“Mouchy, ne sois pas triste, ne regarde pas l’avenir avec défiance, travaille avec joie à notre nouveau home qui sera un asile de repos et de paix pour tous deux.” Ces propos, Mme Neel les écrit à son mari Philippe, un mois après leur mariage, le 27 septembre 1904. À cette époque, il n’est pas encore question pour elle de voyage en Asie, seulement d’études en France, alors que M. Neel est resté en Tunisie. Pourtant ce “home” dont elle parle, ne sera pour Alexandra David-Neel qu’une boîte postale pendant plus de trente années de vagabondages en Asie.
Dans la correspondance qu’elle entretiendra tout au long de la vie de son mari, c’est à dire de 1904 à 1941, année du décès de Philippe Neel, Alexandra nous dévoile non seulement ce qui l’a rendue célèbre, son amour du Bouddhisme, mais aussi sa vie, ses pensées de femme. C’est à travers le manuscrit mis en page quelques temps après sa mort par sa dernière secrétaire, Marie-Madeleine Peyronnet, que nous allons tenter de percer le mystère David-Neel.
Uranus, planète n° 1 de la hiérarchie d’Alexandra David-Neel est dans ce nom donné à sa dernière demeure à Digne, illustré au mieux. L’inconscient, la pensée intellectuelle cernés par les remparts protecteurs du Cancer.
“…mais je suis emportée par quelque chose…, par quelque chose qui est fait de la force de mes désirs concentrés, accumulés pendant tant d’années. Je vis des heures que je sais ne devoir jamais revivre, des heures studieuses où l’étude est autre chose que la lecture de textes morts, où elle est chose vivante, prenante, grisante infiniment… Si je dois vieillir, j’ambitionne la vieillesse travailleuse d’un Elisée Reclus et de tant d’autres qui sont demeurés lucides jusqu’à la fin… et oui, avec ce que je récolte aujourd’hui je bâtirai, pour mes dernières années un refuge. Ce seront des livres, des études…”
La fonction ‘T’ amène le sujet à explorer l’inconnu ; l’imagination débordante des ‘T’ leur fait souvent toucher du doigt des vérités profondes. Avec Uranus, le ‘T’ s’éclaircit, se clarifie et surtout se codifie ; avec Neptune, la transcendance se vit, se ressent. Alexandra ‘T’ cherche donc avant tout à mettre en avant la vérité profonde du Bouddhisme, son essence. Il ne s’agit pas pour A.D.N. d’une quête ‘t’, mais d’une révélation ‘T’ et dans la phrase pré-citée, “la force de mes désirs concentrés…”, cette certitude uranienne s’accorde l’appui neptunien d’une étude “vivante, grisante”. Il semble qu’à cette période de sa vie, Alexandra découvre une relative harmonie entre les deux planètes ‘T’ dominantes chez elle. En fait, Neptune transite Uranus par conjonction en Cancer : ainsi Mme Neel entend vivre, ressentir. Les chimères qui parasitent la clairvoyance s’estompent.
“Ah oui, le jeu de la pensée, la gymnastique de l’esprit délié analysant, disséquant, scrutant c’est le grand plaisir des ‘tout cerveau’, et crois bien que je n’y suis point devenue inapte et qu’il m’amuse toujours, mais il vient un temps où jouer ne semble plus le summum de l’intérêt. On a goûté à autre chose, entrouvert une autre porte […] mais déjà approchons-nous du seuil au-delà duquel cessent la foi, l’espérance, l’anxiété, le désir… et c’est là, à peu près, toute la sagesse.”
Ainsi l’uranienne découvre-t-elle les pensées neptuniennes, le désir de vivre la cérébralité qui l’habite depuis toujours. Avec Neptune, on ne pense pas, on vit la transcendance. C’est aussi pour cette raison que Philippe Neel s’inquiète de “son mysticisme croissant”. Rappelons que Neptune, bien que dominant dans le thème d’Alexandra, est au carré d’Uranus et conjoint à Jupiter. On peut ainsi penser que jusqu’à ce transit déterminant, cette fonction était maîtrisée par le ‘r’ (Soleil, Uranus, Jupiter) vigilant. Comme elle l’avoue dans la phrase citée ci-dessus, l’esprit analytique était sa passion favorite. Pas de place pour le vécu dans une cérébralité rigoureuse. En 1912, les choses changent, l’envie de ressentir ce que les études lui avaient enseigné est plus forte, plus présente, et cette porte entrouverte sur la sagesse n’est autre que l’émergence d’une fonction jusqu’ici ignorée. Ainsi Mme Neel parle-t-elle d’une “nursery”, tout comme les enfants qui découvrent à chaque âge une nouvelle fonction (voir la Théorie des âges).
“Quelles visions inoubliables où passent tant de choses en plus de celles que l’on voit avec ses yeux de chair.” Mme Neel est ici sous l’emprise totale d’un Neptune omniprésent durant ces années de quêtes religieuses : avec la fonction “existence de la Transcendance”, on est traversé par des émotions produites sous l’effet d’une réalité non perceptible concrètement, émotions envahissantes, enivrantes.
Alexandra n’échappe pas à la règle, et s’enrichit de tous ces signaux qu’elle perçoit à travers chaque excursion, chaque rencontre qu’elle multiplie à un rythme fou. Au cours de ces aventures spirituelles, elle se laisse emporter par l’existence réelle mais immatérielle du savoir Bouddhiste. Ce que les livres ou tout autre document lui avaient enseigné, est aujourd’hui réalité presque palpable, ne serait-ce qu’émotionnellement.
Alexandra souhaite d’ailleurs en tirer de grandes leçons, et à son tour se faire la porte-parole d’une religion encore ignorée en Europe. Ceci nous amène naturellement à évoquer la planète conjointe à Neptune et dominante dans le thème, Jupiter : Représenter et enseigner le Bouddhisme…
Mais elle a vécu parmi les choses dont elle parle, elle les a touchées et vu vivre ! Dans la majorité de ces lettres, elle ne manque pas une occasion de parler des conférences et projets d’enseignements qu’elle nourrit pour son retour. Mme Neel veut convaincre du bien-fondé du Bouddhisme, elle veut mettre des mots sur cette philosophie qui n’est que silence et cérémonial.
Il est bien question de rentabiliser les connaissances acquises. Mme Neel ne perd jamais de vue ses intérêts, elle n’accepte que ce qui semble servir ses ambitions (rencontres, cérémonies), même si ces dernières s’inscrivent dans un monde spirituel. Avec Jupiter conjoint Neptune, en Bélier, Signe d’excitation, et d’ouverture conditionnée par le sens des contraires, on porte un jugement pondéré sur les frémissements de l’étrange. Les intérêts individuels puisent leur bien-fondé dans une vision collective à laquelle on est perméable et réceptif. Alexandra aspire à la réforme du Bouddhisme, du moins de sa pratique et de son enseignement. Elle en parlera longuement avec le prince du Sikhim. Elle souhaite vivre de ses voyages, elle n’agit pas seulement dans un but individuel de recherche existentielle, mais avant tout dans l’objectif de s’imposer comme l’incontestable représentante légitime ‘r’ du Bouddhisme en Occident.
Avec Jupiter nous entrons dans la famille ‘r’ (Soleil, Jupiter, Uranus), deuxième famille dominante d’Alexandra. Nous sommes ‘r’ quand nous dictons notre loi, notre dogme, quand nous avançons vers un but individuel ou collectif, (cela dépend du niveau S.O.R.I. auquel on vit son thème) et que nous entraînons avec nous des disciples. Nous sommes ‘r’ quand, convaincus de détenir la vérité sur une chose essentielle, notre force de conviction nous emporte dans de grand discours fédérateurs. “Conquête du pouvoir”, nous disent les livres en décrivant le ‘r’. Alexandra veut s’imposer comme leader sur le marché encore vierge du Bouddhisme à l’occidentale.
Très souvent elle s’enorgueillit d’être là où elle est et d’être la première à le faire. Malgré tout, les marques de reconnaissance que lui témoignent à la fois les religieux et les autochtones ne la touchent que pour mieux l’amuser. Le Soleil n’étant pas dominant et donc absent de ce ‘r’, ce n’est pas l’adulation d’une déesse que cherche Alexandra. Individualiste, elle n’hésite pas, lors de sa première rencontre avec le Dalaï Lama, à lui dire qu’elle n’a jamais eu d’instructeur ou de gourou, et que vraisemblablement elle fut la première femme bouddhiste de Paris.
“Cet homme (le Dalaï lama) n’a pas ma sympathie… je n’aime pas les papes”. Le chef connu et reconnu comme tel, n’intimide pas Mme Neel, elle s’empresse d’ailleurs de noter qu’il n’est que le chef de l’Église lamaïste. La moquerie des fastes et révérences est sans cesse présente dans les compte-rendus qu’elle fait à son mari. Elle ne veut pas pour autant rester dans l’ombre des intellectuels parisiens qui dispensent leur enseignement tiré de lectures certes instructives, mais selon Alexandra loin d’être comprises et assimilées comme il faudrait. C’est pourquoi elle ne cesse de s’enquérir de nouveaux textes et de nouvelles discussions avec des pratiquants confirmés du Bouddhisme.
Et voila bien une autre force de la leader philosophique que nous étudions, la puissance du ‘E’ (Mars, Jupiter, Saturne). Les lettres, tout d’abord, ne sont que descriptions, anecdotes, et soucis matériels. Le ‘E’ d’Alexandra David-Neel, on le retrouve dans ce courrier abondant qu’elle entretiendra toujours, même dans les coins les plus reculés de la civilisation. Ses voyages, ses expéditions sont très organisés et lorsqu’un imprévu survient, elle s’attache aussitôt à le gérer au mieux. Les réalités ne sont jamais oubliées, elle n’a la tête dans les nuages que lorsque le matériel est réglé. Même si ses voyages ont été considérés par certains comme un vagabondage, il n’en a rien été : Mme Neel s’organisait en toutes circonstances.
Témoin de cette perception forte des réalités tangibles, les nombreux objets entassés dans sa dernière demeure à Digne. Alexandra n’abordait pas avant tout la vie au travers du concret, mais elle savait très bien composer avec les réalités de l’existence. Jupiter, Mars et Saturne étant harmonieusement reliés entre eux, le sens des réalités, l’esprit d’initiative co-dominant dans ce thème riche d’aspects ne posaient pas de véritables contraintes au sujet. La famille ‘E’ est complète : Alexandra David-Neel analyse, agit, et on l’a vu plus haut, elle enseigne, organise. Autant de qualités bienvenues lorsque l’on parcourt un territoire inconnu. Ses rapports à l’argent sont également éloquents, puisqu’elle a le souci permanent d’en trouver, d’en recevoir ou d’en gagner. L’argent, cause de disputes, par courrier interposé, entre Philippe et Alexandra ; la voyageuse réclame à partir de 1914, des sommes de plus en plus conséquentes et de plus en plus fréquemment. M. Neel, bien que de bonne composition semble traîner à satisfaire ces demandes.
Curieusement, alors que Philippe sous-entend la présence d’une autre femme à ses cotés, notre aventurière se lie d’amitié avec celui qu’elle adoptera dès son retour en France, Aphur Yongden.
En cette fin d’année 1914, Alexandra s’arrête un temps de voyager, et deux êtres importants font leur entrée dans sa vie. Tout d’abord, un lama vivant en ermite dans une caverne perchée à plus de 3000 mètres d’altitude dans l’Himalaya. Ce yogi apprendra à cette femme occidentale le tibétain et l’isolement rude et nécessaire à tout être désireux de croiser son destin de lumière. C’est à cette même époque que d’important transits s’opèrent dans le thème d’Alexandra.
Neptune entre en Lion et transite au carré du Soleil, ainsi que Saturne au trigone ; d’autre part Pluton entre en Cancer et arrive lui aussi en transit au trigone du Soleil ; quant à la Lune natale, elle reçoit par conjonction Jupiter et Uranus. Le détachement total à tout ce qu’a connu jusqu’ici Alexandra, en même temps une réorganisation totale de sa vie intime et intérieure.
Durant deux ans, presque sans discontinuer, elle va vivre auprès de ce lama, au rythme des leçons avec pour tout abri une caverne aménagée par ses soins (transit de Jupiter sur la Lune), peu de jours après son arrivée. Mme Neel semble oublier tout sauf le ‘T’, et avec de tels transits on peut aisément le comprendre ! Alors que la guerre fait ses ravages en Europe, Alexandra se nourrit de méditation et de contemplation : “le bouddhiste ne renonce qu’à ce à quoi il ne tient plus parce qu’il en a mesuré le vide, le néant.” Extrême lucidité, pour une femme qui se soucie très souvent d’un confort minimum il est vrai, mais toujours présent dans ses préoccupations.
“Petit e” sans Vénus, Mme Neel ressent la vie, et même l’au-delà, mais elle n’est pas sensible aux apparences. Comme nous l’avons décrit plus haut, elle vit ses émotions au travers d’une cérébralité toujours présente. Co-dominance du ressenti ‘e’ dans la description qu’elle fait de ses rêves : “J’ai rêvé que le Dalaï Lama était habillé en noir à l’européenne, et qu’il me donnait la bénédiction… J’ai souri, entre mes couvertures, songeant que le ‘malin’ tourne peut-être aussi autour de mes rêves nirvaniques…”
Neptune est ici très présent dans ce récit de songes, mais aussi inadaptation du ‘e’, qui lorsqu’il envahit par ses émotions le sujet, le fait délirer sur la présence d’esprits plus ou moins maléfiques. Mme Neel d’ailleurs ne s’y trompe pas puisqu’elle “sourit” de cette pensée. Lucidité, une nouvelle fois très forte chez cette femme qui bien que transportée sans cesse dans la philosophie, l’extase, les cérémonies transcendantales, reste à jamais les pieds sur terre. Faiblesse de Vénus, au début de son voyage, elle écrit à son mari qu’un couple ne doit pas s’installer dans une routine affective. La relation privilégiée n’est pas la force de Mme Neel, ce qui ne l’empêche pas d’avoir des sentiments pour ce mari qu’elle a épousé plus par défi que par amour : “…mais l’union intelligente et forte de deux forces et de deux intelligences, les met nus de cœur et d’âme l’un devant l’autre si bien qu’ils pensent toutes leurs pensées ensemble,même les plus obscures…”
Alexandra ne conçoit la relation à l’autre que dans une totale complicité d’esprit. Elle reprochera très souvent à son mari d’avoir une vue plus terre-à-terre du couple. Lorsqu’elle aborde le sujet très vénusien de la relation privilégiée, elle ne peut le concevoir qu’au travers les prismes d’une philosophie ‘T’ et pas du tout sur un plan purement émotionnel : “On a les jambes un peu molles, les reins un peu brisés […] Veux-tu me laisser te dire une chose : tu n’as jamais su ce qu’est la sensualité… la grande… celle des ‘tout cerveau !’”.
C’est après avoir assisté à un concert privé de musique tibétaine que notre aventurière écrit ces mots. Elle avoue ici ses sensations très vénusiennes à l’écoute d’une sonorité entraînant l’esprit loin de l’existence concrète. Illustration parfaite de ce qu’une Vénus faible peut être fortement envahissante lorsqu’elle est activée, touchée. Le sujet ne maîtrise alors pas l’émotion qui l’assaille et se confond en niaiseries dégoulinantes. Autre remarque d’Alexandra sur sa lucidité et sur les sensations : “L’enfer, je l’ai toujours imaginé dans la continuation indéfinie de la sensation qui a plu d’abord et finit par devenir torture par la prolongation d’une situation dont on a saisi l’horreur…” Vénus trigone Pluton illustre ici le désir assouvi, on perçoit toutes les failles, tout l’envers du décor, celui que les apparences ont tout d’abord occulté, mais que le long terme ne manque pas de mettre à jour.
Le ‘e’ de Mme Neel est aussi marqué par une Lune dissonante à Mars : “…s’accommoder des choses ou les briser…”. Alexandra ne prend pas de gants pour expliquer à son mari que sa vie de femme mariée et à la maison, n’est pas faite pour elle et qu’elle n’y prendra pas racine. Qui d’autre que cette femme a repoussé les limites avec autant de force, et de détermination ? “…coûte que coûte je veux rester vaillante jusqu’au bout de ce dernier effort.” L’énergie de Mars alliée ici au Lion s’exprime dans ces seuls mots, quelques soient les obstacles, santé, argent, rien n’arrête cette femme dans sa conquête. Chaque fois une visite s’impose et Alexandra repart sur les routes à pied, à cheval, à la rencontre de son destin vivant.
Ce Mars en Lion co-dominant, déjà “armé” pour rompre les limites, s’attache aussi à repousser la routine, la quiétude. Cet aspect se note aussi dans les propos suivants : “…mais la crainte de me ‘faire du mal’, l’appréhension instinctive plus rapide que tout raisonnement, qui me faisait reculer au premier abord, au gymnase, sous l’effet de mes cellules redoutant d’être froissées, endommagées…”, la vie intérieure, le corps craignant l’effort physique, la confrontation.
Pourtant, il semble qu’au regard du vécu, Alexandra a dans cette opposition préféré plus souvent Mars à la Lune : “Minutes heureuses, reposoir au milieu des préoccupations et des luttes de la vie…” État lunaire lorsqu’elle s’accorde un répit, du aux nombreuses conversations philosophiques avec des lamas : “Nous cessons de parler, le lama et moi, gagnés par l’extase de ce que nous avons évoqué, de la vision mentale née de nos paroles…” La Lune consonante à Jupiter et Neptune, amène Alexandra à savourer un bien-être dans le dialogue transcendental.
“Il n’y a pas eu grande place pour la fantaisie dans ma vie. Je m’en suis gardée toujours.” Le thème riche d’aspects d’Alexandra semble ne lui avoir laissé aucune faiblesse, pourtant ces propos révèlent la position du ‘R’ (Soleil, Mercure, Vénus) dans la hiérarchie R.E.T. Mme Neel n’était pas une mondaine sociable spontanée, curieuse et fantaisiste. Aucune rencontre sans intérêt philosophique ou financier, aucune discussion sans profondeur, juste pour le “fun”, pas d’amusement gratuit. Alexandra, au cours de ses voyages, dut se rendre plus d’une fois à des réceptions, des dîners, autant de corvées qu’elle remplissait avec le même dégoût, la même moquerie à chaque fois. Il semble que M. Neel soit lui plus mondain, plus superficiel aussi dans sa manière de vivre et peut-être donc plus ‘R’ que son épouse. Ainsi, lui écrit-elle : “Mon bien cher, je suis une incorrigible philosophe. Et comment peut-on vivre sans philosopher ? ceci demeure une énigme, comment fais-tu ?”
Mme Alexandra David-Neel est décédée alors qu’elle allait avoir 101 ans, c’est dire si sa vie ne peut se résumer à ces quelques lignes et encore moins l’étude de son thème ! La richesse de son thème n’est cependant peut-être pas indissociable de la richesse de son vécu. Il n’est pas question ici de durée mais bien de contenu, la plupart des familles R.E.T. étant dominantes ou sous-dominantes, les cordes de l’arc Neel étaient nombreuses.
Article paru dans le n° 9 du Fil d’ARIANA (avril 1998).
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