Le premier mois de la vie est considéré comme une période néo-natale : elle constitue en quelque sorte un temps de transition entre la vie intra-utérine, où le fœtus dépendait exclusivement de sa mère tant pour sa survie que pour les sensations et émotions qui le traversaient, et sa nouvelle existence indépendante.
Que fait-il pendant ce premier mois ? Il consacre avant tout entre 17 et 20 heures par jour à vaquer à son occupation préférée : dormir, d’un sommeil qui, tout d’abord irrégulier, se régularise progressivement. Lorsqu’il est éveillé, le nouveau-né reste calme et tranquille pendant deux ou trois heures, il s’agite un peu, sous forme de gigotements anarchiques, durant une à deux heures au grand maximum et passe le reste de ses journées, soit une à quatre heures, à pleurer, vagir et crier. Et surtout, deuxième activité fondamentale du bébé de moins d’un mois, il se nourrit. Bref, au premier regard et si l’on s’en tient aux deux activités qui semblent le plus le “motiver”, le bébé de cet âge est un gros dormeur toujours entre deux repas.
Avant tout donc, bébé dort. Et que fait-il pendant qu’il dort ? Bien sûr, il rêve, tant il est vrai que le sommeil ne semble être une activité inerte, ou même un manque d’activité, que pour ceux qui sont éveillés. Le rêve est l’activité du sommeil. À qui, à quoi rêve le bébé pendant ces longues heures ? Mystère. On ne sait qu’une chose avec certitude, pour avoir réalisé des enregistrements vidéo du sommeil de milliers de bébés : pendant ses rêves, le visage du bébé exprime exactement la même gamme de sensations et émotions primordiales qu’un adulte : la joie, la peine, le plaisir, la douleur, la surprise, l’angoisse, la colère, etc. Ses réactions (filmées) au monde dont est peuplé ses rêves sont donc identiques aux nôtres. Il existe pourtant une différence de taille. On sait que les rêves des enfants plus âgés et des adultes sont largement constitués d’images et de scénarii empruntés à la vie diurne, consciente, plus ou moins métamorphosés par le royaume de l’inconscient auquel nous permet d’accéder le sommeil. Ces rêves-là ont ainsi pour support des expériences mémorisées, des sensations ou émotions vécues pendant le temps de veille et recomposées par l’imagination.
Il en est tout autrement en ce qui concerne les rêves des nouveaux-nés. Ils n’ont ni expérience personnelle indépendante, ni souvenirs, et pour cause, de cette vie où ils viennent tout juste de faire leur apparition. Les êtres, objets et situations dont sont faits leurs rêves nous sont donc inconnus et d’ailleurs inconnaissables : impossible d’interviewer les bébés pour leur faire décrire par le menu les tableaux de leur existence nocturne. Se remémorent-ils de manière onirique les sensations et émotions que leur communiquait maman pendant le temps de la grossesse ? Ou s’abîment-ils, en souriant si souvent à d’imperceptibles anges, dans des songes plus vrais que la réalité, et que nous avons par la suite à jamais perdu ? Impossible de répondre. Le rêve des nouveaux-nés est avec la naissance et la mort l’un des mystères les plus profonds et les plus indéchiffrables qui soit.
Une chose est sûre : la réalité du bébé au stade lunaire, c’est essentiellement le rêve, et le rêve, c’est précisément l’une des principales caractéristiques que la tradition astrologique a attribué à la Lune, satellite de la Terre qui gouverne cet âge de la vie. Mais dire que la réalité du bébé, c’est le rêve, ce n’est pas encore assez : le bébé de cet âge ne fait aucune différence entre rêve et réalité. Pour lui, le monde dont il rêve est le monde où il vit. Cette distinction entre rêve et réalité, pour nous commune et pertinente, n’a aucun sens pour lui. En effet, qu’il rêve ou qu’il soit éveillé, il vit dans un monde fondamentalement marqué par la non-dualité.
“Le bébé est une personne”, a écrit un célèbre psychologue. C’est vrai après le premier mois de son existence. Mais c’est faux avant. Pendant les quatre premières semaines après sa naissance, le bébé n’est pas une personne : il est le monde, et le monde est lui. Le nouveau-né vit dans une symbiose, une communion si profonde avec son environnement, avec le monde et les êtres qui l’entourent qu’il ne s’en distingue pas, qu’il ne fait aucune différence entre les sensations qui lui viennent du monde extérieur et celles qui lui sont propres. S’il a faim, c’est que l’univers tout entier a faim et s’il se sent bien, c’est que le monde est repu. État “néonatal”, où l’enfant vit toujours en osmose avec la mère-monde et le monde-mère, comme s’il n’avait pas encore été expulsé des tièdes et douces eaux placentaires originelles, comme s’il baignait encore dans un liquide amniotique avec lequel il ne faisait qu’un.
Le bébé de moins d’un mois n’est pas une personne, parce qu’être une personne, c’est être quelqu’un de séparé, un individu précis, différent, original, identifiable. Non : le bébé au stade lunaire fait intimement partie du monde qui l’habite et où il habite, si intimement qu’il ne saurait s’en distinguer. Il est lui-même, certes, mais il est aussi sa mère, il est son berceau, il est les bras qui le portent, il est le sein ou le biberon qu’il tète, il est le son qu’il entend, le parfum qu’il respire, l’ange auquel il sourit, le rêve qu’il fait. La différenciation entre le Moi et l’Autre, l’intérieur et l’extérieur ne signifie rien pour lui : il vit dans un univers indifférencié, où n’existe aucune dualité, il est en contagion primordiale et permanente avec le milieu auquel il appartient totalement. Il a l’impression, que les adultes qualifieront d’illusion, de vivre dans un univers qui lui correspond complètement, avec lequel il est en parfaite homogénéité.
C’est si vrai que la plupart des psychologues de l’enfance récusent le terme de perception au sujet du nouveau-né : utiliser le mot “percevoir”, c’est encore évoquer une dualité, en l’occurence un “percepteur” et une chose perçue. Ils préfèrent parler de réception : le bébé au stade lunaire reçoit internement le monde d’une manière globale, indifférenciée, bien plus qu’il ne le perçoit externement. Dans le monde tel que le reçoit le tout petit bébé, rien ne se distingue vraiment. D’ailleurs, à cet âge, la différenciation entre ce qu’il est convenu d’appeler les cinq sens ne s’est pas encore opérée : pour lui, le goût, l’ouïe, l’odorat, la vue, le toucher sont une seule et même chose, un seul et même sens qui permet une perception globale : si un seul de ses sens est stimulé, c’est l’ensemble qui répond. Une célèbre expérience a d’ailleurs prouvé cet étrange phénomène : ainsi, si l’on donne à sucer à des bébés de moins d’un mois, sans qu’il les aient vues, des sucettes lisses ou des sucettes bosselées, et qu’on leur met par la suite devant les yeux les deux types de sucettes, ceux qui avaient sucé des sucettes lisses (ou bosselées) reconnaissent visuellement celle qu’ils ont eu en bouche, alors qu’à cet âge la liaison entre le toucher et la vision ne s’est pas encore neurologiquement constituée (cela ne viendra que vers le quatrième mois). Le bébé de moins d’un mois, non content d’être un rêveur impénitent, se caractérise donc aussi par une perception globale, homogène, indifférenciée du monde extérieur avec lequel il est en osmose, en symbiose, en fusion, avec lequel il communie intimement, qui est pour lui comme une mère avec laquelle il ne fait qu’un.
En arrivant encore faible, démuni, inachevé, incapable de subvenir lui-même à ses propres besoins dans ce nouveau monde extra-utérin, le nouveau-né n’a pas le choix : il doit lui faire confiance, une confiance totale, originelle, primitive, sans restrictions parce qu’à cet âge-là on ne sait pas ce qu’est une restriction. Il s’abandonne, il se laisse porter sans résistance, et tout son corps, tout son être, tous ses réflexes instinctifs lui disent indistinctement, dans son inconscience initiale, qu’il ne peut pas faire autrement parce que rien d’autre n’est possible que l’abandon, le laisser-aller, le laisser-faire, une absolue confiance qui ne se discute pas. Il ne peut qu’inconsciemment parier que le nouveau milieu où il évolue sera aussi porteur que le placenta dont il est issu. Le tout petit bébé ne peut rien décider par lui-même, il ne peut ni vouloir, ni protester, ni contester, ni se défendre : il ne peut que “lâcher prise”, il lui faut accepter passivement et massivement l’état qui est le sien, en “espérant” que sa mère et le monde pourvoiront à ses besoins.
En fait, il n’est pour lui même pas question d’“espérance” : le nouveau-né au stade lunaire n’a pas d’espoir, parce qu’il est incapable d’anticiper. Or l’espoir est une anticipation… Pas d’espoir donc. Juste cette confiance primitive qui lui murmure impérativement, du fond de son inconscience, que puisque sa vie extra-utérine a commencé, il n’y a pas de “raisons” qu’elle cesse, que c’est un flux dans lequel il faut se laisser emporter. L’être à l’intérieur duquel il habitait continuera à l’accueillir, comme d’habitude, comme toujours, tant il est vrai que le bébé n’a aucune conscience du temps, et qu’il vit donc dans l’éternité. Son “lâcher-prise” n’a rien d’un exercice spirituel : c’est une nécessité vitale qui n’a pas d’alternative. Son abandon spontané n’est pas un laisser-aller pathologique : il n’est pas un acte de démission velléitaire, mais l’expression du fait qu’il n’a pas d’autre choix que celui de s’abandonner à ce et ceux qui s’occuperont de lui. Ainsi donc le nouveau-né au stade lunaire fait-il spontanément confiance, au risque de faire preuve d’une naïveté inconsciente, d’un optimisme inconséquent.
Le bébé du stade lunaire ne faisant pas de différence entre lui-même et le monde extérieur, il ne fait pas non plus de distinction entre son moi et celui de l’autre. Cette attitude lui vaut un type de sociabilité pour le moins paradoxal. En effet, le nouveau-né de moins d’un mois vit apparemment dans une profonde et la plupart du temps paisible solitude. Il semble n’avoir besoin de communiquer avec personne : le monde de ses rêves et sa perception globale d’une “réalité-magma” indifférenciée qui caractérise son état de veille paraissent lui suffit totalement. Rien ni personne ne focalise réellement son attention flottante. Et pourquoi ressentirait-il le besoin d’entrer en contact social avec l’autre, puisque ce dernier fait intimement partie de son moi fondu dans le milieu où il se trouve ? Communiquer avec autrui, c’est se percevoir comme individu distinct cherchant à établir une relation avec une ou plusieurs personnes perçues elles aussi comme individus distincts. Or cette perception n’existe pas chez le bébé.
Mais par ailleurs, il est totalement dépendant d’autrui pour vivre : si sa mère ne s’occupe pas de lui, de ses besoins nutritifs, de son confort, si personne n’assure sa protection et ne pourvoit à son bien-être, il est incapable de survivre par lui-même. Rappelons que le seul moyen de “communication” sonore dont il dispose à cet âge consiste en des pleurs indifférenciés. La plupart du temps, bébé ne se met à pleurer que quand il est dans un état de manque, de mal-être, d’incomplétude : quand il a faim, quand il a besoin qu’on le soulage de son inconfort en changeant ses couches, ou encore quand il réagit globalement à un climat perturbant pour son besoin fondamental de quiétude et de repos. Ses pleurs ne constituent donc en rien une recherche de communication : ils témoignent tout simplement du fait qu’il se sent globalement mal, inassouvi, et constituent une sorte de “S.O.S” vital. D’ailleurs, dès qu’il a tété, qu’il a été bercé, c’est-à-dire dès que ses besoins corporels aussi égocentriques qu’inconscients ont été satisfaits, bébé retourne immédiatement dans sa solitude placide. Il ne communique pas par plaisir de la rencontre, mais par déplaisir corporel.
Solitude paradoxale du nouveau-né : il ne peut vivre dans son isolement serein, dans son ermitage cotonneux, que parce qu’il est entouré d’êtres qui pourvoient à tous ses besoins. Si ces êtres s’absentent, s’ils ne s’occupent pas activement de maintenir sa quiétude et son bien-être, la solitude du bébé devient alors un enfer. Le bébé lunaire est donc ainsi à la fois solitaire et solidaire de son environnement humain et affectif, solitaire parce que solidaire, d’une solidarité vitale, instinctive, inconsciente, pré-sociale. Pour habiter pleinement sa solitude, pour s’y sentir bien, il lui faut impérativement se sentir porté par un milieu favorable, par les bras aimants d’une mère, par le confort douillet de son berceau. La sociabilité du bébé est donc de type fusionnel : il a une relation d’intime empathie avec autrui qui ne résulte d’aucune volonté, d’aucun désir, d’aucun projet, mais d’une nécessité profonde et vitale. Il ne peut être tranquillement seul qu’en étant entouré de gens qui non seulement le laissent en paix, mais lui assurent un vécu harmonieux.
Pendant le premier mois, le bébé est un être fondamentalement routinier, qui a horreur d’être dérangé par des bruits ou des mouvements discordants et intempestifs. Plus son sommeil et l’heure de ses tétées se régularisent, et plus il se sent bien, reposé, béatement heureux. Il est indispensable pour son équilibre global qu’il se sente intimement appartenir à un milieu calme, sécurisant, harmonieux, vierge de toute note discordante, protégé de toute modification brutale de ses rythmes de vie. Partisan du moindre effort, adepte des lignes de moindre résistance, il s’habitue se familiarise ainsi doucement, tranquillement à son nouveau cadre de vie, qu’il assimile et intègre et auquel il se laisse passivement assimiler et intégrer. Dans ce tiède cocon des habitudes où il se glisse, où il s’oublie, il trouve la plénitude totale de l’instant présent à laquelle il aspire de tout son être, sans passé, sans futur, sans regret ni espoir, sans projet : une sorte de nirvana primaire qui évoque bien sûr pour les adultes le paradis perdu…
Nous sommes dans un état lunaire, comme un bébé de moins d’un mois, lorsque, comme le nouveau-né de moins d’un mois, nous nous abandonnons avec confiance et quiétude à la plénitude de l’instant, lorsque nous nous sentons tranquillement appartenir à notre environnement quotidien, lorsque nous n’avons pas à nous forcer pour nous sentir bien, à l’aise, lorsque “tout baigne”. Nous sommes dans un état lunaire lorsque nous nous trouvons avec nos familiers, nos intimes, notre conjoint, ceux sur lesquels nous sommes sûrs de pouvoir compter, ceux qui, par la force des habitudes de la vie en commun, connaissent si bien nos besoins qu’ils ne nous dérangent pas parce qu’ils nous comprennent intimement, ceux avec lesquels il n’est pas nécessaire de jouer un rôle social et qui nous permettent d’être pleinement nous-mêmes, avec lesquels nous pouvons être tranquillement seuls tout en vivant en leur compagnie.
Nous sommes encore dans un état lunaire lorsque nous fusionnons totalement avec les paysages qui nous entourent : je suis ce paysage qui est une part intime de moi-même, il n’y a plus aucune distinction entre l’observateur et la chose observée, entre mon moi et le reste du monde. Nous sommes toujours en état lunaire lorsque nous nous sentons portés par les circonstances, lorsque nous n’avons pas à lutter pour notre survie, lorsque nous nous laissons aller à un bien-être qui n’a besoin ni de justification ni de but, lorsque nous nous accordons sans résister aux circonstances, lorsque nous ne contraignons à aucune discipline : parce qu’on se sent bien à l’intérieur de soi, en harmonie avec l’univers, on se sent tout naturellement bien avec les autres qui eux aussi font partie de cet univers.
Nous sommes en état lunaire lorsque nous nous sentons pleinement nous-mêmes dans de vieux vêtements qui sont comme une seconde peau, auxquels nous sommes tellement habitués que nous n’en sentons même plus la présence, l’existence, lorsque nous savourons la détente d’un bain tiède et mousseux, nus comme au premier jour, sans penser à rien. Nous sommes toujours en état lunaire lorsque nous sommes chez nous, dans une ambiance calme et accueillante, lorsque nous partageons un repas sans façon entre amis, dans un climat de convivialité dépourvue de tout artifice, pour le simple plaisir de la “bonne bouffe”. Nous sommes enfin en état lunaire lorsque nous dormons d’un sommeil serein, reposé, lorsque nous rêvons à demi-éveillés, libres de toutes obligations, lorsque nous ne focalisons notre attention sur aucun point précis, lorsque nous sommes dans un état de totale réceptivité envers notre environnement et les êtres qui l’habitent.
Qu’il soit enfant ou adulte, chacun d’entre nous vit ces états lunaires avec plus ou moins d’intensité, et plus ou moins fréquemment. Certains éprouvent une difficulté quasi-pathologique à s’abandonner paisiblement, à se laisser aller à ce bien-être primaire, à cette quiétude primitive et originelle du nouveau-né. Pour d’autres au contraire, une telle attitude semble aller de soi : pas question pour eux de se forcer et de forcer le cours des choses, de renoncer à leur sacro-sainte plénitude “peinarde”. Entre les deux, il y a ceux qui pour une raison ou une autre se sentent obligés de lutter contre leurs tendances lunaires à l’abandon, au laisser-aller, tout en ayant l’impression de perdre ainsi quelque chose de fondamental pour leur équilibre de vie…
L’étude du thème astrologique de chaque individu nous renseigne sur l’importance et la fréquence de ces “états lunaires”. Ceux chez qui la Lune est dominante à la naissance vivent plus souvent que les autres, tout au long de leur existence, ces états lunaires. Est-ce à dire qu’ils se comporteront toujours comme de petits bébés immatures, faibles, dépendants, naïfs, impressionnables ? Bien sûr que non… Mais ceux-là conservent une mémoire vive et permanente de cette “condition lunaire” du premier mois de leur vie. De l’enfance à l’adolescence jusqu’à l’âge adulte, d’une manière différente à chaque époque de leur vie, ils auront plus que d’autres besoin de préserver cette quiétude, ce sentiment de plénitude, ils rechercheront davantage que d’autres des relations d’intimité fusionnelles et des milieux porteurs.
▶ Profil psychologique du Lunaire
▶ La fonction lunaire (globalité homogène)
▶ Pouvoirs de Soleil-Lune : la Lune
▶ Lune : pouvoir intensif
▶ Espace personnel et aura lunaire
▶ Fonction lunaire et libéralisme économique
▶ Introduction à la Théorie des âges planétaires
Les significations planétaires
par
620 pages. Illustrations en couleur.
La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.
La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.
La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.
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Pluton planète naine : une erreur géante
par
117 pages. Illustrations en couleur.
Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.
Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?
Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !
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