaginaires l’affectent, le poursuivent, ou plutôt c’est lui qui est en eux”.
▶ “ne donnant… (aux vices) qu’une pâture légère afin de ne pas en être perturbé”.
▶ “Être connu n’est pas ma principale affaire”.
▶ “Le succès est pour lui un résultat, et non un but”.
▶ “Le mouvement lui est toujours antipathique”.
▶ “L’antagonisme entre travail cérébral et l’exercice musculaire arrive chez lui à son maximum”.
▶ “La vie est pour lui une chose tellement hideuse que le seul moyen de la supporter est de l’éviter”.
▶ “Faire vrai ne lui paraît pas être la première condition de l’art”.
▶ “critique et sarcastique”.
▶ “Il n’a pas assez d’ironies, de sarcasmes, de colères et d’exaspérations contre la platitude, la vulgarité, la banalité”.
▶ “Tout en les dénonçant, il cultive l’amour de la bêtise, du vice, et peut-être de l’horrible”.
▶ “Son bonheur à découvrir les turpitudes humaines, là surtout où règnent les dehors de la vertu est permanent”.
▶ “Des détails coquets, et j’espère soulever le cœur des honnêtes gens”.
▶ “La déplorable manie de l’analyse l’obsède”.
L’écrivain dont il est question est Gustave Flaubert, né le 12/12/1881 à 4 h 00 HO à Rouen (49° 27′ N, 1° 04′ E), auteur notamment de L’Éducation sentimentale, de Bouvard et Pécuchet, de Madame Bovary et de Salammbô.
▶ Théorie de l’interprétation
▶ Astrologie et connerie
▶ Astrologie et inconscient, des atomes aux planètes
▶ Astrologie, adaptation & inadaptation
▶ Exercice d’interprétation en “aveugle”
▶ Fréquences et intensités, une méthode d’interprétation
▶ Historique de l’évaluation des puissances planétaires
▶ Interpréter globalement
▶ La correction de l’heure de naissance
▶ La fonction “aveugle” et le S.O.R.I.
▶ La hiérarchisation des planètes
▶ Le “Héros” et son “Ombre”
▶ Protocole de hiérarchisation d’Astrosoft 2.2
▶ Thème de domitude et hiérarchisation planétaire
Les significations planétaires
par
620 pages. Illustrations en couleur.
La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.
La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.
La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.
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Pluton planète naine : une erreur géante
par
117 pages. Illustrations en couleur.
Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.
Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?
Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !
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