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Fondements réflexologiques des aspects

Dans le domaine des aspects l’absence d’une théorie astrologique fondée sur le réel se fait sévèrement sentir. À ma connaissance, aucun auteur n’a eu le souci de rattacher le nombre des aspects, leur qualité, leurs orbes, à des principes de base qui soient identiques à ceux des significations planétaires et des significations zodiacales.

L’approche traditionaliste de l’influence des Aspects

L’unification de l’astrologie préoccupe certes quelques chercheurs mais faute d’un ralliement à des critères objectifs, le travail en équipe est, dès le départ, impossible. C’est donc justement à propos des aspects que l’on voit au maximum l’astrologie révéler sa faiblesse à l’égard des sciences où les chercheurs, s’ils ne sont pas toujours d’accord, parlent au moins dans la même langue et parviennent ainsi à utiliser les faits pour faire progresser une théorie.

C’est aussi à propos des aspects que les théories astrologiques montrent “ce qu’elles ont réellement dans le ventre”. Les astrologues sur ce terrain se démarquent nettement et avouent tantôt leur choix philosophique, tantôt leurs complexes ou leurs inclinations. La formule “L’astrologue ne trouve en astrologie que ce qu’il y apporte” semble ici se Justifier. Le penchant moralisateur voit dans les “bons” aspects des certificats d’honnêteté, la Légion d’Honneur et la médaille du droit chemin tandis que les “mauvais” aspects refléteraient de basses tendances. Le penchant pythagoricien, se réclamant de la puissance des nombres, a conduit à la division des 360° du cercle par la série des nombres de 1 à 10, d’où un fourmillement d’aspects disposés à répondre de n’importe quoi à n’importe quel moment. Le penchant technico-scientifique conduit à une théorie des aspects fondée sur les cordes vibrantes, les harmoniques d’un son fondamental avec les fréquences de la sixte, de la quinte et de la tierce mineure. Jean Kepler en qui je reconnais pourtant un précurseur de l’astrologie conditionnelle, penchait de ce côté musicophile. L’empiriste, lui, dénombre des angles qui ne peuvent figurer dans aucune théorie et qui vont à l’encontre d’une synthèse. La psychologue enfin, comme André Barbault dans son dernier article, signale des faits dont on ne voit à quel pouvoir des nombres ou à quelle physique des angles ils peuvent se rattacher. Il apparaît trop bien que l’astrologue apporte aux aspects ce qui est en lui, mais pour ma part, j’ajoute que tant qu’il en sera ainsi, nous donnerons la preuve que l’astrologie n’a pas de réalité intrinsèque, ce qui me parait regrettable pour les astrologues comme pour l’astrologie.

Ces différentes théories se ramènent grosso modo à deux attitudes que j’expliquerai en parlant des aspects comme s’il s’agissait de champignons. On peut en effet étudier et classer les champignons sous un angle formel : scientifique, objectif ou subjectif. Sous l’angle subjectif-magique, par exemple, tous les champignons noirs seront évidemment “maléfiques”. Il faudra les exorciser avant de les passer à la poêle, les “rouges” seront stimulants, les “jaunes” favorables à l’intelligence, etc. Sous l’angle technique anti-magique, on se bornera à prendre leurs mensurations, à noter leur composition chimique, leur habitat… Dans les deux cas, le consommateur est sûr d’y laisser sa peau, parce que ce qui compte dans les champignons, du point de vue du consommateur, ce n’est pas la couleur, l’aspect ou la formule chimique, c’est la réaction de son organisme. La muscarine qui peut s’accompagner de jolies couleurs, n’est ni maléfique, ni mauvaise en sot, elle est toxique pour l’homme, à cause de son organisme, de sa chimie à lui. Le lecteur aura sans doute reconnu dans l’attitude magique la théorie des aspects basée sur la signification ésotérique des nombres et dans l’attitude technique les théories fondées sur une transposition sommaire des lois physiques.

Je suis persuadé que le Ciel n’est pas le reflet de l’homme, mais un “émetteur d’influences” comme l’homme n’est pas le reflet du Ciel mais un “récepteur d’influences”. Or, la théorie des aspects que je propose justifie les faits observés par le praticien psychologue et fait ressortir, non pas les cordes vibrantes, non pas les vertus des nombres, mais une loi fort simple qui est propre au récepteur nerveux et qui existe néanmoins dans d’autres phénomènes biologiques ou physiques (ce qui n’a pas lieu de nous étonner car le récepteur nerveux s’est construit avec les lois qui conditionnent le monde).

La nouvelle explicative neurophysiologique des Aspects

Le professeur L. Lapicque à établi par des travaux désormais classiques une relation entre le temps (durée) et le degré d’excitabilité d’un nerf. On appelle “rhéobase” le temps caractéristique à partir duquel une excitation commence à être efficace (durée d’excitation nécessaire pour que le nerf réponde) et “chronaxie” le double de cette durée d’excitation. “Pour que la transmission s’effectue entre deux neurones, il faut qu’ils aient la même chronaxie ou une chronaxie voisine, un écart du simple au double ou à la moitié arrêtant la transmission… Mais surtout, chose importante les nerfs antagonistes ont des chronaxies doubles des agonistes. Les neurones synergiques ont une chronaxie identique… Une bonne coordination motrice exige le respect du rapport de 1 à 2 des chronaxies des antagonistes…

La solution du problème des aspects est toute entière dans ce paragraphe. En effet :

▶ La signification des aspects varie suivant les planètes en cause, selon le degré d’affinité ou d’antagonisme qui découle de leurs natures respectives. On aurait lieu d’envisager déjà un travail de classification considérant d’une part des planètes “centripètes” (fléchisseurs), d’autre part des planètes “centrifuges” (extenseurs) ou extraverties ou introverties, ou encore excitables et inhibables. Une quelconque classification qui permettrait de préciser comment la nature des planètes prime sur la nature de l’aspect qui les unit.

Il est difficile de donner une signification de crise ou de tension (signification propre à l’aspect dissonant) à une quadrature Vénus-Neptune. Ces deux planètes du genre “fléchisseur”, n’ont pas l’intensité d’une quadrature Vénus-Mars ou Neptune-Mars. Il me semble, par conséquent, que cette priorité de la nature planétaire devrait être davantage soulignée et qu’elle implique l’interdiction d’aspects “bons” ou “mauvais”. À l’extrême limite : il n’y a pas d’aspects, il n’y a, pour chaque planète, que différentes relations possibles avec toutes les autres planètes.

▶ Le rapport 1 à 2 (double ou moitié) est significateur de transmission entre agonistes-antagonistes (fléchisseurs-extenseurs par exemple) et de barrage, d’obstruction pour les autres.

Pour illustrer l’efficacité d’une bonne transmission entre agonistes-antagonistes, je parlerai du démarrage en côte : il faut appuyer sur l’accélérateur et, en même temps, embrayer et lâcher progressivement le frein. L’opération réclame en somme une bonne “coopération des contraires”. Mais le démarrage en côte n’est pas une manœuvre de débutant et le candidat au permis de conduire le redoute. Il suffit de freiner trop ou pas assez, il suffit que les mouvements contraires soient mal synchronisés, pour que le moteur cale et le candidat avec. J’imagine que le natif d’un thème à dissonances fortes se trouve dans des situations analogues, soumis à un problème de coordinations des contraires, de “domestication des conflits”. La destinée le place d’abord dans de pénibles contradictions : il ne sait s’il doit appuyer ou lâcher, céder ou frapper et il est soumis au régime de la douche écossaise. Dans ce genre de situation l’homme ordinaire se casse ordinairement les reins… il en sort névrosé. Ceux, par contre, qui réussissent la coordination ne sont pas des êtres ordinaires… ils ont un système nerveux solide apte à digérer les conflits, apte à agir en même temps sur le frein et l’accélérateur, la tension et la détente. Si ces explications ne vous satisfont pas, dites-moi quelles autres explications donnerez-vous au fait que les dissonances traduisent aussi bien les situations conflictuelles que l’art de les résoudre, aussi bien les graves crises de santé que les opérations dangereuses et les luttes pour sortie de cette crise de santé ? Enfin, si vous dites devant une forte dissonance “névrose” ou “génie”, avouez que vous sous-entendez conflit insoluble pour l’un, conflit dépassé pour l’autre. Et qui a tranché le problème ? L’homme ou le ciel ?

II semble donc qu’en créant un déséquilibre ou une situation difficile, l’aspect dissonant mobilise des ressources compensatrices et surcompensatrices qui n’existent pas dans le ciel mais dans l’homme. Le déséquilibre devient un sens supérieur de l’équilibre instable. On trouve dans le thème de Jean-Claude Killy une quadrature Mercure-Saturne. Voila un aspect pour le moins inquiétant envers les concepts astrologiques traditionnels. Ne devrait-il pas indiquer la lourdeur, la maladresse ? Certes, il n’y a rien à voir avec le triple titre de champion et la constitution d’athlète mais il est fâcheux qu’un super-as de l’équilibre ait une dissonance Saturne-Mercure… sauf si l’on retient l’exemple du “démarrage en côte”. J’étais à peu près sur que d’autres virtuoses pouvaient avoir, dans des spécialités différentes, cette configuration qui, avec le jeu habituel des analogies conjugué au “mauvais” de l’angle planétaire, ne devrait marquer que les bègues, les balourds, les maladroits. Mercure-Saturne sont en opposition dans le thème du violoniste Yehudi Menuhin ; s’ils sont en sextile chez le prestidigitateur Robert Houdin, ils sont en carré parfait chez Buatier de Kolka, l’homme aux expériences encore incompréhensibles aujourd’hui. Dans le rayon des savants, Einstein bénéficie d’une conjonction Saturne-Mercure mais je ne crois pas que Newton soit plus malheureux avec un carré Saturne-Mercure (Mercure “en chute” s’il vous plaît). Le plus effarant ce n’est pas qu’il y ait de gigantesques trous dans la théorie traditionnelle des aspects, c’est qu’il y ait des astrologues pour la défendre… le dos au mur.

Les aspects dissonants

Conjonction (aspect consonant ou dissonant) Opposition (aspect dissonant) Carré (aspect dissonant)Le rapport 1 à 2 qui marque la transmission donne aussi la hiérarchie des aspects dissonants, les orbes et le nombre des aspects : 360°/ 2 = 180° : 180°/ 2 = 90° : 90°/ 2 = 45°. La décroissance suit l’ordre d’importance (opposition, carré, demi-carré) en faisant ressortir une progression géométrique de raison 2 des diviseurs du cycle, soit :

▶ conjonction = 360° / 20 (2 puissance zéro) = 360°
▶ opposition = 360°/ 21 (2 puissance 1) = 180°
▶ carré = 360° / 22 (2 puissance 2) = 90°
▶ demi-carré = 360° / 23 (2 puissance 3) = 45°

Avec 360° / 24 = 22,5° nous approchons de l’orbe de la conjonction, ou encore, l’orbe de cet aspect et celui de la conjonction délimitent une plage si étroite, qu’il doit être difficile, en admettant que l’aspect soit valable, de différencier l’influence.

La conjonction et son orbe

Conjonction (aspect consonant ou dissonant)Au-delà de 2n > 23 on commence, par conséquent à entrer dans une zone de confusion puisque sur une plage de 30° vont s’accumuler les aspects dissonants résultant de 2n + 2n+1. La zone de conjonction, sur une étendue de 30°, renferme une succession de consonances et de dissonances, ce qui me parait démontrer son caractère indifférencié face à l’opposition qui règne en maîtresse unique sur une large plage zodiacale. En poussant la division jusqu’à 2 puissance infinie, on obtient un aspect infiniment petit, pratiquement absurde, mais mathématiquement valable (les maths c’est comme ça) et tel qu’il tend à rejoindre 2 puissance 0 (la conjonction) sans jamais l’atteindre. La théorie est séduisante ici pour justifier rigoureusement la régénération du cycle, l’ambivalence de la conjonction, à la fois un plein et un vide, un “tout et rien”, face à la différenciation de l’opposition “un tout ou rien”. La progression géométrique de 2 a d’autres richesses que je développerai ultérieurement. En prenant les termes négatifs des diviseurs du cercle, on passe dans les cycles plantaires (par exemple : 360° / 2 puissance 1 = 720° égale sensiblement 2 tours de la Terre pour 1 tour de Mars), du côté des multiples des cycles et non pas du côté des sous-multiples que sont les aspects. Cette relation entre les aspects, les cycles, les combinaisons aspects-cycles, peut déboucher sur de nouvelles découvertes concernant le mode d’action des planètes, ou sur un système prévisionnel. Mais encore une fois, je fais appel à d’autres chercheurs car la tache est immense et je n’aspire pas à jouer Prométhée enchaîné.

Les aspects consonants

Conjonction (aspect consonant ou dissonant) Trigone (aspect consonant) Sextile (aspect consonant)Les diviseurs des aspects consonants majeurs sont 3, 6, 12. Ils s’obtiennent avec les puissances du nombre 2 de la façon suivante (notez que la différence entre les diviseurs dissonants et les diviseurs consonants donne la progression adoptée dans le système R.E.T. à savoir : 1, 2, 4.) :

▶ 3 = 2 puissance 0 + 2 puissance 1 ou 1 + 2
▶ 6 = 2 puissance 1 + 22 ou 2 + 4
▶ 12 = 22 + 23 ou 4 + 8

La signification des aspects consonants s’exprime d’elle-même dans ce chaînage. Elle consiste à rétablir la continuité après une étape dissonante ou à la maintenir entre deux phases dissonantes. Les termes musicaux de consonant et dissonant font donc faillite, comme les bons et les maléfiques. Il y a des aspects qui marquent des crises, des mutations : ce sont des aspects de discontinuité. Il y a des aspects qui marquent l’évolution. la progression ce sont des aspects de continuité.

Les “bons” aspects peuvent passer pour statiques lorsque la continuité dure trop. Les “mauvais” aspects passent pour catastrophiques lorsque la discontinuité est brutale. La place manque pour les exemples et les développements car ces définitions laissent entendre qu’une planète perturbant la continuité d’une autre, défend sa propre continuité. pire ou meilleure que celle qu’elle indispose. La relation entre le système R.E.T. et cette théorie des aspects est la suivante : les aspects de discontinuité mettent en rapport des niveaux différents, c’est une confrontation entre le simple et le complexe, le conscient et l’inconscient que l’on a traduit abusivement en confrontation entre le supérieur et l’inférieur en projetant sur ces termes une valeur éthique. Les aspects de continuité assurent le maintien de chaque niveau ou de chaque fonction planétaire. Si l’on accorde des galons imaginaires aux trois niveaux : ‘R’ = commandant, ‘E’ = Adjudant, ‘T’ = deuxième classe (l’image est de Carteret), les aspects discontinus indiqueraient les rapports hiérarchiques (révolte ou soumission), les aspects continus les rapports entre membres de la même caste. Les “bons aspects” ne peuvent donc pas signifier la même chose selon que les échanges s’établissent entre commandants, adjudants ou deuxième classe. Au plus haut niveau ce sont quelquefois les aspects des esprits supérieurs ou disons des décisions du Surmoi, au plus bas niveau ce sont les aspects des décisions du Sous-moi.

Il est impensable de ne pas considérer sérieusement la question des orbes (voir fig. ci-dessus) car chaque aspect se rapproche progressivement de son maximum. Ce qui soulève d’ailleurs le problème d’une signification éventuelle des paliers successifs (comparer l’effet d’une planète en maximum lorsqu’une autre est en orbe et vice-versa). Même si cette mesure de l’orbe est en suspens, il apparaît qu’elle doit s’intégrer à une théorie d’ensemble sur les aspects. Les orbes font partie du même chaînage. N’en déplaise aux détracteurs des transits qui pratiquent à la seconde près (on voit ici l’absurdité d’une telle pratique), les orbes font partie des faits, mais il est vrai, comme l’écrit Pavlov, que : “Si ta tête est vide d’idées, tu ne verras point de faits.

Article paru dans Les Aspects planétaires, éd. Comac (1er semestre 1997).

Cet article vous a été proposé par Jean-Pierre Nicola

Voir aussi :

▶ Théorie et pratique des aspects
▶ Les aspects, phases d’un cycle
▶ Aspects : existe-t-il un modèle traditionnel ?
▶ Aspects : théorie et bilan conditionaliste
▶ Introduction à l’interprétation des aspects
▶ Les Aspects planétaires et leurs orbes
▶ Les Aspects kepleriens
▶ Les “aspects” aux Angles
▶ Chronologie des Aspects et Transits
▶ Une brève histoire des Aspects interplanétaires


Les significations planétaires

par Richard Pellard

620 pages. Illustrations en couleur.

La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.

La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.

La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.

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Pluton planète naine : une erreur géante

par Richard Pellard

117 pages. Illustrations en couleur.

Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.

Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?

Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !

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