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en Astrologie Naturelle

La conception des Aspects du XVIIe au XIXe siècle
Histoire des Aspects

Pendant plus de 2500 ans les astrologues n’ont eu qu’une notion intuitive et empirique de ce qu’est la réalité objective d’un Aspect. Ils se bornaient à en constater empiriquement certains effets réels et à en imaginer d’irréels. Très rares et très embryonnaires ont été les tentatives de conceptualisation et donc de théorisation, comme celle exposée par Ptolémée au IIe siècle et celle proposée par Kepler au XVIIe. Toutes deux ont débouché sur des explicatives erronées et des échecs. Ce n’est qu’au XXe siècle que le concept d’Aspect a commencé à être véritablement élaboré, permettant de distinguer le vrai du faux dans les antiques et traditionnelles notions et de formuler une théorie explicative rationnelle à travers une conception d’ensemble de l’astrologie. La conception et la représentation graphique contemporaines des Aspects sont le produit d’une longue histoire, et l’idée même d’Aspect a évolué au cours des millénaires.

L’après-Kepler

Les Aspects planétaires sont donc désormais clairement identifiés comme tels par une minorité d’astrologues savants, et non comme des dépendances de la géométrie zodiacale ptoléméenne, même si cette dernière conserve une certaine influence sur leur définition et sur les orbes admis. Les débats théoriques à leur sujet porteront désormais beaucoup sur les orbes et un tout petit peu sur les latitudes écliptiques. Pour calculer les Aspects avec ou sans orbe et quelle que soit l’étendue admise pour celle-ci, la majorité des astrologues garde sa préférence pour le référentiel des longitudes.

Seul le médecin, mathématicien et astrologue français Jean-Baptiste Morin de Villefranche (1583–1656), un contemporain de Kepler, semble s’être intéressé au problème des latitudes. Il préconisait dans ses écrits leur prise en compte, mais semble n’avoir jamais observé cette recommandation dans sa pratique. Mais on n’est pas sûr que les œuvres de ce personnage controversé, premier et dernier astrologue royal officiel, inventeur d’une méthode de calcul des… longitudes lunaires destinée à la navigation maritime, aient bien été écrites par lui. Et même si c’était le cas, il n’est pas impossible que cet homme de pouvoir, expert en controverses utiles et surtout inutiles, et dont les écrits astrologiques témoignent d’une grande confusion intellectuelle, ne se soit pas positionné pour les latitudes écliptiques que dans le but de se distinguer. Mais on n’aura jamais aucune certitude sur ce sujet.

Si Kepler décrit clairement les Aspects en termes de nombre de degrés de longitude écliptique, et non en se basant sur le nombre de Signes qui séparaient les Planètes ainsi séparées ou reliées, ce n’est pas le cas, loin de là, de tous les astrologues du XVIIe siècle et des suivants. L’influence de la conception ptoléméenne demeure extrêmement prégnante, et la majorité des astrologues refuse toujours d’accepter la pertinence et la réalité des Aspects planétaires quand ils ne se produisent pas dans des Signes qui ne sont pas séparés par un angle zodiacal privilégié.

Les Aspects interplanétaires & leurs orbes

Dans cette perspective, le problème des orbes, qui est avant tout conçu comme celui de leurs étendues, acquiert peu à peu une importance croissante. Doit-on accepter que deux planètes situées à 2° l’une de l’autre sont en conjonction, alors qu’elles sont dans deux Signes de nature Élémentaire différente, par exemple le Sagittaire de Feu et le Capricorne de Terre ? Existe-t-il vraiment un carré avec un orbe de 5° entre une planète à 28° du Verseau et une autre à 3° du Gémeaux, tous deux Signes d’Air donc reliés zodiacalement par un trigone de 120° ? En résumé, doit-on n’accepter les orbes que pour les planètes dont l’Aspect qu’elles forment est identique à celui des Signes où elles se trouvent, ou les orbes s’appliquent-ils quels que soient les Signes où sont situées les planètes en Aspect ? Les débats font rage et aucun consensus n’émerge sur ce sujet capital. Ce n’est qu’au début du XXe siècle que sera admise la prééminence des orbes sur les Signes par la majorité des astrologues.

Un autre problème aurait pu se trouver au centre d’un débat : celui de l’origine et donc de la cause première des orbes. Sont-ils induits par les planètes elles-mêmes, ou bien sont-ils un effet de leurs Aspects ? Cette question ne semble toutefois s’être posée que pour une minorité : les autres sont convaincus que l’étendue des orbes varie en fonction des planètes impliquées. L’astrologue William Lilly, (1602–1681) par exemple, recommande, au terme de calculs ésotériques et quelque soit l’Aspect, un orbe arrondi de 15° pour le Soleil, de 12° pour la Lune, de 7° pour Mercure, Vénus et Mars, et de 9° pour Jupiter et Saturne. Dans son système, quand deux planètes ont des orbes différents, il les additionne puis les divise par deux. Ainsi par exemple, un Aspect Soleil-Mars quel qu’il soit admet un orbe de (15 + 7)/2 = 11°. Notons au passage que Lilly considère que le parallèle de déclinaison (position de deux astres sur le même degré de déclinaison Nord ou Sud) est un Aspect, et il estime même qu’il est le plus important de tous. Mais il était presque le seul à le penser… Signalons ici que le parallèle de déclinaison se mesure sur l’équateur, et non sur l’écliptique comme les Aspects.

Enfin, il va de soi que d’autres astrologues proposèrent quantité d’autres orbes basés sur le même système. Leurs étendues étaient pour la plupart déterminées soit par des méthodes de calcul arbitraires fondées sur des données astrométriques ou arithmologiques fantaisistes orientées par certaines observations personnelles (comme celles de Lilly), soit par intuition pifométrique basée sur des pratiques discutables. Ces systèmes étant fondés sur le postulat que c’étaient les planètes qui définissaient leurs orbes, ils survalorisaient plus ou moins tous les orbes des sextiles, des carrés et des trigones. Il faudra attendre le XXe siècle pour qu’enfin les orbes dépendent des Aspects eux-mêmes, indépendamment des planètes que ceux-ci unissent ou séparent ou en association avec elles.

Les Aspects aux Angles

Ce nouvel intérêt pour les Aspects planétaires, leur exactitude et leurs orbes comptés en longitudes écliptiques de la sphère céleste s’est rapidement déplacé et transposé vers les Aspects formés entre les planètes et les 4 Angles majeurs de la sphère locale (AS, MC, DS, FC). Ces 4 Angles étant également les cuspides (débuts) des Maisons I, X, VII & IV, cette transposition des Aspects s’est ensuite propagée à toutes les cuspides des autres Maisons.

Relayant les observations de générations d’astrologues qui l’avaient précédé, Ptolémée indiquait dans son Tetrabiblos que la proximité des planètes à l’égard de l’horizon (axe des angles AS-DS) et du méridien (axe des Angles MC-FC) était un élément déterminant de l’évaluation de leur puissance relative dans un Thème. Ce sujet étant développé dans l’article sur Ptolémée et l’erreur des Maisons sénestrogyres, il n’y a pas lieu de le faire ici. Signalons seulement, car c’est important, que cette proximité n’était pas pour Ptolémée synonyme d’“Aspect”, mais de “présence” en un lieu défini de la sphère locale. Comme on l’a signalé plus avant, le mot “Aspect” est absent de la terminologie ptoléméenne. Des expressions comme par exemple “Vénus au trigone de l’Ascendant” ou “Lune au carré de la cuspide de la Maison VIII” lui étaient totalement étrangères.

Les astrologues du XVIIe siècle inventent donc les Aspects aux Angles. La proximité à l’égard des Angles étant, avec les Maîtrises planétaires sur les Signes, l’un des deux facteurs principaux servant de critère de sélection des planètes dominantes, les Aspects aux Angles, et tout particulièrement à l’AS puis au MC, vont devenir de nouveaux indicateurs des puissances planétaires relatives. La proximité ptoléméenne d’une planète à l’égard d’un Angle se mue ainsi en “conjonction”. Désormais, on pourra énoncer que “Saturne est conjoint à l’Ascendant” ou encore que “Mercure est au trigone du Milieu-du-Ciel” et en tirer la conclusion que Saturne et Mercure sont très importants dans un Thème affichant cette particularité. Dans le cas de Saturne, pourquoi pas, puisque cette planète est alors angulaire, position que l’on peut définir, soit par sa présence à proximité de l’AS, soit par sa conjonction avec lui si l’orbe de présence et de conjonction sont identiques. Mais dans le cas de Mercure, s’il n’est pas lui aussi angulaire en sus d’être au trigone du MC, c’est très discutable, car le concept d’Aspect aux Angles est lui-même très discutable et très hypothétique.

Confusion entre mouvement diurne et mouvement cyclique

Ces Aspects planétaires aux angles nouvellement imaginés posent en effet de sérieux problèmes. Ils sont basés sur la transposition dans la sphère locale de positions planétaires calculées sur l’écliptique. Or dans la sphère locale, dont les deux plans majeurs sont l’horizon (axe AS-DS) et le méridien (axe MC-FC), l’écliptique est en rotation permanente et son inclinaison sur l’horizon (donc la hauteur du MC et du FC et des Signes que ceux-ci interceptent) varie selon les latitudes terrestres, mais aussi annuellement et en fonction de chaque heure et minute d’une journée. Se pose alors le problème de la représentation du Thème en deux dimensions que l’on obtient en insérant l’écliptique dans la sphère locale. Si elle veut traduire l’inclinaison de l’écliptique sur l’horizon, cette représentation du ciel local doit forcément créer des angles d’écliptique entre l’horizon et le méridien, qui sont perpendiculaires et dont l’angle qui les sépare est donc de 90°.

Cette représentation du ciel peut faire croire, par exemple, que le MC peut, à certaines heures de la journée et sous une latitude terrestre d’environ 45° Nord ou Sud, être en Aspect de trigone (120°) à l’AS. D’une planète alors située exactement au MC, par exemple Mars en Poissons, on dira alors qu’elle est en trigone avec l’AS début Cancer. Or dans la réalité de la sphère locale, ce Mars en culmination au méridien supérieur est alors perpendiculaire à l’horizon et forme par conséquent un angle de 90° (identique à celui d’un carré) avec le même Ascendant début Cancer. Par un tour de passe-passe causé par les artifices d’une représentation particulière du ciel, à un angle de 90° s’est substitué un autre de 120° qui mesure la même position, mais considérée sous deux… angles (!) différents. Et il en est bien entendu de même pour les Thèmes qui affichent une distance angulaire de 60° (équivalente à un sextile) entre l’AS et le MC. Seuls les Thèmes ayant un AS fin Vierge ou début Balance échappent à ce sortilège induit par ce type de représentation. En effet, dans ces cas particuliers celui-ci situe le MC perpendiculairement (90°) à l’AS.

La question qui se pose alors est celle de l’angle qu’il faut choisir : 90° ou 120° ? Si l’on opte pour 120°, on est fidèle à l’arc d’écliptique qualifié d’Aspect de trigone entre Mars/Poissons exactement au MC et l’AS début Cancer, mais on est infidèle à l’arc de sphère locale de 90° qui n’est pas un Aspect. Et si au contraire, on opte pour 90°, le trigone Mars-AS s’évanouit dans les mirages de la représentation qui l’a fait advenir. Il n’y a pas de juste milieu. On ne peut pas couper cette poire céleste en deux et poser (120° + 90°)/2 = 105° pour faire la part de ces choses : cela n’a aucun sens astrométrique. Les astrologues du XVIIe siècle ont choisi, qu’ils se soient posé cette question ou non, et il semble bien qu’ils ne se la soient pas posée. En gardant toujours le même exemple, ils ont opté pour Mars/Poissons exactement au MC au trigone (120°) de l’AS début Cancer en longitude écliptique, et contre Mars en culmination supérieure au méridien donc perpendiculaire (90°) à l’AS dans la sphère locale.

Le genre d’âneries que Kepler rejetait catégoriquement

L’exemple de Mars/Poissons au MC trigone à l’AS Cancer illustre un cas qui n’est pas grave dans l’utilisation des prétendus “Aspects aux Angles”, puisque somme toute il s’agit d’un Mars angulaire. Il n’en est pas de même si l’on considère qu’une planète non-angulaire : la prise en compte de ces “Aspects aux Angles” peut alors amener à lui donner une importance exagérée et donc fausser l’interprétation de ce Thème. Et il y a encore pire dans les délires qu’ont inspiré les “Aspects aux Angles” : ce sont les “Aspects aux cuspides” de toutes les Maisons. Ainsi par exemple, un Saturne au carré (90°) de la cuspide de la Maison II (dévolue par la tradition à l’argent et aux possessions) était censé renseigner sur le rapport à ce genre de choses du Sujet ayant cet “Aspect” dans son Thème natal et/ou en Transit. C’est exactement le genre d’âneries que Kepler rejetait catégoriquement.

Signalons au passage que William Lilly proposait un orbe de 5° pour tous les Aspects aux Angles et aux cuspides, ce qui est totalement absurde étant donné que les cuspides (débuts des Maisons), en dehors de celles des Maisons angulaires I-X-VII-IV, varient considérablement en fonction des systèmes domificateurs utilisés. Malheureusement les prétendus “Aspects aux Angles” nés à cette époque et leurs orbes, très variables selon les astrologues, ont fait florès et ils sont toujours utilisés au XXIe siècle.

Pour conclure cette démonstration, il faut savoir que les cartes du ciel qu’utilisaient les astrologues avant le XXe siècle étaient très différentes de celles dont le format graphique s’imposa ensuite. D’une forme rectangulaire ou carrée, elles ne représentaient très schématiquement que des Maisons triangulaires d’étendues égales à l’intérieur desquelles on inscrivait les degrés des cuspides (pointes des Maisons) et des positions planétaires. Ni l’écliptique, ni l’horizon, ni le méridien n’étaient clairement représentés. La figure ci-dessous à gauche en est un exemple datant du XVIIe siècle. Il est évident qu’un tel type de représentation hyper-abstrait du Thème natal fausse la perception qu’on peut avoir des réalités astronomiques qu’il est censé exprimer. Et qu’il peut ainsi et aussi concourir à fausser aussi nos conceptions. Et c’était probablement le cas chez la plupart des astrologues sérieux, même s’ils avaient des sphères armillaires (figure ci-dessous à droite) pour voir le réel astrologico-astronomique en trois dimensions. Quant aux autres… les éphémérides imprimées et les tables de Maisons leur permettaient de concevoir n’importe quoi sans se soucier du réel astronomique.

La conception des Aspects planétaires et des pseudo-Aspects aux Angles a peu varié du XVIIe au XXe siècle. La plupart des astrologues utilisaient certains Aspects mineurs de Kepler en sus des Aspects majeurs et d’autres non. Tous utilisaient les pseudo-Aspects aux Angles. Les latitudes écliptiques des planètes n’étaient toujours pas prises en compte pour calculer ces Aspects, ou même seulement évoquées en raison des problèmes qu’elles peuvent poser. Les orbes étaient arbitrairement fixés par les planètes. Aucune véritable théorie systématique des Aspects et de leurs orbes n’a été formulée. Comme le note Michael Freedman dans son article Une étude historique de l’utilisation des Aspects, “jusqu’en 1900, l’astrologie était encore effectivement au Moyen Âge. Kepler avait eu une certaine influence et d’autres grands astrologues, tels que Placidus, avaient joué un rôle considérable dans le développement de cet art. Néanmoins, lire des livres astrologiques aussi récents que ceux de Wilson et Pearce” [astrologues anglais du XIXe siècle], “c’est quitter le monde moderne pour revenir à l’astrologie ancienne.

Cet article vous a été proposé par Richard Pellard

Voir aussi :

▶ Théorie et pratique des aspects
▶ Les aspects, phases d’un cycle
▶ Aspects : existe-t-il un modèle traditionnel ?
▶ Aspects : théorie et bilan conditionaliste
▶ Introduction à l’interprétation des aspects
▶ Les Aspects planétaires et leurs orbes
▶ Les Aspects kepleriens
▶ Les “aspects” aux Angles
▶ Chronologie des Aspects et Transits
▶ Les Aspects planétaires


Les significations planétaires

par Richard Pellard

620 pages. Illustrations en couleur.

La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.

La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.

La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.

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Pluton planète naine : une erreur géante

par Richard Pellard

117 pages. Illustrations en couleur.

Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.

Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?

Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !

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