Que peut-on réellement prévoir grâce à l’astrologie ? Étude d’un cas de coma intéressant et peu banal survenu au cours d’un transit de Jupiter…
Les thèmes 1 & 3 représentent les dates d’entrée et de sortie des rétrogradations de Jupiter en 1998. Événement céleste majeur cette année-là : le retour de Jupiter (de surcroît rétrograde), qui boucle son 5e cycle, sur la conjonction Soleil-Jupiter natale.
Figure ci-contre : conditions générales d’un phénomène de rétrogradation de Jupiter (zone en noir). Lorsque le Soleil est autour de 115° “devant” Jupiter (en suivant les Signes), Jupiter entre en période de rétrogradation. Il en sort, après l’opposition au Soleil lorsque celui-ci se situe autour de 115° “en arrière”.
Dans le thème natal, Jupiter et le Soleil se trouvent respectivement à 15° 52′ et à 18° 28′ des Poissons. En admettant un orbe de 10° (ce qui n’a rien d’exagéré), le transit de Jupiter sur le Soleil a débuté le 1er mars 1998 et prend fin le 3 février 1999. La rétrogradation de Jupiter débute le 19 juillet 1998 (28° 04′ Poissons) et prend fin le 14 novembre de la même année (18° 10′ Poissons). La durée totale de ce transit est de 10 mois, et celle de la rétrogradation de 4 mois. Le début de la période que nous étudions (2 septembre 1998) s’inscrit donc à l’intérieur, et même au cœur même de cette séquence de rétrogradation.
Sachant que la conjonction Soleil-Jupiter est dominante dans le thème natal (angularité au FC), et que Jupiter en est à son cinquième passage sur cette configuration, l’astrologue prévisionniste en déduira un renforcement sans surprise (il s’agit de transits entre dominantes) de la représentativité du sujet (niveau ‘r’).
Pour un astrologue traditionnel et inconditionnel, ce transit dominant du “grand bénéfique” qu’est Jupiter laisse présager des événements heureux : honneurs, richesses, reconnaissance publique. Pour un conditionaliste, c’est déjà moins évident : le vécu du transit dépendra du contexte. Si l’individu qui incarne ce thème est un chômeur isolé, en fin de droits, sans aucune perspective d’avenir, il risque fort de vivre douloureusement un tel transit : l’intensification de l’image de soi et de son impact public qu’il implique risque fort d’être vécu par lui sur le mode de l’orgueil blessé et donc de l’humiliation ; en effet, alors que le ciel intensifie ses besoins de reconnaissance sociale et d’utilité publique, les circonstances terrestres font de lui un zonard, un perdant, un inutile dont la situation ne peut lui amener la moindre gratification narcissique. Par contre, s’il s’agit d’un cadre supérieur très bien inséré dans la vie socio-professionnelle, le même transit produira des effets gratifiants : “Le transit est des mieux indiqués pour affirmer sa personnalité sociale, quitte à laisser de côté les nuances et les attendus. On se formule en quelques traits, aussi concis que possible, et ces dispositions sont révélatrices de l’aptitude à s’imposer par des jugements, des décisions rapides, outre la justesse du coup d’œil sur les rapports de force et les intérêts à ménager ou déranger… Si votre carrière n’est pas rendue à son sommet et laisse à désirer, profitez de ces échéances pour montrer vos mérites, vous dégager des hiérarchies étouffantes et de toute autorité contraire à l’épanouissement de vos possibilités” (J.-P. Nicola).
Pendant ce même transit de Jupiter, imaginons maintenant que notre chômeur en voie de clochardisation gagne le gros lot au Loto ou fasse un gros héritage imprévisible : il vivra alors une période d’intense euphorie et risque d’en faire des tonnes (il en a désormais les moyens) pour sortir de son anonymat humiliant et redevenir un centre d’attraction…
Inversement, si notre cadre supérieur de 60 ans fait partie d’une charrette de licenciés économiques (il n’a pas démérité, il est simplement une victime parmi d’autres d’un “dégraissage”) pendant ce transit, il risque de très mal vivre cette période : une perte de standing, de pouvoir et de prestige n’est pas facile à accepter pour un ‘r’ dominant…
Que peut prévoir un astrologue ? Certainement pas le gros lot : son gain relève purement et simplement des lois du hasard… ou d’une mystérieuse destinée qui n’est pas le fait des astres. Le fait d’appartenir à une charrette de licenciements ? Pas impossible : si l’astrologue a bien analysé la situation de l’entreprise à laquelle appartient le sujet et sa situation particulière au sein de cette entreprise, il peut réaliser un bon pronostic… qui n’a rien d’astrologique. Certains événements sont raisonnablement et rationnellement prévisibles — grâce à des outils astrologiques ou autres — et d’autres non. Certains transits sont concomitants avec des modifications objectives de la situation du sujet, et d’autres se produisent alors que rien ne se transforme autour de lui. C’est pourquoi la prévision astrologique est si difficile et si aléatoire.
Revenons à notre thème. C’est celui de Jean-Pierre Chevènement, l’ancien ministre de l’Intérieur. Le thème de la figure n° 2 est celui de son entrée dans le coma. Il est plutôt du genre “cadre supérieur”. Avec le niveau ‘r’ au grand complet et dominant, il ne badine pas avec les principes, la loi et l’ordre que bafouent les “sauvageons” des banlieues. C’est un être de convictions et de certitudes intangibles (rationalisme laïc mâtiné de mysticisme républicain) qu’il répète et réaffirme en permanence.
C’est pendant le transit de Jupiter que la décision de procéder à une opération bénigne est prise. Le 2 septembre, l’anesthésie au curare se passe mal et Chevènement sombre dans un long coma de 8 jours pendant lequel son cerveau cesse d’être oxygéné. Les médecins craignent les pires lésions neurologiques. On connaît la suite : finalement, le ministre se remet spectaculairement de cette dure épreuve et, quatre mois plus tard, reprend ses fonctions gouvernementales avec un cerveau intact (d’un point de vue strictement neurophysiologique s’entend)…
D’un point de vue astrologique, cet événement n’était pas prévisible. Quelles conclusions en tirer a posteriori ? Encore une fois, la plus grande prudence s’impose… sauf pour Élizabeth Tessier, qui n’a pas hésité à déclarer que si Chevènement s’en était aussi bien tiré, c’est parce qu’il avait été protégé par le transit du “grand bénéfique”. Traduction : s’il est revenu de sa “N.D.E.”, c’est grâce à Jupiter… Stupide : un tas de gens sont morts ou ont sombré dans un coma profond à l’issue fatale en même temps que lui ce 1er septembre, et il est très probable qu’un certain nombre d’entre eux “bénéficiait” d’un transit de Jupiter sur le Soleil analogue à celui du “miraculé républicain”.
Soyons plus sérieux que la pythie de Télé 7 jours. Si Chevènement s’est aussi bien tiré de cette épreuve, c’est avant tout pour des raisons strictement extra-astrologiques. On peut les énumérer :
1) Niveau ‘R’ du R.E.T. : conformément à son prestigieux statut de ministre, il a été opéré dans un hôpital d’excellente qualité et par des chirurgiens extrêmement compétents. S’il avait été un chômeur en fin de droits, il aurait probablement renoncé à une coûteuse opération, et si par miracle (républicain) il avait eu la possibilité de se faire opérer, cela aurait eu lieu dans un hôpital de seconde zone avec une équipe médicale sinon moins compétente, du moins beaucoup moins intéressée à sa survie.
2) Niveau ‘E’ du R.E.T. : il a probablement un excellent tonus physiologique. C’est là une disposition innée, héréditaire. Certains sont sujets à toutes sortes de pathologies, cicatrisent mal et lentement, d’autres font preuve d’un exceptionnel pouvoir de résistance aux maladies, cicatrisent bien et rapidement. Les cas que j’ai pu étudier me laissent penser que l’étude du thème n’apprend rien là-dessus. La bonne (qu’on peut ruiner avec des excès) ou mauvaise (qu’on peut améliorer en se soignant) santé de base n’est pas inscrite dans l’horoscope natal.
3) Niveau ‘T’ du R.E.T. : hasard miséricordieux ou nécessité transcendante, il a peut-être eu un incroyable coup de pot ou un coup de pouce du Destin. Dans le premier cas, on dira que la loi des grands nombres explique cet extraordinaire rétablissement. Statistiquement, aucun coma prolongé n’est prévisiblement fatal à 100 %. Certes, la plupart de ceux qui en sont victimes en meurent, y restent toute leur vie ou en sortent avec de terribles séquelles neurophysiologiques. Chevènement fait donc tout simplement partie du minuscule pourcentage de ceux qui s’en sortent bien. Dans le second cas, on entre dans l’ordre du métaphysique, avec des explications du genre : “son heure n’était pas venue, une autre était inscrite dans le Grand Livre du Destin”, “son ange gardien a fait preuve d’une très grande vigilance”, “ce n’était pas prévu dans son karma”, “l’Etre Suprême de la République Screugneugneu n’a pas voulu priver la France socialiste d’un aussi brillant sujet”, ou encore “Dieu a refusé d’accueillir au paradis un tel mécréant agnostique.”
N’empêche : Chevènement est quand même entré et sorti du coma pendant la période de rétrogradation de Jupiter. On peut avancer une hypothèse conditionaliste. Un individu fortement marqué par le niveau ‘r’ (intensification de la conscience réflexive) et doté d’un bon tonus physiologique ne pourrait-il pas être plus apte que d’autres à “refuser” la perte de conscience qui caractérise l’état comateux (état de niveau “T non-r”), cela d’autant plus qu’il est en période de transit ‘r’ et que les planètes de niveau ‘t’ sont les moins valorisées dans son ciel de naissance ? La question mérite d’être posée. Il faudrait étudier d’autres cas identiques pour pouvoir y répondre. Ce qui n’est pas évident : les ministres jupitériens à bon tonus physiologique basal qui sombrent dans un coma profond pendant un transit Jupiter-Soleil dominant et en ressortent indemnes ne sont pas légion…
Ce qu’on peut par contre observer a posteriori, c’est que Chevènement “jupitérise” comme un… fou depuis sa sortie de coma. Il cause plus haut et plus que jamais, il juge, il tranche, il simplifie, il baigne dans l’autosatisfaction, et ses chevilles gonflées et gonflantes l’amènent à de surprenantes comparaisons (une opération bien jupitérienne) : il prétend être allé “plus loin”, grâce (???) à son coma, que John Glenn le cosmonaute qui a fait quelques tours de navette autour de la Lune… L’épreuve du coma semble avoir “boosté” sa fonction jupitérienne, lui avoir donné une ampleur et une intensité qu’elle n’aurait peut-être pas eues dans des circonstances plus ordinaires. Cette boursouflure jupitérienne de l’ego, cette logorrhée à base de jugements à l’emporte-pièce, l’impression qu’il donne d’être un unique, irremplaçable et indispensable missionné républicain revenu du territoire des morts pour rétablir un ordre social que nul autre que lui ne semble capable d’incarner peuvent inciter à se demander si le coma n’aurait pas entraîné de sérieuses séquelles astro-neurologiques… Des séquelles rationnellement compréhensibles et analysables : un individu avec un fort niveau ‘r’ sortant du coma doit probablement avoir un sentiment exacerbé de sa lucidité et de sa conscience retrouvées, au point qu’il peut, par réaction-compensation, dans sa joie de pouvoir à nouveau se représenter clairement les êtres, choses et situations, littéralement “péter les plombs” au niveau ‘r’…
Finalement, Chevènement s’est un peu retrouvé dans la situation d’un chômeur en fin de droit de vie qui aurait gagné le gros lot de la survie ou d’un cadre supérieur menacé de licenciement de la Terre qui devient pourtant PDG de sa planète : hyper-satisfait de retrouver une représentativité aussi inattendue que triomphante, il en fait des tonnes pour fêter l’événement
Se retrouver dans le coma, c’est voir son vécu n’être plus déterminé que par des automatismes inconscients, ce qui ressemble furieusement à la fonction neptunienne dans le R.E.T. (“existence de la Transcendance”). Je ne parle pas de l’inconscient freudien, mais du plus inconscient des inconscients, l’inconscient biologique. Vulgairement parlant, on appelle ça “état de légume” (bio ?). On peut se demander ce que produit un tel état de (in)conscience au niveau astrologique, cela d’autant plus que Chevènement est né avec un Neptune culminant et dominant. Malheureusement (pour les spiritualistes) ou heureusement (pour les matérialistes), il ne croit pas en l’au-delà et n’a apparemment rien retiré de cette N.D.E.
Mais tout d’abord, qu’est-ce vraiment que l’inconscient pour l’astrologie ? Au plus large, au plus profond et au plus collectif niveau, le conditionnement astrologique est avant tout inconscient. C’est dans l’inconscient de nos cellules nerveuses qu’il s’exerce et qu’il nous détermine insidieusement. À ce niveau-là, presque tout le monde est inconscient : inconscient de ses dominantes et non-dominantes planétaires et zodiacales. À un autre niveau, les planètes du niveau ‘T’ signalent et symbolisent nos structures inconscientes (émergences du latent, du caché, du non-dit). À un autre niveau encore, les planètes les moins valorisées de notre thème signalent et symbolisent nos manques et nos zones d’ombre, bref notre inconscient. On reviendra d’une manière plus profonde et plus systématique, dans un prochain article, sur ces rapports entre astrologie et inconscient. Pour l’instant, notons simplement qu’un Pluton momentanément ou définitivement n° 10 dans la hiérarchie planétaire individuelle est parfaitement à sa place : l’inconscient est absolument inconscient… ce qui peut le rendre d’autant plus efficace.
En état comateux, la conscience réflexive est absente et l’inconscient est roi. On peut se demander si ce genre d’état n’est pas propice à la manifestation de l’inconscient astrologique individuel, c’est-à-dire à l’intensification des effets (rejet absolu ou fascination inconsciente) des planètes les plus faibles à la naissance. Dans le cas de Chevènement, on ne peut éviter de remarquer, en l’état actuel de nos méthodes de hiérarchisation, que Saturne en Bélier est la n° 10, et donc la fonction planéto-zodiacale la plus inconsciente. Or justement, dès que le ministre de l’Intérieur est revenu à ses fonctions gouvernementales, il a fait de Daniel Cohn-Bendit (dominante Saturne-Bélier) sa tête de turc préférée… Bien sûr, on peut se dire — avec raison — que c’est pour des raisons extra-astrologiques (le nationaliste marxiste et moralisateur ne peut qu’être l’ennemi déclaré du cosmopolite libéral et libertaire). Mais quand même… au sortir d’un coma l’ayant connecté involontairement avec son inconscient, il est fascinant de voir l’anti Saturne-Bélier Chevènement s’en prendre avec autant de violence et de vigueur à un parfait (y compris au niveau idéologique !) représentant de cet inconscient… cela d’autant plus que le Jupiter-Vierge non-dominant de Cohn-Bendit s’oppose au Jupiter dominant de Chevènement et que le Saturne “aveugle” du second est conjoint au Soleil dominant du premier… sans oublier le fait que Chevènement a très mal vécu Mai 68, période turbulente et libertaire au cours de la-quelle il avait 30 ans et où Saturne était en Bélier. Bref, les “saugageons” n’existeraient apparemment pas que dans les banlieues pourries, cet inconscient des centres urbains. Cohn-Bendit serait-il un “sauvageon” saturnien-Bélier anti-jupitérien surgi de l’inconscient comateux de Chevènement jupitérien-Poissons anti-saturnien ? La question mérite d’être posée…
Redisons-le : la date de l’opération pas plus que l’accident d’anesthésie n’étaient astrologiquement prévisibles. Par contre, je peux me mettre en situation expérimentale imaginaire et me demander quels pronostics j’aurais fait si par exemple, pendant que son mari était dans le coma, la femme de Chevènement était venue me consulter pour me demander s’il allait s’en sortir ou non (hypothèse totalement fantaisiste et dont la probabilité de se transformer en réalité est quasiment nulle). Je lui aurais répondu que l’astrologie ne permet pas de faire ce genre de pronostic, mais que, s’il s’en sortait totalement indemne du point de vue neurophysiologique, il aurait très probablement tendance à “jupitériser” comme il ne l’a jamais fait… et j’aurais probablement décrit le comportement post-coma du ministre évoqué (Et Jupiter quand même ?) comme celui qu’il risquait très probablement d’adopter.
Facile à dire après coup, me direz-vous. C’est vrai. Mais étant conditionaliste, connaissant le bouillant tempérament de Chevènement et analysant comment un tel homme pourrait réagir à une telle épreuve s’il s’en sortait bien, on ne peut guère faire d’autre pronostic : intensification (jusqu’à la folie ?) du niveau ‘r’.
Article paru dans le n° 12 du Fil d’ARIANA (octobre 1999).
▶ Profil psychologique du Jupitérien
▶ Stade jupitérien (de 2 à 12 ans) : l’âge de la socialisation
▶ La fonction jupitérienne ‘rE’ (représentation de l’Existence)
▶ Soleil-Jupiter-Uranus : représentation intensive
▶ Mars-Jupiter-Saturne : Existence extensive
▶ R.E.T. et politique
Les significations planétaires
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620 pages. Illustrations en couleur.
La décision de ne traiter dans ce livre que des significations planétaires ne repose pas sur une sous-estimation du rôle des Signes du zodiaque et des Maisons. Le traditionnel trio Planètes-Zodiaque-Maisons est en effet l’expression d’une structure qui classe ces trois plans selon leur ordre de préséance et dans ce triptyque hiérarchisé, les Planètes occupent le premier rang.
La première partie de ce livre rassemble donc, sous une forme abondamment illustrée de schémas pédagogiques et tableaux explicatifs, une édition originale revue, augmentée et actualisée des textes consacrés aux significations planétaires telles qu’elles ont été définies par l’astrologie conditionaliste et une présentation détaillée des méthodes de hiérarchisation planétaire et d’interprétation accompagnées de nombreux exemples concrets illustrés par des Thèmes de célébrités.
La deuxième partie est consacrée, d’une part à une présentation critique des fondements traditionnels des significations planétaires, d’autre part à une présentation des rapports entre signaux et symboles, astrologie et psychologie. Enfin, la troisième partie présente brièvement les racines astrométriques des significations planétaires… et propose une voie de sortie de l’astrologie pour accéder à une plus vaste dimension noologique et spirituelle qui la prolonge et la contient.
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Pluton planète naine : une erreur géante
par
117 pages. Illustrations en couleur.
Pluton ne fait plus partie des planètes majeures de notre système solaire : telle est la décision prise par une infime minorité d’astronomes lors de l’Assemblée Générale de l’Union Astronomique Internationale qui s’est tenue à Prague en août 2006. Elle est reléguée au rang de “planète naine”, au même titre que les nombreux astres découverts au-delà de son orbite.
Ce livre récapitule et analyse en détail le pourquoi et le comment de cette incroyable et irrationnelle décision contestée par de très nombreux astronomes de premier plan. Quelles sont les effets de cette “nanification” de Pluton sur son statut astrologique ? Faut-il remettre en question son influence et ses significations astro-psychologiques qui semblaient avérées depuis sa découverte en 1930 ? Les “plutoniens” ont-ils cessé d’exister depuis cette décision charlatanesque ? Ce livre pose également le problème des astres transplutoniens nouvellement découverts. Quel statut astrologique et quelles influences et significations précises leur accorder ?
Enfin, cet ouvrage propose une vision unitaire du système solaire qui démontre, chiffes et arguments rationnels à l’appui, que Pluton en est toujours un élément essentiel, ce qui est loin d’être le cas pour les autres astres au-delà de son orbite. Après avoir lu ce livre, vous saurez quoi répondre à ceux qui pensent avoir trouvé, avec l’exclusion de Pluton du cortège planétaire traditionnel, un nouvel argument contre l’astrologie !
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