Ce point de vue, selon lequel l’influence des astres serait de nature a-causale et échapperait donc aux lois connues ou inconnues de la physique, est partagé par la très grande majorité des astrologues contemporains. Très rares en effet sont ceux qui estiment que l’influence astrologique a des fondements naturels, physico-biologiques. Suzel Fuzeau-Bræsch fait partie de cette minorité. Dans un récent (...)
Lire la suiteHabituellement, je renvoie aux origines de la pensée astrologique, aux astrologues de Mésopotamie qui ne dissociaient pas astronomie et astrologie, signal et symbole… aux astrologues grecs qui ont posé les premiers concepts rationnels, à Ptolémée, à Cardan, Kepler… astronomes-astrologues précurseurs-fondateurs d’une astrologie à mettre sous le signe des conditions terrestres pour l’amplitude et la (...)
Lire la suiteSur la base d’un principe du philosophe Karl Popper, une conclusion logique de ces chercheurs confirme l’impassibilité, mathématiquement démontrable, d’expliquer un système à partir des éléments qui le composent et de ses propres règles de fonctionnement. Ce qui paraît dur pour le célèbre “Connais-toi toi-même…” Pour comprendre un système il faut recourir à d’autres éléments que ceux qu’il renferme, tenir un (...)
Lire la suiteCe débat lors du congrès conditionaliste de Sainte-Baume en 1983 illustre à merveille les malentendus du langage et de la communication conditionalistes. Bernard Blanchet : Je voudrais savoir, d’après vous, où est-ce que ça boite dans le langage, ou dans la non-communication conditionaliste ? Jean-Pierre Nicola : Qu’est-ce qui ne va pas ?… D’abord, dans une communication, il y a un échange. Alors (...)
Lire la suiteL’astrologie moderne L’adjectif “moderne”, avait déjà été utilisé par J.-P. Nicola dans son livre Pour une astrologie moderne paru au Seuil en 1977. Je suppose qu’à l’époque, l’éditeur avait lui aussi suggéré que “conditionaliste” était un mot trop “intellectuel” (traduction : indigeste, pas assez attractif) pour figurer sur la couverture. Laissons provisoirement de côté les raisons qui ont présidé au choix de (...)
Lire la suiteÀ Modigliani vivant, qui d’entre nous n’aurait donné de substantielles preuves d’amitié ? Avec l’obole plus grande d’un morceau de pain. De quoi demeurer en son existence, de quoi peindre et repeindre à satiété, au nom de la bonté divine et de nos muséums. Cantor est mort fou. Nietzsche comptait ses lecteurs, aujourd’hui innombrables. Et Galois, le prodige, mort de sa violence digne, qui ne se (...)
Lire la suiteLe discours privé de références immédiatement contrôlables se doit de compenser l’absence de réalité présente par une redondance de détails réalistes. Il pallie le réel qu’il n’a pas en lui-même par un luxueux “plus vrai que nature” qui donne au mensonge — ou l’erreur — tant de finesse et de supériorité formelle. Comparativement, le discours du vrai n’est souvent qu’un énoncé sommaire et brutal, d’une (...)
Lire la suiteEn dépit de la multiplication des sectes, sectaires et sectateurs, malgré le nombre croissant des révélations sur le sens archi-caché des sciences, arts et cathédrales, plus on en dit, plus le verbe se fait énigme, on dévoile et tout se masque. Par définition, l’ésotérisme ne se crie pas sur les toits. Il n’est pas affaire de nombre, pas de quantité. Et, pour être conforme à cette définition, nous ne (...)
Lire la suitePuisque je dois vous entretenir de l’ésotérisme du conditionalisme, cette définition voudrait donc dire qu’il y a, à l’intérieur de notre école, un discours caché, un discours occulte, encore moins compréhensible que celui que nous tenons aux non-initiés. Or, ce n’est pas vrai, les conditionalistes du COMAC n’ont pas de double langage… Ils parlent entre eux comme je vous parle, mais comme leur langage (...)
Lire la suite“Si l’on part d’une représentation simple, d’une image… une image qui bouge devient plus réelle qu’une image fixe. Une image qui bouge, qui émet des sons et qui les enregistre, est de moins en moins une image. En tant que telle, elle perd de l’intérêt. Elle en gagne en tant qu’étape vers autre chose […]. Le réel relatif progresse en laissant ses strates derrière lui par niveaux d’apparence, moindre (...)
Lire la suiteJ’ai entrepris une critique rigoureuse de la théorie des quatre Éléments (n° 3), puis de celle des Maîtrises planétaires (n° 4 à 7), deux modèles qui sont le fondement même de l’astrologie “traditionnelle”, qu’il serait plus juste d’appeler “symboliste”. Ces articles sont également parus dans les numéros spéciaux 110 (2e trimestre 1995) et 116 (3e trimestre 1996) de la revue L’astrologue dirigée par André (...)
Lire la suiteUne école qui n’attribue pas aux planètes un statut d’anges gardiens soumis aux lois de la gravitation, qui distingue, sans les séparer, le Ciel, l’Homme, la Terre, le non-vivant et le vivant, ne peut que se valider par ce postulat, en montrant sa fécondité. Plutôt que de céder un pouce de reconnaissance au signal, les ouailles moutonnantes préféreront croire, comme leur prêcheur les y invite, à notre (...)
Lire la suiteUn dédoublement du binaire Voilà un extrait et une figure qui renvoient clairement aux zodiaques photopériodique local (présence-absence, jour-nuit) ou universel (présence-absence, Nord-Sud). En revanche, impossible d’adapter ce symbolisme d’une inépuisable richesse au zodiaque des Éléments ou il n’y a pas de mouvement et d’interpénétration des contraires : en hiver la Terre du Capricorne ne s’allège (...)
Lire la suiteEn hommage au ‘R’, je voulais vous signaler que le R.E.T. est le fruit d’une forme, celle de la figure 1. Je lui dois d’avoir pensé au ‘R’ comme symétrique de ‘T’, et au ‘E’ comme axe de symétrie. J’ai montré (1) que les distances moyennes au Soleil, ou demi grands axes, restituaient une hyperbole, en précisant, cette fois, chaque région au moyen de fractions simples. Les régions sont précisées et (...)
Lire la suiteLes astrologues “modernes” ont 2000 ans de retard Qu’en est-il maintenant de l’apport de l’astrologie aux sciences, les astrologues qui se qualifient de modernes, qu’ont-ils lu, compris, retenu des développements de la physique et de la logique depuis Galilée ? L’Eau, l’Air, la Terre et le Feu, de la physique d’Aristote dominent toujours une astrologie qui, à l’instar des astromètres trahissant Kepler, (...)
Lire la suiteDe la mythologie à l’astrologie Avant d’être conceptualisées par l’astrologie et par les sciences, les forces de la Nature, planétaires et autres, ont été représentées par des mythes. Pour comprendre les significations planétaires, il n’est donc pas interdit d’interroger les mythologies… Dans le panthéon grec, Les “mythologues” classiques n’ont retenu du dieu Apollon que ses caractéristiques les plus (...)
Lire la suiteL’astrologie conditionaliste est “naturelle” dans la mesure où elle se réfère à des explicatives en prise sur les sciences de la nature. Son vocabulaire, profondément original, a pour avantage d’établir de ponts directement franchissables pour accéder à la science “officielle” la mieux établie. Ceux qui pratiqueraient cette astrologie dans le but, plus ou moins conscient, de satisfaire un besoin de (...)
Lire la suiteQu’est-ce qui différencie l’homme ? Le squelette vaut la réflexion. Ne parlons pas toujours de qualité d’âme, examinons aussi la situation dans un référentiel Objet qui a droit d’être reconnu malgré et surtout à cause de nos métaphysiques mal vertébrées. Dans ce référentiel abominé, notre squelette est vraiment princier. Pensez à cet extraordinaire assemblage d’os articulés, de longueurs et largeurs aux (...)
Lire la suiteAntoine-Laurent de Lavoisier (1743–1794) est considéré comme le fondateur de la “chimie moderne”. Il énonça les lois de “conservation de la masse et des éléments chimiques”. Lavoisier, en tant que natif de la Vierge était, plus que d’autres, sensibilisé aux problèmes de constance, de maintien, de conservation ou de persistance (Lenteur d’excitation, L+ de l’été). Un autre “savant”, peut-être moins connu du (...)
Lire la suiteQu’est-ce qu’une théorie ? Mais on confond souvent, et quelque part cela arrange, théorie et spéculation. Une spéculation n’appelle pas d’expériences, de compréhension nouvelle des phénomènes observés. Tandis qu’une théorie se construit à partir des faits observés et en prédit de nouveaux si elle est bonne. Si les prédictions se révèlent fausses ou imparfaites, la théorie évolue, ou bien, on l’abandonne. Une (...)
Lire la suiteLe réalisme, est-ce bien raisonnable ? Question : qu’est-ce que le “réel” ? Les dernières recherches, théorisations et découvertes en physique subatomique ont mis à mal ce bon vieux “vrai-faux” réel “marsien” phénoménologique, vous savez, celui qui pendant si longtemps nous a fait croire que le Soleil tournait autour de la Terre parce que telle était l’incontournable témoignage de notre perception (...)
Lire la suiteLa lettre de Pascal Perrin “Dans le dernier numéro du Fil d’ARIANA, certaines des conclusions et des interprétations que tu tires des résultats de ton enquête sur les planètes et la politique m’ont laissé — passe-moi l’expression — sur le cul ! C’est surtout vrai de Vénus, Neptune et, dans une moindre mesure, de la Lune, outre le fait que le procédé rhétorique de la réponse contenue dans la question — ‘la (...)
Lire la suite▶ première séquence : en partant de 0° Bélier, au terme d’un mois, dans le bilan à dresser, il y a au moins l’expérience d’une dualité qui peut apprendre à notre mémoire-logique le premier effet des phases : le sens des contraires. Et cet acquis doit déjà permettre de différencier, ce qui croît, ce qui décroît dans le temps, ce qui est jour, ce qui est nuit, peut-être aussi qualitativement, ce qui gagne, ce (...)
Lire la suiteLa boussole des nombres Les mathématiques n’ont pas de fin. À part ceux qui savent tout sans avoir rien appris, comme en voit en astrologie et anti-astrologie, tous les auteurs d’ouvrages sur les nombres ont éprouvés une immense humilité devant un univers aussi vaste qu’un océan sans Amérique au bout. Avec les chiffres on s’embarque pour l’infini. Ce n’est pas le seul radeau médusant, mais celui-ci a (...)
Lire la suiteThème écliptiqueThème de domitudeHiérarchie des PlanètesEmmanuel Macron 21/12/1977 à 10 h 40 TL (21/12/1977 à 09 h 40 TU) Amiens (Hauts-de-France, France) Latitude +49° 54’ ; Longitude +2° 18’ “Pour ma part, je ne crois pas au président ‘normal’” Ici, on ne doute pas que l’utilisation de ces termes ne fait aucunement référence à l’astrologie, vilipendée, censurée et ignorée par la plupart des média. Il (...)
Lire la suiteD’un point de vue ontologique, les choses sont réelles ou non ; et d’un point de vue logique ou gnoséologique, les idées sont considérées comme vraies ou fausses selon qu’elles sont fondées sur des choses qui sont considérées comme réelles ou non. Car il faut le savoir : les définitions du réel et de l’irréel, du vrai et du faux varient selon les époques et les savoirs qui leurs sont associés. La réalité (...)
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