À l’exception de quelques masochistes dont l’unique obsession semble être de souffrir à tout prix, chacun d’entre nous aspire au bonheur, à l’équilibre, à l’harmonie. Le problème, c’est que nous ne savons pas ce que recouvrent ces mots enchanteurs et ces états désirés. Le bonheur est une idée vague, confuse, indéfinissable : coquille vide et illusoire ou œuf rebondi et plein de promesses ? Que ce soit avec nous-mêmes, avec nos proches, avec nos relations professionnelles, nous souhaitons vivre en harmonie, dans un monde exempt de tensions, de conflits, de grincements. La faculté d’être heureux est-elle innée, astrologiquement programmée ? Le bonheur se conquiert-il ?
Dès que l’humanité est devenue capable de s’interroger sur elle-même — c’est-à-dire au moins depuis qu’elle a découvert l’astrologie, l’écriture et la philosophie en Mésopotamie —, elle a essayé de comprendre et de définir le pourquoi et le comment des grands sentiments humains. Au premier rang d’entre eux figure le couple bonheur-malheur. Dans la pratique, rien ne semble plus facile que de distinguer un état heureux d’un état malheureux : le premier est consciemment ou inconsciemment souhaité, même si nous ne savons pas très bien ce qu’il recouvre. Le second est redouté.
Qu’est-ce que le bonheur ? Les philosophes eux-mêmes ne sont pas d’accord dans les définitions qu’ils en donnent. Emmanuel Kant (1724–1804) estime que le bonheur est la “satisfaction de toutes nos inclinations”. Cette satisfaction devrait ainsi être la réalisation globale et simultanée de tous nos désirs. Mais dès qu’il a énoncé ce théorème exemplaire, Kant le moraliste ne peut s’empêcher d’y adjoindre immédiatement une sévère restriction : seul un comportement vertueux conduit au bonheur. Or un tel comportement nous oblige évidemment à censurer les désirs que la morale réprouve et qui font pourtant partie de nos inclinations. Si la vertu est la condition du bonheur, elle interdit la satisfaction des fantasmes inavouables, d’où des frustrations qui rendent impossible le bonheur total. Le bonheur selon Kant n’existe pas.
Pour Jean-Jacques Rousseau (1712–1778), “C’est en vain qu’on cherche au loin son bonheur quand on néglige de le cultiver en soi-même ; car il a beau venir du dehors, il ne peut se rendre sensible qu’autant qu’il trouve au-dedans une âme propre à le goûter.” Autrement dit, si le monde extérieur sème des graines de bonheur dans notre jardin, encore faut-il être capable de les cultiver. Combien de gens, qui ont apparemment “tout pour être heureux”, passent leur temps à se plaindre, à se compliquer la vie et à pester contre leur mauvais sort ? L’inverse, quoique plus rare, est aussi vrai : nous avons tous rencontré des individus qui, en dépit des difficiles circonstances où ils sont plongés, maintiennent intacte leur aptitude au bonheur.
La conception du bonheur d’Anna de Noailles (1876–1933) est plus sombre et plus résignée : “Des malheurs évités le bonheur se compose.” Friedrich Hegel (1770–1831) est d’accord avec elle : dans sa conception tragique de l’Histoire de l’humanité, où les guerres et les catastrophes naturelles se succèdent presque sans discontinuer au fil des siècles et des millénaires, celui qui veut être heureux ne le peut que s’il se résigne à vivre furtivement et égoïstement dans “les pages blanches de l’Histoire”, loin du bruit et de la fureur des destinées collectives. Pour vivre un bonheur hégelien, coupez la radio et la télé, renoncez à lire les journaux, faites en sorte de vous trouver dans un coin épargné de la folie des Hommes et, tel le Zadig de Voltaire, cultivez votre jardin : “Pour vivre heureux, vivons cachés”, comme dit le frileux proverbe…
Enfin, les philosophes les plus sceptiques pensent que le bonheur n’existe pas, qu’il n’est qu’une illusion, un espoir vain et infantile qui nous masque la tragique absurdité de nos petites existences issues du néant et promises à y retourner. Fuyez ces oiseaux de mauvais augure quand vous vivez un instant de pur bonheur, lorsque naît un enfant désiré ou qu’au détour d’un chemin, vous vous lovez chaudement dans une nature amicale : cet instant heureux existe, et même s’il n’est qu’une parenthèse, il a la saveur de l’éternité…
Philosophe ou non, chacun a sa notion du bonheur. Schématiquement, on peut distinguer les amateurs de bonheurs terrestres et ceux de bonheurs célestes. Dans la première catégorie, pour les plus raisonnables et les moins aventureux, le bonheur se résume à un maximum de sécurité matérielle, affective et intellectuelle dans un cadre de vie agréable : une maison douillette pourvue d’une bonne cave à vins, un couple uni et amoureux, de beaux enfants sages, une bonne situation professionnelle et des économies rassurantes. D’autres identifient le bonheur à l’accumulation des richesses et de leurs signes extérieurs : être heureux, c’est avoir les moyens de satisfaire immédiatement tous les désirs que l’argent peut acheter.
Les amateurs de bonheurs célestes sont bien différents : parmi eux on trouve les chercheurs qui ne sont heureux que quand il nagent dans les abstractions ésotériques ou mathématiques, les mystiques pour qui le bonheur se confond avec la fusion avec le divin, les artistes et les poètes qui frémissent de béatitude à l’écoute d’une symphonie de Beethoven, d’un tableau de Van Gogh, d’un poème d’Arthur Rimbaud — ce dernier considérait d’ailleurs que le bonheur est une “fatalité” à la “dent cruelle” tant il y a toujours loin, très loin de la coupe au lèvres… On se rend malheureux à aspirer sans cesse à un bonheur qui toujours s’échappe.
Bien sûr, on peut à la fois chérir les bonheurs terrestres et célestes : percer les mystères de l’astrologie en buvant du bon vin, mélanger les joies de la vie de famille en composant un concerto pour violoncelle, se reposer dans une fraîche clairière fleurie en rêvant d’une humanité utopique par exemple. Par contre, il est impossible à celui qui confond bonheur avec richesse matérielle de vivre des bonheurs célestes.
Rares sont les êtres humains qui peuvent spontanément affirmer “je suis heureux”. Et même ceux qui y arrivent ne parviennent généralement pas à s’empêcher d’ajouter : “Mais…” Le bonheur sans ombres ni nuages semble réservé à une caste de privilégiés de l’existence. Quand on rencontre un de ces oiseaux rares, on est saisi d’un doute : “Mais comment fait-il ? Est-il vraiment aussi heureux qu’il le paraît ou le prétend ?”
“Le bonheur, c’est toujours pour demain”, chante le tendre Pierre Perret. Et en même temps, le bonheur a un parfum de paradis perdu : celui de l’insouciance bienheureuse du fœtus lové dans le ventre de sa mère, celui du tout petit bébé qui sourit aux anges, en osmose avec celle qui lui a donné le jour. D’ailleurs, toutes les grandes religions véhiculent le mythe d’un état de béatitude primordial : avant sa chute dans l’existence terrestre et ses tribulations chaotiques, l’humanité était heureuse, lovée dans le sein du divin comme dans celui d’une mère céleste.
Le bonheur est paradoxal : il est à la fois une nostalgie et une espérance… une espérance nostalgique ? Nous aspirons à un bonheur qui fut et qui fuit. Le bonheur, c’est toujours ailleurs, avant ou plus tard… : on voudrait quitter sa banlieue pour une île sous les tropiques, retrouver le paradis perdu de l’enfance, arriver enfin à un état de profonde satisfaction et d’absolue complétude, tous nos désirs rassasiés. Et pourtant lorsque nous vivons d’authentiques instants de bonheur, c’est toujours ici et maintenant, au hasard d’une rencontre furtive, d’un état d’âme imprévu, d’un “coin de nature où chante une rivière accrochant follement aux herbes ses rayons d’argent” (Rimbaud).
L’astrologie est-elle un chemin vers le bonheur ? Certainement pas, répond l’astrologue Johannes Kepler : le ciel “ne donne pas à l’homme ses habitudes, son histoire, son bonheur, ses enfants, sa richesse, sa femme… mais il façonne sa condition.” L’étude du thème d’un individu ne vous dira jamais s’il est heureux ou malheureux, mais à quel genre de bonheur ou de malheur il est exposé, compte tenu entre autres de son éducation, de son milieu social, du pays et de l’époque historique dans lesquels son existence est inscrite. Chaque individu a sa manière bien à lui de vivre heureusement ou malheureusement son thème.
L’astrologie classique attribue à chaque Planète une certaine propension au bonheur. Selon Ptolémée (100–170) le Soleil, Jupiter et Vénus étaient censés être “bénéfiques”, dominants chez les gens qui ont un tempérament heureux ou tout au moins susceptible de l’être. À l’inverse, Mars et Saturne passaient pour être “maléfiques”, tandis que le la Lune et Mercure était considérés comme “neutres” : ils devenaient “bénéfiques” s’ils étaient en relations avec des planètes “bénéfiques”, et “maléfiques” dans le cas inverse. Selon Kepler (qui rejetait cette distinction), Soleil, Mercure, Vénus et Jupiter étaient réputés “bénéfiques”. Les planètes récemment découvertes au-delà de l’orbite de Saturne (Uranus, Neptune, Pluton) passent généralement pour plutôt “maléfiques” (Uranus étant quand même le plus “bénéfique”) chez les astrologues contemporains qui font leurs bénéfices en jouant les oiseaux de malheur.
Les aspects planétaires sont eux aussi classés en “bénéfiques” (sextile, trigone, conjonction recevant une majorité de “bons” aspects) et “maléfiques” (carré, opposition, conjonction recevant une majorité de “mauvais aspects”). Quant aux Signes du zodiaque, aucun d’entre eux n’est, selon la tradition astrologique, ni “bénéfique” ni “maléfique” en soi : tout dépend des planètes qui s’y trouvent et des Aspects qu’elles reçoivent.
Ne vous jetez pas sur votre thème natal pour savoir si vous êtes automatiquement et implacablement voué au malheur ou au bonheur : tout n’est pas si simple. On peut naître sous un carré Mars-Saturne et vivre une existence relativement “heureuse”, voir le jour sous un trigone Vénus-Jupiter et avoir une vie plutôt “malheureuse”. Tout dépend, d’une part du milieu de vie où on est immergé et des circonstances favorables ou défavorables auxquelles on est confronté, et d’autre part de l’aptitude de l’individu à trouver son bonheur ou son malheur quels que soient le milieu et les circonstances…
Toutes les planètes “bénéfiques” de la tradition (Soleil, Vénus, Jupiter) ont dans le système R.E.T. un point commun : ces fonctions planétaires excluent la Transcendance, c’est-à-dire la complexité, l’obscurité, l’invisible. À l’inverse, les planètes traditionnellement considérées comme “maléfiques” (Mars, Saturne) excluent la Représentation, c’est-à-dire la simplicité, la clarté, l’évidence. C’est également le cas pour Neptune et Pluton. Mercure, et Uranus, qui font le va-et-vient entre Représentation et Transcendance, ont une fonction ambiguë qui les rend plus difficilement classables en “bénéfiques” ou “maléfiques”.
De toute évidence, la Représentation est considérée comme “bénéfique”, l’Existence et la Transcendance comme “maléfiques”, ce qui signifie qu’il est plus facile de trouver le bonheur dans la simplicité chatoyante des images et des apparences (Représentation) que dans les expériences problématiques du vécu (Existence) ou dans l’obscure complexité des réalités invisibles (Transcendance). Le bon vivant sensuel et plein de certitudes (Soleil-Jupiter-Vénus) passe pour être une meilleure image du bonheur que le réaliste sceptique et inquiet (Mars-Saturne) ou que l’oiseau de nuit hanté par ses visions (Neptune-Pluton). Mais c’est là une image d’Épinal : un individu né sous une dominante Mars-Saturne peut trouver son bonheur et son équilibre dans la confrontation avec les dures réalités du vécu, un autre dominé par Neptune-Pluton vivre le sien en fréquentant les mystères ignorés du plus grand nombre. À l’inverse, avec une dominante Soleil-Vénus-Jupiter, on peut être très, très malheureux si personne ne vous admire, ne vous aime ni ne reconnaît aucun mérite à ce que vous faites.
Imaginez un individu qui aurait un tempérament vif, gai, spontané, décontracté, et qui aurait reçu dès ses premiers jours une éducation l’obligeant à se comporter d’une manière prudente, compassée, disciplinée, exempte de toute fantaisie. S’il ne remet pas en question cette éducation contraire à sa nature innée, il ne pourra jamais être heureux quoi qu’il fasse, même s’il bénéficie des meilleures circonstances, et cela pour une simple raison : cet individu n’est pas lui-même. Il refoule sa nature profonde.
Imaginez un autre individu doté d’un tempérament sérieux, volontaire, tatillon, qui ne supporte pas d’être ainsi et qui envie ceux qui savent se distraire, se passer de projets et de précision : lui non plus ne pourra jamais être heureux, même s’il est riche à milliards et qu’il a rencontré le grand amour : il est jaloux de ce que sont les autres, ce qui veut dire qu’au fond, il n’accepte pas d’être ce qu’il est.
Refouler sa nature profonde et ne pas accepter d’être ce que l’on est sont deux des moyens les plus sûrs et les plus efficaces pour faire son propre malheur. Bien sûr, il n’est pas toujours facile d’être pleinement nous-mêmes, d’oser vivre toutes les différentes facettes de notre personnalité. Il faut du courage, de la ténacité pour prendre conscience des déformations dues à l’éducation que nous avons reçue et essayer de s’en affranchir pour être vraiment soi-même, ou pour cesser d’envier les autres.
L’astrologie peut être d’une aide inestimable dans ce travail, si elle est pratiquée par des personnes compétentes : elle peut vous dire celui que vous pourriez être si vous avez oublié ou négligé d’être vous-même en craignant le regard désapprobateur des autres. Le premier pas vers un possible bonheur, c’est de savoir comment on fonctionne et de se dire : “Oui, je suis comme ça et pas autrement, et je n’ai pas envie de changer pour vous plaire”… Mais si vous avez affaire à un astrologue ignorant, il se contentera de vous proposer une nouvelle image “astrologique” de vous-même, toute aussi fausse que celle à laquelle vous vous identifiiez avant de le rencontrer. Au lieu de croire “Je suis comme cela parce que ce sont mes parents qui l’ont voulu”, vous vous direz : “Tiens, je vais me comporter en Capricorne ascendant Bélier, puisque l’astrologue m’a dit que c’était cela ma vraie nature cosmique.” Qu’avez-vous gagné au change si vous n’êtes toujours pas vous-même ?
Être soi-même est un long chemin, celui de toute une vie. Il n’interdit nullement les instants de bonheur fugitifs. Mais aucun bonheur réel n’est imaginable sans ce préalable spirituel.
À de rares exceptions près, tout individu est un tissu de contradictions. Pendant qu’une part de moi-même aspire à tout oublier en se détendant dans un bain mousseux, une autre ne rêve que de réussite professionnelle, une troisième aspire à vivre des expériences grisantes, une quatrième à prendre le temps de réfléchir sur le sens profond de la vie. Comme il est extrêmement rare de pouvoir mener ces quatre activités de front, on est obligé de choisir, d’en éliminer certaines, de les vivre successivement, ou de remettre à plus tard la part de nous-même qu’on ne vivra jamais, par négligence ou faute de temps… Il s’ensuit des conflits, des remords, des frustrations, des refoulements ou des aspirations inassouvies.
Dans un thème astrologique, ce sont les Aspects qui, en reliant planètes et Signes du zodiaque, illustrent ces tendances contradictoires de notre personnalité. Les connaître, c’est apprendre à mieux les reconnaître, mieux les accepter et mieux les gérer. Les instants de bonheur, ce sont alors aussi ces moments bénis où l’on parvient à intégrer une facette de notre personnalité que nous avions jusqu’à présent ignorée ou refoulée, où l’on se dit : “Ah, ça y est, ça c’est moi, ça c’est à moi, et personne ne pourra plus jamais m’en priver, me le reprendre.”
Vu depuis le Ciel, le bonheur est relatif, discontinu et changeant. Si par exemple je suis né sous un carré de Vénus en Gémeaux à Saturne en Vierge et que j’ai décidé, consciemment ou inconsciemment, que mon unique source de bonheur résidait dans la satisfaction immédiate et capricieuse de mes désirs papillonnants (Vénus-Gémeaux) en fuyant les plaisirs de la solitude pensive et défensive (Saturne-Vierge), je risque d’être très malheureux si tout à coup les circonstances m’imposent cette solitude en me privant de mes soutiens affectifs et en me frustrant de mes envies. Par contre, si je sais, si j’ai appris à alterner souplement périodes de séduction sensuelle (Vénus) et temps forts d’isolement méditatif (Saturne), je jouirai également de ces deux sources de bonheur potentiel, si contradictoires soient-elles. Il vaut mieux prévenir que guérir…
Article paru dans le n° 3 d’Astrologie naturelle (juillet 1998).
Les significations planétaires
par
620 pages. Illustrations en couleur.
La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.
La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.
La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.
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Pluton planète naine : une erreur géante
par
117 pages. Illustrations en couleur.
Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.
Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?
Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !
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