Les orbes admis pour les Aspects interplanétaires sont l’un des problèmes majeurs qui se pose à l’astrologie. Sans théorie, il semble insoluble. Avec une théorie rationnelle, ce problème peut être résolu.
- Astronomiquement, un Aspect est un angle spécifique (ou distance angulaire) que forment deux ou plusieurs astres par rapport au centre de la Terre. Il s’exprime en degrés et minutes d’arc. Tous les angles (de 0° à 360°) que peuvent former entre eux les astres ne sont pas des Aspects.
▶ Astrologiquement, un Aspect est une liaison entre deux ou plusieurs pôles psychologiques représentés par deux Planètes.
▶ Un Aspect n’est pas un angle figé entre deux points sur un cercle, mais une phase dynamique, caractéristique d’un moment de l’intercycle entre deux astres.
▶ Les “Aspects aux angles” (par exemple, un trigone ou un carré reliant une Planète au point Ascendant) n’existent pas dans la réalité… ou tout au moins, pas sous la forme que l’on croit.
On distingue les planètes “intérieures” (Mercure et Vénus, dont l’orbite est comprise entre celle de la Terre et le Soleil) et les planètes “extérieures” (de Mars à Pluton inclus, dont les orbites sont extérieures à l’orbite terrestre). D’un point de vue géocentrique, Mercure et Vénus ne s’éloignent jamais beaucoup du Soleil. L’écart maximum est d’environ 25° pour Mercure : il n’existe donc qu’un seul Aspect Soleil-Mercure possible : la conjonction. En revanche, l’écart angulaire maximum Vénus-Soleil atteint environ 46°, soit la valeur d’un Aspect “mineur”, le semi-carré.
Une conjonction Soleil-Mercure ou Soleil-Vénus est dite “supérieure” lorsque Mercure ou Vénus se trouvent “derrière” le Soleil (le Soleil se trouve alors entre la Terre et Mercure ou Vénus) et “inférieure” lorsqu’ils se situent entre la Terre et le Soleil. Les planètes extérieures, elles, peuvent former tous les Aspects possibles.
Les Aspects découlent de la division de l’intercycle entre deux astres par les nombres entiers. Ils sont divisés en deux groupes : les Aspects “majeurs” et les Aspects “mineurs”.
Les Aspects majeurs sont ainsi appelés parce que leur influence est plus puissante que celle des mineurs. La division de l’intercycle par les 4 premiers nombres entiers (1, 2, 3 & 4) donne les quatre Aspects les plus puissants ((conjonction, opposition, trigone, carré) :
▶ Conjonction : 360/1 = 360° ou 0°
▶ Opposition : 360/2 = 180°
▶ Trigone : 360/3 = 120°
▶ Carré : 360/4 = 180°
Aucun Aspect ne correspond à la division par 5 (72°), par 7 (51,42°), par 9 (40°) ou par 11 (32,72°). Cela est dû au fait que les 4 nombres premiers sont “fondateurs”, et qu’ils impliquent la suite des Aspects lorsqu’on les divise par 2 ou par 22 (c.a.d. 2 multiplié par lui-même). En effet :
▶ Sextile = (360/3) / 2 = 60°
▶ Semi-carré : (360/4) / 2 = 45°
▶ Semi-sextile : (360/3) / (2 × 2) = 30°
▶ Demi-semi-carré : (360/4) / (2 × 2) = 22,50°
Le demi-semi-carré clôt la suite des Aspects mineurs ; en effet, avec 22,50°, on s’approche de l’orbe maximal de la conjonction et de l’opposition. Pour de nombreux astrologues, cet orbe maximal ne saurait dépasser 10° (voire 8° pour les plus restrictifs) de part et d’autre de l’Aspect exact. En réalité, l’observation et la pratique montrent qu’une conjonction ou une opposition sont toujours efficaces jusqu’à 15° d’orbe… voire même au-delà. En effet, si l’on reste dans la même suite mathématique des divisions par 4 premiers entiers par les puissances de 2, l’orbe ultra-maximal de la conjonction ou de l’opposition serait compris entre 15° (valeur d’un demi-semi-sextile) et 22,50°, soit (15° + 22,50°) / 2 = 18,75°. Vous ne risquez donc pas de vous tromper en admettant un orbe de 18° pour les phénomènes célestes majeurs, tels que les conjonctions-oppositions entre Planètes rapides ou Planètes angulaires.
Par contre, le sesqui-carré (135°) et le quinconce (150°), que de nombreux astrologues considèrent comme étant des Aspects, n’entrent pas dans cette famille harmonique : en effet, ils ne résultent pas d’une division du cercle par des nombres premiers, mais de proportions :
▶ Sesqui-carré : 135° = 3/4 de 180°
▶ Quinconce : 150° = 5/3 de 90°
Ces deux prétendus Aspects… ne sont donc pas des Aspects, et ne doivent par conséquent pas être pris en compte.
Dans la pratique, mieux vaut ne retenir que les Aspects majeurs ; dans une interprétation plus subtile et plus affinée et surtout dans certaines conditions bien précises (Aspects mineurs reliant 2 Planètes dominantes par ex.), le semi-carré peut être utilisé (pas plus de 2° d’orbe maximal)… en n’oubliant pas que plus l’on s’éloigne du diviseur 1 (conjonction), et plus l’influence des Aspects décroît. Prenons l’exemple d’un thème avec Mars en Capricorne au MC en Maison IX et la Lune en Poissons au DS en Maison VII pour une latitude géographique de 45° Nord. Ils sont tous deux dominants ; ils forment un Aspect de 46° 25′, donc dans l’orbe du semi-carré. Dans l’interprétation de ce thème, il faut donc tenir de l’Aspect dissonant qui les relie.
Il n’est pas nécessaire qu’un Aspect soit exact pour qu’il soit efficace et qu’on admettait un orbe d’influence avant et après l’Aspect exact. La question des orbes et de leurs limites est un problème majeur qui se pose à l’astrologie.
La théorie des orbes découle de celle des Aspects, puisqu’elle elle est fondée sur les harmoniques des multiples de 2.
▶ L’orbe de la conjonction se situe ainsi nécessairement entre (360/16) = 22,5° et 360/24) = 15°. Il est le même pour l’opposition. Quelle limite choisir ? La pratique semble démontrer que 22,5°, c’est trop et que 15°, ce n’est pas assez. La moyenne arithmétique de ces deux orbes donne (22,5° + 15°) / 2 = ±18,75°, ce qui semble correspondre à la limite observable dans la pratique.
▶ Les orbes du carré (360/4) et du trigone (360/3) se situent nécessairement entre (360/32) = 11,25° et (360/48) = 7,5° (moyenne arithmétique : 9,375°) ou entre (360/48) = 7,5° et (360/64) = 5,625° (moyenne arithmétique : 6,65625°). La pratique semble montrer que la première hypothèse est la bonne (±9,375°).
- L’orbe du sextile (360/6) se situe nécessairement entre (360/64) = 5,625° et (360/96) = 3,75° (moyenne arithmétique : 4,6875°), ce qui semble être confirmé par la pratique : (±4,6875°).
Dans la pratique, il semble qu’il faille réduire les orbes des planètes lentes. Le tableau ci-contre vous donne les orbes recommandés pour les Aspects.
Majeurs ou mineurs, les Aspects se divisent en deux groupes : les consonants et les dissonants, par analogie avec le vocabulaire musical. En musique, une consonance est une affinité ente deux ou plusieurs sons d’où résulte une certaine fusion en unité de perception harmonique, tandis qu’une dissonance est un rapport de sons qui perturbe l’oreille de l’auditeur. Les Aspects consonants (conjonction consonante, sextile, trigone) associent donc fluidement les influences de deux ou plusieurs planètes, alors que les dissonants (conjonction dissonante, carré, opposition) sont susceptibles de créer des “couacs” disharmonieux entre deux ou plusieurs fonctions planétaires. Mais les termes les plus adéquats et les plus précis pour définir les Aspects sont sans doute ceux de “continuité” et de “discontinuité”.
Les Aspects consonants expriment une continuité entre deux ou plusieurs fonctions planétaires : une relation continue est exemple de ruptures, de brisures, de conflictualité. Sous un trigone Soleil-Mars par exemple, il y a continuité entre les objectifs qu’on se fixe a priori (Soleil) et les moyens d’action concrets (Mars) — on sait donc adapter ses objectifs aux réalités du terrain sans les perdre de vue) —, ou encore l’image qu’on a de soi (Soleil) et la manière dont on se comporte dans le vécu (Mars) — il n’y a donc pas de distorsion entre ce qu’on paraît être et ce qu’on est dans les faits.
Les Aspects dissonants expriment une discontinuité entre deux ou plusieurs fonctions planétaires. Une relation discontinue implique des interruptions, des blocages, des irrégularités fonctionnelles. Reprenons notre exemple : sous un carré Soleil-Mars, il y a discontinuité, hiatus entre les objectifs que je me fixe a priori et mes moyens d’action concrets, entre mon image de marque et mon vécu. Cette discontinuité peut engendrer différents scénarios de comportement : si je maintiens mes objectifs a priori (Soleil) alors que je n’ai pas les moyens concrets pour les réaliser (Mars), je risque fort d’échouer dans mes héroïques entreprises par manque de réalisme et d’adaptabilité aux circonstances. Si au contraire je me concentre sur ce que je peux réellement réaliser concrètement, je risque, pris dans le feu de l’action, de négliger ou d’oublier mes buts initiaux. Si mon image que j’ai et donne de moi-même (Soleil) est en discontinuité avec mon vécu (Mars), je peux soit donner de moi une image de moi-même qui ne correspond en rien avec ce que je suis réellement dans mes actes, soit agir sans tenir compte de l’image que je donne de moi-même… au risque d’être très “mal vu” !
Les Aspects dissonants expriment donc bien une discontinuité, une discordance, un déséquilibre. Est-ce grave, voire même “maléfique”, docteur ? Pas nécessairement. Prenons l’exemple d’une activité humaine très banale : la marche. Marcher, c’est gérer un déséquilibre permanent, une discontinuité dynamique entre partie droite et partie gauche de mon corps. Pour ne pas tomber, je dois bien coordonner l’extension et la rétraction des muscles de mes jambes : une, deux, une, deux… Avoir des Aspects dissonants dans son thème natal, cela ressemble un peu à l’apprentissage de la marche. Au début, on se casse la figure on se prend des gadins neuro-psychologiques, en coordonnant mal les fonctions planétaires en carré ou en opposition, on dysfonctionne, on ne sait pas sur quel pied prendre appui : le gauche ? Le droit ? En avant ? En arrière ?
Les dissonances, on le voit n’ont rien de confortable a priori. L’apprentissage de la marche non plus… et pourtant, au bout d’un temps variable selon les individus, tout ceux qui ont des jambes en état de fonctionner finissent, cahin-caha, à apprendre à marcher. Pareil pour les dissonances : un individu né avec un carré Soleil-Mars aura au début de grandes difficultés à coordonner ces deux fonctions. Puis, tandis qu’il avancera en âge et qu’il aura accumulé des expériences, il y parviendra petit-à-petit. Il saura par exemple mieux que personne le fossé qui peut exister entre l’image qu’on se fait des autres (Soleil) et ce qu’ils sont concrètement dans l’existence (Mars) ; il saura qu’il y a un temps pour paraître (Soleil) et un temps pour agir (Mars).
Évidemment, si l’individu n’apprend pas à marcher avec ses dissonances et à les faire marcher, il risque fort de développer des névroses, une fonction planétaire s’exprimant alors unilatéralement aux dépends de l’autre, qu’elle nie, verrouille ou refoule. Si ma fonction solaire refoule ma fonction marsienne pour un temps ou pour longtemps, je m’emploierai sans cesse à donner de moi-même une image qui ne correspond en rien à la réalité de mon vécu ; crispé sur mes certitudes, mes principes, mon apparence (Soleil), j’en arriverai à déserter mes instincts, à refuser les duels et les confrontations inhérents à l’existence (refoulement de Mars). Inversement, si Mars refoule le Soleil, j’agirai agressivement, à tors et à travers (Mars) sans aucun but, idéal ou principe directeur (Soleil refoulé), en m’opposant violemment et instinctivement (Mars) à toute forme d’autorité (Soleil).
Mais ce sont là des cas extrêmes. Comme le note justement l’astrologue J.-P. Nicola, “Il semble donc qu’en créant un déséquilibre ou une situation difficile, l’Aspect dissonant mobilise des ressources compensatrices et surcompensatrices qui n’existent pas dans le ciel mais dans l’homme.” Si vous avez plein de carrés dans votre thème, tout n’est donc pas perdu !
La conjonction est un Aspect ambivalent ; en effet, elle contient à l’intérieur de son orbe tous les micro-Aspects consonants et dissonants. Comment évaluer, étant donné son caractère ambivalent, si une conjonction est consonante ou dissonante ? En simplifiant, on admet qu’une conjonction recevant un maximum d’Aspects consonants est consonante ; c’est l’inverse si elle reçoit un maximum d’Aspects dissonants. Si elle reçoit autant ou presque de dissonances que de consonances, prenez en compte à la fois l’interprétation consonante et les interprétations des dissonances.
Un autre facteur peut décider de la nature plutôt consonante ou plutôt dissonante de la conjonction : la position des Planètes en Signes. Lorsque deux planètes sont en conjonction dans le même Signe, elles ont le même rythme zodiacal : ce point commun va dans le sens de la consonance ; si elles sont dans deux Signes différents, elles n’ont pas le même rythme, ce qui est un indice de dissonance.
Prenons l’exemple du thème de Francis Cabrel : la Lune en Cancer est conjointe à Jupiter en Gémeaux. Ces deux Signes se situent de part et d’autre du solstice d’été. La Lune en Cancer a un rythme décroissant (au début de l’été, la durée des jours diminue) alors que Jupiter en Gémeaux a un rythme croissant (à la fin du printemps, la durée des jours est toujours en augmentation). Alors qu’une Lune-Cancer incite à se replier dans sa coquille protectrice (Cancer) pour avoir la paix (Lune), un Jupiter-Gémeaux pousse à s’extérioriser tous azimuts (Gémeaux) pour faire reconnaître ses œuvres (Jupiter). Ces deux pôles de la personnalité de Cabrel sont forcément antinomiques… ainsi le chanteur alterne-t-il les périodes de repli autarcique dans sa famille et son village (Lune-Cancer) et ses tournées triomphales où il s’extravertit en se mettant en scène (Jupiter-Gémeaux).
Cette conjonction entre deux Planètes dans deux Signes différents a donc bien un caractère dissonant, cela d’autant plus que la Lune est au carré de Mars. Mais elle a aussi un caractère consonant, de par les trigones qu’elle reçoit de Mercure-Vénus-Saturne-Neptune.
D’une manière générale, toutes les conjonctions qui se produisent à cheval sur l’axe des équinoxes (Poissons-Bélier, Vierge-Balance) et l’axe des solstices (Gémeaux-Cancer, Sagittaire-Capricorne) peuvent être considérées comme ayant un caractère fortement dissonant si elles reçoivent un maximum d’Aspects dissonants. C’est un peu moins vrai dans les autres cas. Prenons le cas d’une conjonction entre une Lune en Bélier et un Jupiter en Taureau : le Bélier est un Signe d’ouverture et le Taureau un Signe de fermeture. C’est donc un indice de dissonance ; mais en Bélier comme en Taureau, a durée des jours dominants est croissante : ces deux Signes, et donc les Planètes en conjonction qui les occupent, ont donc un point commun, ce qui est un facteur de consonance. Si cette conjonction reçoit un maximum d’Aspects consonants, la dissonance sera amoindrie ; si elle reçoit un maximum d’Aspects dissonants, la dissonance sera renforcée.
Comme nous l’avons déjà vu, tous les Aspects d’un thème n’ont pas la même puissance relative. On distingue ainsi les Aspects forts, qui concernent les traits de caractère dominants ou les fonctions astro-psychologiques que nous exprimons le plus fréquemment ; les Aspects moyens, qui correspondent à certains traits de notre personnalité qui apparaissent moins souvent dans nos comportements ; et enfin les Aspects faibles, qui illustrent les fonctions astro-psychologiques que nous n’utilisons que rarement ou jamais, celles par conséquent qui nous “ressemblent” le moins.
Comme les Signes du zodiaque, les Aspects représentent des phases caractéristiques du cycle d’une Planète : lors d’un cycle complet, celle ci passe successivement par les 12 Signes et les 8 Aspects majeurs (conjonction, 1er sextile croissant, 1er carré croissant, 1er trigone croissant, opposition, 2e trigone décroissant, 2e carré décroissant, 2e sextile décroissant et retour à la conjonction).
Le thème forme donc bien un tout indissociable, une représentation dynamique du temps à travers les intercycles Planétaires (Aspects) et phases zodiacales (Signes).
▶ Théorie et pratique des aspects
▶ Les aspects, phases d’un cycle
▶ Aspects : existe-t-il un modèle traditionnel ?
▶ Aspects : théorie et bilan conditionaliste
▶ Introduction à l’interprétation des aspects
▶ Les Aspects planétaires et leurs orbes
▶ Les Aspects kepleriens
▶ Les “aspects” aux Angles
▶ Chronologie des Aspects et Transits
▶ Une brève histoire des Aspects interplanétaires
Les significations planétaires
par
620 pages. Illustrations en couleur.
La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.
La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.
La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.
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Pluton planète naine : une erreur géante
par
117 pages. Illustrations en couleur.
Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.
Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?
Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !
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