Il nous faut maintenant aborder la dernière tranche d’âge déterminée par les cycles des planètes du système solaire, celle qui peut paraître la plus saugrenue, la plus paradoxale, la plus absurde. En quoi cette période qui s’étend de cent soixante-quatre ans, durée du cycle sidéral de Neptune à deux cent quarante-neuf ans, durée de celui de la planète Pluton, peut-elle concerner l’individu ? Personne ne peut témoigner, preuves à l’appui, de ce qui peut se passer ou ne pas se passer à deux cent ans. L’individu incarné n’existe plus depuis bien longtemps, à moins qu’il ne se soit réincarné (c’est selon les croyances). Si la réincarnation n’est qu’un mythe consolateur de plus, il ne reste plus de lui que sa tombe et peut-être quelques souvenirs dans la mémoire des autres. Une seule certitude : entre cent soixante-quatre et deux cent quarante-huit ans, l’individu appartient désormais au domaine de l’inconnu, tandis que les générations suivantes, constituées de milliards d’individus qui se croient uniques et irremplaçables, continuent de vivre.
La mort n’existe pas. Ce n’est qu’un mot pour désigner l’inconnu absolu. Comme l’écrit très bien le philosophe Emmanuel Lévinas, “la mort est le plus inconnu des inconnus. Elle est même autrement inconnue que tout inconnu… la mort est d’abord le néant du savoir. Je ne dirai pas qu’elle est néant. Elle est aussi la ‘plénitude de la question’, mais d’abord : ‘on ne sait pas’… La mort, c’est l’inexorable… la mort est le trou qui défait le système, le dérangement de tout ordre, le démantèlement de toute totalité.”
L’image morbide et effrayante qui est le plus souvent collée sur la mort est due à la confusion que nous entretenons entre le mourir et la mort. Le mourir est notre dernier acte, qui engendre le cadavre, cette terrifiante présence de l’absence. Le mourir est une expérience neptunienne, l’ultime expérience des vivants. La mort n’est pas un acte, mais un état, et elle n’a pas de corps biologique ; elle n’est pas présence de l’absence, mais maintien et reconduction de l’absence. Qu’est-ce que la mort ? À cette question, on ne peut donner aucune réponse certaine. C’est l’incertitude absolue, et en même temps, la mort est la seule certitude absolue de l’Homme. Pendant qu’il vit, il peut douter de tout, sauf du fait qu’il doit mourir un jour : telle est la loi universelle.
Le stade plutonien est pour l’individu celui de la métaphysique pure, au sens étymologique de ce mot : metaphysicos signifie en grec “ce qui vient après la physique”. Il pose le problème de l’Être des choses et des personnes : que reste-t-il d’un individu lorsqu’il a totalement disparu en tant qu’être de chair ? Son Être, son Âme ? Ou ne reste-t-il rien du tout ? L’Âme est-elle si intimement chevillée au corps qu’elle disparaît avec lui dans l’acte du mourir, ou bien reprend-elle sa liberté lorsqu’elle divorce d’avec l’existence ?
La mort dérange. La mort inquiète. La mort fascine. Dès que nous naissons, nous sommes des morts en puissance, et nous passons notre vie à essayer de l’oublier, alors que l’homme est probablement le seul animal qui sait qu’il va mourir. La pensée de notre propre mort nous dénude, nous ramène à ce qu’il y a d’essentiel en nous : on ne triche pas avec la mort. Elle nous renvoie radicalement à notre authenticité dépouillée de tout artifice : “Là est sans doute sa dignité : que l’Homme n’élude pas le sans-réponse, qu’il y trouve au contraire le lieu le plus profond de son être. il ne dépend pas seulement de l’homme de répondre à l’homme, mais de la mort de répondre à la mort, c’est à dire à la transcendance de répondre à ce qui nous transcende” (Chabanis).
Vue depuis la vie, la mort est destructrice de tout idéal, de tout sens, de tout ordre, de tout système, de toute valeur, de tout projet, de toute norme. En ce sens, la mort est a-normale. Elle ne respecte rien, pas même les plus beaux sentiments. Elle désintègre les attachements, nous prive de nos affects, de nos émotions. Vue depuis la vie, la mort c’est l’horreur, l’inacceptable, l’inintégrable. La conscience individuelle se voudrait immortelle : la mort est tabou, il n’y a que les autres qui meurent… jusqu’au moment où il faut accepter l’évidence et l’imminence de sa propre mort. La mort est tapie au plus profond de notre inconscient, de notre mémoire autistique. Elle est honnie, réprouvée, persécutée — surtout dans nos civilisations occidentales, où elle paraît absurde, injuste, arbitraire : comment, il faut toute une vie pour unifier un individu, une conscience, et la mort renvoie cette unicité durement conquise aux multitudes primordiales ? Disparition des individus, mais aussi disparition des espèces. “Poussière, tu es poussière et tu retourneras à la poussière…”
Nous sommes sans cesse en communication subtile, insidieuse et impalpable avec la mort. Encore faut-il prêter l’oreille pour écouter ce qu’elle nous murmure silencieusement : que toutes nos constructions intellectuelles, nos croyances, nos certitudes, nos opinions, nos jugements, mais aussi nos actes, nos ambitions, nos interrogations, nos amours et nos haines n’ont quelque part rigoureusement aucun sens, aucune importance. La mort, en prenant le relais de la vie, peut les balayer en un clin d’œil. La mort nous murmure le dérisoire et la futilité de nos existences. Elle nous force à l’humilité. Tout ce qui est si important pour les humains ne compte pas pour elle. Un individu a disparu certes, mais la réalité en soi demeure. L’ordre inaltérable de l’univers survit à cette insignifiante disparition. Le cosmos immense existait avant lui et n’a nul besoin de cet être de chair doté de conscience pour continuer à exister. C’est pourquoi la mort nous ouvre à l’infini, à l’éternité, à l’intemporalité, à l’impersonnel.
La mort est distanciation absolue, invitation au voyage, au dépaysement radical dans les contrées du mystère, de l’occulte, de l’inconnu. Le voyage au bout de la nuit est peut-être le lever d’une nouvelle aurore. La mort est initiation. Par elle, on quitte le monde du connu pour celui de la connaissance en soi de l’ordre du monde, celle qui n’est conditionnée, ni par les formations mentales déterminées par la socioculture d’une époque donnée, ni par le prisme déformateur des cinq sens.
Avec la fonction plutonienne, chacun d’entre nous héberge au fond de lui-même la conscience de sa mortalité. Une part de nous-même peut donc contempler le théâtre de la vie avec l’œil d’un mort. Regard froid, lucide, décapant, distant : on ne se fait d’illusions sur rien ni sur personne, on ne s’intéresse qu’à l’envers du décor, à ce que les autres cachent ou se cachent. Ensuite, tout dépend de la manière individuelle de réagir à ce mort qu’il porte en lui-même par l’intermédiaire de la fonction plutonienne. Certains versent ainsi dans le désespoir ou le nihilisme absolu : puisque tout est voué à l’anéantissement final, rien ne vaut la peine de rien. Inutile de faire des projets, d’aimer ou d’agir : tout cela n’est qu’une mascarade dérisoire et sinistre. Ne reste plus qu’à se retrancher dans une solitude glacée hantée par la conscience de l’absurde, dans une douleur muette que rien ne peut guérir, dans l’attente angoissée de la fin de toutes choses.
D’autres donnent au contenant vide de la mort un autre contenu personnel, qui induit une attitude différente devant la vie. Lucides et philosophes, ils cultivent quand même des idéaux en en sachant secrètement la relativité, font des projets sans s’y investir totalement, en se laissant toujours la liberté de changer d’orientation à tout moment, aiment sans s’attacher parce qu’ils savent profondément que rien ne dure éternellement, agissent sans se faire d’illusions sur l’efficacité réelle de leurs actions, poursuivent et réalisent leurs ambitions en étant toujours conscients de leur vanité, s’interrogent sur les mystères des choses en n’ignorant pas que toute réponse implique de nouvelles questions, persuadés qu’au fond on ne sait jamais.
D’autres versent dans le cynisme absolu, l’a-moralité ou l’anormalité intégrales : puisque rien en ce bas monde n’a la moindre importance, la moindre valeur, tout est possible, tout est permis ! On reprochera à ceux-là leur inhumanité, leur absence de principes et de scrupules, leur opportunisme tortueux, leur goût de la manipulation, du complot, leur égocentrisme monstrueux qui ne s’embarrasse d’aucune compassion. Ils s’en fichent, persuadés que chacun est seul face à son destin et qu’on a le droit absolu de faire ce qu’on veut de sa vie et de celle des autres.
Certains encore jouent les gourous inquisiteurs et inquiétants, ivres de la puissance que leur confère leur familiarité avec l’occulte, le mystère, le caché, tireurs de ficelles dans l’ombre. Mais la fonction plutonienne peut encore se vivre autrement : par une sourde et profonde rébellion contre toutes les hypocrisies, par une révolte sacrée et parfois fanatique. Ici, le “mort-en-soi” se fait désacralisateur, sacrilège, pourfendeur caustique, déterminé et impitoyable de tous les conformismes. Rien ne trouve grâce à ses yeux : les Tables de la Loi ne sont pour lui que de vulgaires gribouillis humains dénués de toute signification profonde. Irréductiblement marginal, foncièrement atypique, irrécupérable pour le consensus social en place, il s’est définitivement installé dans le tribunal de l’inconnu pour faire le procès du connu. Doué pour mettre le doigt sur le microscopique grain de sable qui peut faire dérailler les plus belles machines, il est fondamentalement dérangeant, mais aussi puissamment stimulant et créateur.
Existe-t-il encore d’autres manières de vivre la fonction plutonienne ? Bien sûr : des multitudes. Cette conscience de la mort en nous peut par exemple nous inciter à la plus profonde humilité, au silence, à la méditation, à la contemplation sereine, distante et détachée. C’est alors la figure du “vieux sage”, de l’initié déconnecté des apparences du monde sensible, libéré des pensées et des émotions parasites, du mystique dont l’âme individuelle s’est fondue dans l’âme universelle. Ayant éteint en lui tout désir, tout projet, toute volonté personnelle, il est à l’écoute des mille bruissements ténus et essentiels de l’Invisible, la seule dimension de l’homme qui compte vraiment à ses yeux.
Il y a aussi ceux qui se manifestent par un ego réfractaire à tout apprentissage, à toute influence extérieure. Ceux-là vivent l’absurdité de leur vie sans jamais se poser de question : à quoi bon ? Pénétrés inconsciemment d’un sens profond de l’inexorable fatalité, ils se contentent d’exister tout en étant toujours ailleurs, insensibles et inébranlables, sauvagement et instinctivement indépendants, absolument asociaux. Distants, secrets, irréductiblement marginaux, familiers de la nuit, du danger, du bizarre, il ont leurs propres lois, leurs propres normes. Primitifs, ni intellectuels, ni sentimentaux, ni émotifs, il se contentent d’être des “bêtes humaines” authentiques, rétives à toute acculturation.
La fonction plutonienne, ce peut être aussi plus simplement un immense vide que l’on ressent à l’intérieur de soi et au sein de tout, quelles que soient les circonstances. Une faille, une béance, un manque, quelque chose qui échappe irrémédiablement à la conscience ; comme un déphasage permanent vis-à-vis de tout propos commun, de toute émotion partagée. Un mystique disait à ce propos : “J’ai dans le cœur un vide qui a la forme de Dieu”… Un autre : “Dieu a créé le monde comme la mer crée la plage : en se retirant.” Dieu serait alors pour le croyant plutonien le grand Absent, invisible, impalpable, indicible, le mystère intégral qui donnerait au monde son sens discret mais profond. Il est vrai que pour ceux qui ont la foi, Dieu est, comme la mort, la seule véritable certitude.
Nous sommes en état plutonien, comme un “mort” de 164 à 248 ans, lorsque nous nous sentons à des années-lumière de toute certitude, lorsque quelque chose en nous refuse obstinément de s’inscrire et de se reconnaître dans ce que nous disons, faisons et ressentons aussi bien que dans ce que disent, font et ressentent les autres. Nous sommes en état plutonien lorsqu’une insondable distance nous sépare de tout ce qui paraît normal, admis, convenu, lorsque le fait d’adhérer à qui ou quoi que ce soit déclenche au plus profond de nous-même une insurmontable réticence, un refus silencieux et obstiné. Nous sommes en état plutonien dans les situations où nous nous percevons comme radicalement étrangers à ce monde, à ses problèmes, à ses joies et à ses peines, comme si la part essentielle de nous-mêmes, le noyau dur de notre individualité habitait en fait une autre planète, un autre temps, une autre époque.
Nous sommes encore en état plutonien lorsque nous sommes aux aguets de ce qui se trame insidieusement autour de nous, lorsque nous sommes persuadés qu’en chaque être, chaque chose et chaque situation se cache une part de mystère qu’il faut débusquer, un envers du décor qu’il faut découvrir, des coulisses obscures qu’il faut explorer. Nous sommes en état plutonien lorsque nous cultivons le scepticisme absolu, jusqu’à douter des vertus mêmes du scepticisme, lorsque nous sommes désillusionnés, lorsque nous n’accordons aucun crédit aux apparences, lorsque nous nous sentons habités par un absolu ou un essentiel qui nous hante sans jamais se dévoiler. Nous sommes en état plutonien lorsque nous nous efforçons d’analyser ou de contempler le monde et les êtres qui le peuplent avec un maximum de lucidité, sans faire aucune confiance à nos émotions, nos sensations et à tout ce qu’on a pu nous apprendre. Nous sommes en état plutonien lorsque nous agissons insidieusement sur ceux qui nous entourent, à coups de sous-entendus, de manœuvres subtiles et de non-dits assourdissants.
Nous sommes toujours en état plutonien lorsque nous trouvons que tout est à la fois dérisoire et énigmatique, lorsque nous savons que les êtres et les choses sont toujours plus complexes qu’il ne paraissent, lorsqu’absolument rien ne nous paraît limpide, clair, évident et surtout pas ce qui semble l’être pour les autres. Nous sommes en état plutonien lorsque nous avons l’impression ténue, subtile mais puissante que notre vie ne nous appartient pas, que tout se déroule selon des plans que nous ignorons, que c’est un obscur inconscient qui dicte nos actes, nos pensées, nos conduites. Nous sommes en état plutonien lorsque nous sommes face-à-face avec nous-mêmes, en ce lieu intérieur secret où les masques tombent, où nul ne peut se mentir ni se raconter d’histoires. Nous sommes en état plutonien lorsque nous sommes décalés, déphasés, déconnectés de toute vie sociale, active ou affective, lorsque nous nous retrouvons en marge, atypique, anormaux.
Nous sommes enfin en état plutonien lorsque nous sommes intimement réfractaires à tout engagement définitif, lorsque nous n’arrivons même pas à nous impliquer réellement dans les situations que nous vivons, les propos que nous tenons, les sentiments que nous éprouvons, lorsque tout ce qui nous entoure ne nous inspire qu’une épaisse et immense indifférence, un désintérêt sans bornes, un sentiment d’absence illimité. Nous sommes en état plutonien lorsque nous sommes en proie au vertige du néant, lorsque tout nous semble intrinsèquement absurde ou chargé d’un sens caché, d’un ordre souterrain, d’une dimension invisible qui est la seule réalité qui compte, le seul enjeu fondamental de la vie.
Ceux qui ont un Pluton fort et dominant dans leur thème de naissance sont distants, froids, subtils, énigmatiques, sceptiques, inquisiteurs, farouchement indépendants. S’ils ne cultivent pas le goût de l’ombre et des coulisses, ils possèdent au plus haut point l’art de déranger, d’inquiéter, de se faire mal voir, marginaliser et rejeter par les bien-pensants ou par ceux qui ne supportent pas les manœuvres tortueuses et le goût des complots. Avec un Pluton faible et non-dominant, on peut être porté à ignorer, rejeter ou sous-estimer le pouvoir de l’occulte, du mystérieux, du caché, à ne pas tenir compte des détails minuscules et pourtant essentiels, à remettre toujours à plus tard les face-à-face profonds avec soi-même, à se barricader contre toutes les formes que peut prendre l’inconnu.
▶ Profil psychologique du Plutonien
▶ La fonction plutonienne ‘tT’ (transcendance de la Transcendance)
▶ Stade uranien (de 30 à 84 ans) : l’âge de l’individualisation
▶ Uranus-Neptune-Pluton : Transcendance extensive
▶ Mercure-Saturne-Pluton : transcendance intensive
▶ Soleil-Mars-Pluton : Pouvoir extensif
▶ Introduction à la Théorie des âges planétaires
▶ L’échéancier planétaire et la Théorie des âges
▶ Chronologie des Aspects et Transits
▶ La déplanétisation de Pluton, une décision hystérique
Les significations planétaires
par
620 pages. Illustrations en couleur.
La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.
La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.
La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.
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Pluton planète naine : une erreur géante
par
117 pages. Illustrations en couleur.
Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.
Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?
Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !
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